1) Dans la mesure où nous en avons déjà quelques-uns et ou nous risquons d'en avoir besoin dans encore bien des situations de notre texte, il vaut mieux éviter « tout » quand cela est possible.
2) La phrase est un peu bancale… Passe par la généralité : « on ».
Le commentaire d'Elena me renvoie à une nouvelle métaphore culinaire : La traduction c'est comme la mayonnaise, des fois elle prend et d'autres fois elle tourne, sans qu'on comprenne toujours pourquoi ...
8 commentaires:
Tout comme le réveil difficile suite à un cauchemar.
Como el rudo despertar de una pesadilla.
1) Dans la mesure où nous en avons déjà quelques-uns et ou nous risquons d'en avoir besoin dans encore bien des situations de notre texte, il vaut mieux éviter « tout » quand cela est possible.
2) La phrase est un peu bancale… Passe par la généralité : « on ».
Comme quand on se réveille brusquement après un cauchemar.
J'ai pensé aussi à :
Tel le réveil brutal d'un / après un cauchemar.
Passer par on ???
Comme la difficulté à émerger d’un cauchemar.
Comme on émerge difficilement d'un cauchemar ?
Elena :
Comme quand on se réveille brusquement après un cauchemar.
À la place de « brusquement » je mettrais « brutalement » ; ça donnerait =
Comme on se réveille brutalement d'un cauchemar.
Qu'en pensez-vous ?
Comme on se réveille brutalement d'un cauchemar.
Oui, c'est bien.
Aujourd'hui, c'est journée "j'en rajoute pour rien" ;-))
Le commentaire d'Elena me renvoie à une nouvelle métaphore culinaire : La traduction c'est comme la mayonnaise, des fois elle prend et d'autres fois elle tourne, sans qu'on comprenne toujours pourquoi ...
Oui, Irène… mais c'est aussi ce qui en fait la saveur !
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