jeudi 1 novembre 2012

Les Lituma – phrase 161

Como si la memoria y el recuerdo no fuesen más que el anverso del olvido, ese apagarse definitivo que empieza debajo de la tierra, entre las encías de parásitos y bestias diminutas pero letales que desmoronan cualquier unidad o coherencia.

Traduction temporaire :
Comme si la mémoire et les souvenirs n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre,  au milieu des mandibules de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »

8 commentaires:

Sonita a dit…

Comme si la mémoire et le souvenir n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cet éteindre définitif qui commence sous la terre, parmi les gencives de parasites et de bêtes toutes petites, mais létales, qui effondrent n’importe quelle unité ou cohérence.

Justine a dit…

Comme si la mémoire et le souvenir n’étaient rien d’autre que l'envers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des gencives de parasites et de bêtes toutes petites, mais létales, qui abattent n’importe quelle unité ou cohérence.

Tradabordo a dit…

« Comme si la mémoire et le souvenir n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, » ; oui… C'est bien.

« cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des gencives de parasites et de bêtes toutes petites [« minuscules »], mais létales, qui abattent [« capables de »] n’importe quelle unité ou cohérence. »

Justine a dit…

Comme si la mémoire et le souvenir n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des gencives de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »

Tradabordo a dit…

Comme si la mémoire et le souvenir [au fait, est-ce qu'on ne devrait pas le mettre au pluriel ?] n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des gencives [ou « mandibules » ? Je sais que c'est un vrai changement… mais avec « gencives », n'est-ce pas bizarre… Je vous laisse trancher] de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »

Justine a dit…

Comme si la mémoire et les souvenirs n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des mandibuless de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »



Tradabordo a dit…

Comme si la mémoire et les souvenirs n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des mandibules de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Sonita a dit…

Comme si la mémoire et les souvenirs n’étaient rien d’autre que le revers de l’oubli, cette extinction définitive qui commence sous la terre, au milieu des mandibules de parasites et de bêtes minuscules, mais létales, capables d'abattre n’importe quelle unité ou cohérence. »

OK.