mercredi 7 mars 2018

Projet Justine / Elena – texte 192

Darse cuenta

Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho. Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin. Sus pies cuelgan sobre un abismo insondable. No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.  La precariedad tortuosa de la situación no le asusta: soledad y altura, e incluso esa inmovilidad en la que se mantiene para no correr el riesgo de caer al vacío, son desdichas que, por concretas, su mente puede procesar. Lo que le aterra es el cielo: no le cree esta máscara de belleza bajo la cual ha elegido mostrarse. Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas. Espantos que, aun toscos y previsibles, así inventados, sugeridos, logran infundirle pánico.  —La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.  Alguien, algo, escucha. 

Traduction temporaire :

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, d'après ses calculs, doit mesurer environ trente centimètres de large. À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin. Ses pieds pendent au-dessus d'un abîme insondable. Il n'y a pas de vent, pas même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel, serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été. La tortueuse précarité de la situation ne l'effraie pas : solitude et hauteur, et même l'immobilité dans laquelle il se tient pour ne pas risquer de tomber dans le vide, sont des malheurs que son esprit peut traiter parce qu'ils sont concrets. Ce qui le terrifie, c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer. Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de s'ouvrir en bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides. Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, inventées de la sorte, suggérées arrivent à lui inspirer de la panique. — La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute, donnant à ses mots le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas. Quelqu'un, quelque chose, écoute.

56 commentaires:

Elena a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho.

S'en rendre compte
Il est assis sur une planche qui, il imagine, doit avoir environ trente centimètres de large.

Justine a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho. Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, selon lui, doit mesurer environ trente centimètres de large. À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin.

Tradabordo a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho.

S'en [ou juste : « Se » ?] rendre compte

Il est assis sur une planche qui, il imagine [texte], doit avoir [bof] environ trente centimètres de large.

Elena a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho.

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, il estime, doit mesurer environ trente centimètres de large.

Justine a dit…


Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho. Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, selon lui, doit mesurer environ trente centimètres de large. À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin.

Tradabordo a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho. Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, selon lui [« d'après ses calculs » ?], doit mesurer environ trente centimètres de large.

Justine a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, d'après ses calculs, doit mesurer environ trente centimètres de large.

Tradabordo a dit…

Darse cuenta
Está sentado sobre una tabla que, calcula, ha de tener unos treinta cen- tímetros de ancho

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, d'après ses calculs, doit mesurer environ trente centimètres de large.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Se rendre compte

Il est assis sur une planche qui, d'après ses calculs, doit mesurer environ trente centimètres de large.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin.

Tradabordo a dit…

Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin [« fin » ou « but » ? Elena ?].

Elena a dit…

Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin.

Tradabordo a dit…

Hacia derecha e izquierda, este camino de madera que lo sostiene parece no tener fin.

À droite et à gauche, ce chemin en bois qui le soutient semble être sans fin.

OK.

VPC.

Justine a dit…

Sus pies cuelgan sobre un abismo insondable.
Ses pieds pendent au-dessus d'un abîme insondable.

Tradabordo a dit…

Sus pies cuelgan sobre un abismo insondable.
Ses pieds pendent au-dessus d'un abîme insondable.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Ses pieds pendent au-dessus d'un abîme insondable.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Le vent ne souffle pas, pas même la présence familière du soleil ne l'accompagne ; cependant, le ciel serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité qu'une heureuse après-midi d'été.

Tradabordo a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Le vent ne souffle pas, pas même la présence familière du soleil ne l'accompagne [charabia ?] ;


cependant, le ciel serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité qu'une heureuse après-midi d'été.

Justine a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Il n'y a pas de vent, ni même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été.

Tradabordo a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Il n'y a pas de vent, ni [« pas »] même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel [virgule] serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été.

Justine a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Il n'y a pas de vent, pas même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel, serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été.

Tradabordo a dit…

No corre viento y ni siquiera la presencia familiar del sol le acompaña; sin embargo, el cielo, sereno, diáfano, tiene ese color turquesa que sólo re- cuerda haber disfrutado alguna tarde bienaventurada de verano.

Il n'y a pas de vent, pas même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel, serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il n'y a pas de vent, pas même la présence familière du soleil pour l'accompagner ; cependant, le ciel, serein, diaphane a cette couleur turquoise dont il se rappelle n'avoir profité que par une heureuse après-midi d'été.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

La precariedad tortuosa de la situación no le asusta: soledad y altura, e incluso esa inmovilidad en la que se mantiene para no correr el riesgo de caer al vacío, son desdichas que, por concretas, su mente puede procesar.

La tortueuse précarité de la situation ne l'effraie pas : solitude et hauteur, et même l'immobilité dans laquelle il se tient pour ne pas risquer de tomber dans le vide, sont des malheurs que son esprit peut traiter parce qu'ils sont concrets.

Tradabordo a dit…

La precariedad tortuosa de la situación no le asusta: soledad y altura, e incluso esa inmovilidad en la que se mantiene para no correr el riesgo de caer al vacío, son desdichas que, por concretas, su mente puede procesar.

La tortueuse précarité de la situation ne l'effraie pas : solitude et hauteur, et même l'immobilité dans laquelle il se tient pour ne pas risquer de tomber dans le vide, sont des malheurs que son esprit peut traiter parce qu'ils sont concrets.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

La tortueuse précarité de la situation ne l'effraie pas : solitude et hauteur, et même l'immobilité dans laquelle il se tient pour ne pas risquer de tomber dans le vide, sont des malheurs que son esprit peut traiter parce qu'ils sont concrets.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Lo que le aterra es el cielo: no le cree esta máscara de belleza bajo la cual ha elegido mostrarse.

Ce qui l'atterre, c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer.

Tradabordo a dit…

Lo que le aterra es el cielo: no le cree esta máscara de belleza bajo la cual ha elegido mostrarse.

Ce qui l'atterre [tu as vérifié ? Je ne dis pas que c'est faux], c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer.

Justine a dit…

Lo que le aterra es el cielo: no le cree esta máscara de belleza bajo la cual ha elegido mostrarse.

Ce qui le terrifie, c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer.

Tradabordo a dit…

Lo que le aterra es el cielo: no le cree esta máscara de belleza bajo la cual ha elegido mostrarse.

Ce qui le terrifie, c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Ce qui le terrifie, c'est le ciel : il ne croit pas à ce masque de beauté sous lequel il a choisi de se montrer.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de se fendre en bêtes primitives [pour garder « ouvrir » après], ou de dévoiler les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

Tradabordo a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de se fendre en [naturel ?] bêtes primitives, ou de dévoiler [le littéral ne fonctionne pas ?] les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

Justine a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de se fendre pour former des bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

Tradabordo a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de se fendre pour former des [et pourquoi pas littéral ? Puisque c'est bizarre ;-) Elena, ton avis…] bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

Justine a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de s'ouvrir en bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

Tradabordo a dit…

Intuye que está pronto a quebrarse como un espejo, abrirse en bestias primigenias o descubrir las ruinas aún humeantes de un mundo devastado, o bien dar paso a una lluvia de suicidas.

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de s'ouvrir en bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il a l'intuition qu'il est sur le point de se briser comme un miroir, de s'ouvrir en bêtes primitives, ou de découvrir les ruines encore fumantes d'un monde dévasté, ou bien d'ouvrir la voie à une pluie de suicides.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Espantos que, aun toscos y previsibles, así inventados, sugeridos, logran infundirle pánico.

Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, ainsi inventées, suggérées arrivent à lui inspirer de la panique.

Tradabordo a dit…

Espantos que, aun toscos y previsibles, así inventados, sugeridos, logran infundirle pánico.

Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, ainsi inventées [ou : inventées de la sorte ? J'hésite et te laisse trancher], suggérées arrivent à lui inspirer de la panique.

Justine a dit…

Espantos que, aun toscos y previsibles, así inventados, sugeridos, logran infundirle pánico.

Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, inventées de la sorte, suggérées arrivent à lui inspirer de la panique.

Tradabordo a dit…

Espantos que, aun toscos y previsibles, así inventados, sugeridos, logran infundirle pánico.

Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, inventées de la sorte, suggérées arrivent à lui inspirer de la panique.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Des frayeurs qui, même grossières et prévisibles, inventées de la sorte, suggérées arrivent à lui inspirer de la panique.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

—La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.
Alguien, algo, escucha.

— La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute en donnant à ses mots le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas.
Quelqu'un, quelque chose écoute.

Tradabordo a dit…

—La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.
Alguien, algo, escucha.

— La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute en [sans le « en », mais avec une virgule ?] donnant à ses mots [ou : à sa voix ?] le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas.
Quelqu'un, quelque chose [laisse la virgule de la V.O.] écoute.

Elena a dit…

—La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.
Alguien, algo, escucha.

— La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute, donnant à ses mots le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas.
Quelqu'un, quelque chose, écoute.

Tradabordo a dit…

—La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.
Alguien, algo, escucha.

— La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute, donnant à ses mots le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas.
Quelqu'un, quelque chose, écoute.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

—La belleza sólo existe como amenaza —dice en voz alta, dándole a las palabras el tono brusco de quien encuentra lo que no busca.
Alguien, algo, escucha.

— La beauté n'existe que comme une menace, dit-il à voix haute, donnant à ses mots le ton brusque de celui qui trouve ce qu'il ne cherche pas.
Quelqu'un, quelque chose, écoute.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.