jeudi 1 novembre 2012

Les Pachacamac – phrase 217

El cielo de repente se volvió de un gris intenso y una ligera llovizna comenzó a caer en el contorno. No se debía mirar atrás, era la ley de la selva, menos aún si lo que veías o creías ver eran almas en pena de los ahogados.

Traduction temporaire :
Le ciel devint soudain gris soutenu et une légère bruine commença à tomber alentour. Il ne fallait pas regarder en arrière, selon la loi de la forêt ; encore moins si ce qu'on voyait ou croyait voir étaient les âmes en peine des noyés.

5 commentaires:

Justine a dit…

Le ciel se chargea soudain d'un gris intense et une légère bruine commença à tomber alentour. Il ne fallait pas regarder en arrière, c'était la loi de la forêt ; encore moins, si ce que vous voyiez ou croyiez voir, étaient les âmes en peine des noyés.

Tradabordo a dit…

Le ciel se chargea [« se volvió » ? Attention, tu recommences à réécrire] soudain d'un gris intense et une légère bruine commença à tomber alentour. Il ne fallait pas regarder en arrière, c'était [ou « selon » ?] la loi de la forêt ; encore moins, [pourquoi cette virgule ?] si ce que vous [ce sera mieux avec « on »] voyiez ou croyiez voir, étaient les âmes en peine des noyés.

Justine a dit…

Le ciel devint soudain gris soutenu et une légère bruine commença à tomber alentour. Il ne fallait pas regarder en arrière, selon la loi de la forêt ; encore moins si ce qu'on voyait ou croyait voir, étaient les âmes en peine des noyés.

Tradabordo a dit…

Le ciel devint soudain gris soutenu et une légère bruine commença à tomber alentour. Il ne fallait pas regarder en arrière, selon la loi de la forêt ; encore moins si ce qu'on voyait ou croyait voir étaient les âmes en peine des noyés.

OK.

Perrine ?

perrine a dit…

OK.