jeudi 14 avril 2016

Projet Justine / Elena – texte 32

Pérdidas

Siempre recordaremos aquel día, cuando Prometeo robó un leño encendido de nuestra hoguera para obsequiárselo a los dioses. Temiendo que el fuego pusiera fin a esa abulia que mantenía a los eternos desinteresados de nuestros asuntos, muchas voces se alzaron, enfurecidas, exigiendo un castigo ejemplar para el titán.
Resultó que el letargo divino era, para los simples mortales que somos, de una hondura inmensurable: ver el Olimpo ardiendo en llamas sin que ellos hicieran nada por impedirlo, fue un espanto que aún hoy, después de tantos años, duele en los ojos.
Espanto y dolor, sí, por la belleza quemada y los dioses desaparecidos y ese pobre infeliz de Prometeo para quien ya no habrá un Hércules que detenga su tortura.

Traduction temporaire :
Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne vienne à bout de l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour mettre fin à sa torture.

17 commentaires:

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à cette aboulie, qui maintenait ces êtres éternels désintéressés de nos affaires, nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt [pour éviter un « faire » qu'on a après.] pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour abolir sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à cette [sans le démonstratif ; ça te facilitera la suite…] aboulie, qui maintenait ces [X2… Tu vois, quand je te disais que c'est une maladie] êtres éternels désintéressés de nos affaires [????? Reprends ce texte…], nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt [pour éviter un « faire » qu'on a après.] pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour abolir sa torture.

Elena a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'aboulie, maintien des éternels désengagés de nos affaires, nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'aboulie [pas un mot génial, en français… Voyez si vous avez une autre solution], maintien des éternels désengagés de nos affaires [peu clair, quand même],

Réglons déjà ça.

nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie, qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie, qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix se sont élevées, en colère, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était d'une immensurable profondeur : voir l'Olympe s'embraser sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher, a été un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée a volé une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie, [sans la virgule ?] qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix se sont élevées [au passé simple ?], en colère [littéral ? Avec un adjectif…], exigeant qu'un châtiment exemplaire soit réservé [« infligé » ?] au titan.

Resultó que el letargo divino era, para los simples mortales que somos, de una hondura inmensurable: ver el Olimpo ardiendo en llamas sin que ellos hicieran nada por impedirlo, fue un espanto que aún hoy, después de tantos años, duele en los ojos.

Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine était [temps] d'une immensurable [« incommensurable » ?] profondeur : voir l'Olympe s'embraser [ou : « en flammes » ?] sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher, [la virgule ?] a été [temps ?] un effroi [pas génial avec « être »], qui encore aujourd'hui, après tant d'années fait mal aux yeux [la fin ne va pas].

Faisons déjà cela.

Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine fut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années, nous fait mal aux yeux.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Elena a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.

Resultó que el letargo divino era, para los simples mortales que somos, de una hondura inmensurable: ver el Olimpo ardiendo en llamas sin que ellos hicieran nada por impedirlo, fue un espanto que aún hoy, después de tantos años, duele en los ojos.

Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine avait été d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher suscita en nous un effroi qui, encore aujourd'hui, après tant d'années, est dur à regarder.

Faisons déjà cela.

Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine fut [« nous apparut » ou un truc comme ça ?] d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui encore aujourd'hui, après tant d'années, nous fait mal aux yeux [syntaxe].

Espanto y dolor, sí, por la belleza quemada y los dioses desaparecidos y ese pobre infeliz de Prometeo para quien ya no habrá un Hércules que detenga su tortura.


Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour arrêter [bof] sa torture.

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour abolir [pour éviter la répétition de « mettre fin »] sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour abolir [pour éviter la répétition de « mettre fin » / ouais, mais pas génial] sa torture.

Elena a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée ["brûlée" ?], des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour empêcher sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne mette fin à l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée ["brûlée" ? // je préfère « consumée »], des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour empêcher [« interrompre » ? Bon, sinon, le mieux est quand même « mettre fin » – du coup, voyez si c'est pas plutôt l'autre qu'on devrait changer] sa torture.

Elena a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne vienne à bout de l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour mettre fin à sa torture.

Tradabordo a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne vienne à bout de l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour mettre fin à sa torture.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Pertes

Nous nous rappellerons toujours le jour où Prométhée vola une bûche incandescente de notre brasier pour l'offrir aux dieux. Craignant que le feu ne vienne à bout de l'apathie qui rendait les êtres éternels indifférents à notre sort, nombre de voix s'élevèrent, furieuses, exigeant qu'un châtiment exemplaire soit infligé au titan.
Pour les simples mortels que nous sommes, la léthargie divine nous apparut d'une incommensurable profondeur : voir l'Olympe en flammes sans qu'ils ne lèvent le petit doigt pour l'empêcher causa un effroi, qui nous fait mal aux yeux, encore aujourd'hui, après tant d'années.
Effroi et douleur, oui, à l'égard de cette beauté consumée, des dieux disparus et de ce pauvre malheureux Prométhée, qui n'aura même plus un Hercule pour mettre fin à sa torture.

OK.