lundi 5 novembre 2012

Les Lituma – phrase 198

Tal vez una circunstancia extrema le había obligado a tomar esa decisión, dejar un vacío con su partida o, lo que es lo mismo, morir para los demás.

Traduction temporaire :
Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.

7 commentaires:

Sonita a dit…

Peut-être qu’une circonstance extrême l’avait obligé à prendre cette décision, laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même, mourir pour les autres.

Tradabordo a dit…

Peut-être qu’ [fais sans ce « qu' » ; il y a une autre solution, que je te laisse chercher ;-)] une circonstance extrême l’avait obligé à prendre cette décision, [il faut que tu répètes le « à »] laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même [littéral ou on passe par « synonyme » ? J'hésite… alors je te laisse trancher], mourir pour les autres.

Sonita a dit…

C'était peut-être une circonstance extrême qui l’avait obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui était du pareil au même, à mourir pour les autres.

Elodie a dit…


Un circonstance extrême l’avait peut-être obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revient au même, mourir pour les autres.

Tradabordo a dit…

Élodie : relecture !!!!

Je vous propose :

Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.

OK ?

Sonita a dit…

OK.

Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.

Elodie a dit…

Peut-être une circonstance extrême l’avait-elle obligé à prendre cette décision, à laisser un vide avec son départ ou, ce qui revenait au même, à mourir pour les autres.



OK.