Confirme-moi juste que nous n'avons pas déjà « lorsque » dans ce qui précède ? Si ça n'est pas le cas, ok… sinon, on pourra toujours passer par « de son vivant ».
J'ai un doute… Est-ce qu'avec cette syntaxe on induit pas que c'est de son vivant à elle ? Évidemment, le problème est que nous sommes dans un texte SF et que donc, tout est possible, à savoir qu'elle soit une mort vivante (tiens, quand je dis que García Márquez est un auteur de SF !!!!!). Qu'en penses-tu ?
De García Márquez ? Que c'est un génie, évidemment ! Par contre, pour ce qui est "de son vivant", oui, j'ai pensé à la même chose. Mais j'ai posté la phrase pour voir ce que toi, tu ressentais. Toutefois, je pense que c'est de son vivant à lui. En tous cas, pour le moment...
Oui, il ne fait pas de doute que c'est de son vivant à lui… La question est surtout de savoir si on induit l'inverse dans la tête du lecteur francophone qui, lui, n'a pas la V.O. pour comprendre. Et pour cause… sinon, il n'aurait pas besoin de notre traduction !
Non, ce que je souhaite, c'est que tu essaies de le placer ailleurs dans la phrase, pour voir si ça permet de résoudre le problème ; sinon, nous passerons par la solution proposée au début. Mais ça vaut le coup de tester, car ce serait intéressant…
11 commentaires:
Elle avait l'habitude de lui lire ses nouvelles lorsqu'il était vivant.
Confirme-moi juste que nous n'avons pas déjà « lorsque » dans ce qui précède ? Si ça n'est pas le cas, ok… sinon, on pourra toujours passer par « de son vivant ».
Nous avons "lorsque" une fois.
De son vivant, elle avait l'habitude de lui lire ses nouvelles.
J'ai un doute… Est-ce qu'avec cette syntaxe on induit pas que c'est de son vivant à elle ? Évidemment, le problème est que nous sommes dans un texte SF et que donc, tout est possible, à savoir qu'elle soit une mort vivante (tiens, quand je dis que García Márquez est un auteur de SF !!!!!). Qu'en penses-tu ?
De García Márquez ? Que c'est un génie, évidemment !
Par contre, pour ce qui est "de son vivant", oui, j'ai pensé à la même chose. Mais j'ai posté la phrase pour voir ce que toi, tu ressentais.
Toutefois, je pense que c'est de son vivant à lui. En tous cas, pour le moment...
Oui, il ne fait pas de doute que c'est de son vivant à lui… La question est surtout de savoir si on induit l'inverse dans la tête du lecteur francophone qui, lui, n'a pas la V.O. pour comprendre. Et pour cause… sinon, il n'aurait pas besoin de notre traduction !
Non, ce que je souhaite, c'est que tu essaies de le placer ailleurs dans la phrase, pour voir si ça permet de résoudre le problème ; sinon, nous passerons par la solution proposée au début. Mais ça vaut le coup de tester, car ce serait intéressant…
Elle avait l'habitude de lui lire, de son vivant, ses nouvelles.
Elle avait l'habitude, de son vivant, de lui faire la lecture de ses nouvelles.
1) On peut le mettre n'importe où, le problème étant que ça fasse sens...
2) "lui lire" : on dirait pas plutôt "lui faire la lecture" ?
Oui, je me demande si on a le même problème en le mettant tout à la fin.
Elle avait l'habitude de lui lire ses nouvelles, de son vivant.
Bon, si là, ça ne fonctionne pas… Remets la solution du début – tant pis. Le traducteur doit aussi savoir renoncer à ses lubies et tocades ;-)
Elle avait l'habitude de lui lire ses nouvelles lorsqu'il était vivant.
Bon, on voit après si on doit changer nos "lorsque"...
Oui, je crois que c'est la solution la plus raisonnable. Dommage :-(
On aura essayé...
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