samedi 10 novembre 2012

Les Lituma – phrase 219

Era él quien cargaba el cuerpo sin vida de Juan: quien quiera que se lo hubiera cruzado habría creído que, lejos de llevar una pesada carga, traía sobre sus hombros algo liviano, un soplo, un hálito.

Traduction temporaire :
C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eût croisé, eût cru que, loin de charrier un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur les épaules, un souffle, un soupir.

8 commentaires:

Sonita a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eut croisé, aurait cru que, loin d’emmener une lourde charge, il avait sur ses épaules quelque chose de léger, un souffle, une haleine.

Tradabordo a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eut croisé, aurait cru [temps] que, loin d’emmener une lourde charge [peu naturel], il avait sur ses épaules quelque chose de léger [syntaxe à un peu modifier], un souffle, une haleine [ça ne va pas…].

Sonita a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eut croisé, aura cru que, loin d’emmener un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur ses épaules un souffle, un soupir.

Tradabordo a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eut [eût] croisé, aura cru [temps !!!!] que, loin d’emmener [avec « charrier »] un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur ses [LES] épaules un souffle, un soupir.

Elodie a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eût croisé, eût cru que, loin de charrier un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur les épaules un souffle, un soupir.

Tradabordo a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eût croisé, eût cru que, loin de charrier un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur les épaules, un souffle, un soupir.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eût croisé, eût cru que, loin de charrier un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur les épaules, un souffle, un soupir.

OK.

Sonita a dit…

OK.

C’était lui qui portait le corps sans vie de Juan : quiconque l’eût croisé, eût cru que, loin de charrier un lourd fardeau, il avait quelque chose de léger sur les épaules, un souffle, un soupir.