Tal vez una circunstancia extrema le había obligado a tomar esa decisión, dejar un vacío con su partida o, lo que es lo mismo, morir para los demás.
Traduction temporaire :
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.
7 commentaires:
Peut-être qu’une circonstance extrême l’avait obligé à prendre cette décision, laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même, mourir pour les autres.
Peut-être qu’ [fais sans ce « qu' » ; il y a une autre solution, que je te laisse chercher ;-)] une circonstance extrême l’avait obligé à prendre cette décision, [il faut que tu répètes le « à »] laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même [littéral ou on passe par « synonyme » ? J'hésite… alors je te laisse trancher], mourir pour les autres.
C'était peut-être une circonstance extrême qui l’avait obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui était du pareil au même, à mourir pour les autres.
Un circonstance extrême l’avait peut-être obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même, mourir pour les autres.
Élodie : relecture !!!!
Je vous propose :
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.
OK ?
OK.
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.
OK.
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