vendredi 23 novembre 2012

Les Lituma – phrases 261-262

Me quedé solo a esa hora y con ese viento en París. Algunos empleados municipales barrían ya las calles antes de que los turistas las ocuparan y se tomaran fotos, escribieran cartas postales y jugaran a ser parisinos, cualquiera sea el sentido que se le de a esta expresión a esa hora en que las farolas apagan, una a una, sus luces.

Traduction temporaire :
Je me retrouvai seul, dans Paris, à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'arrivée des touristes, qui prendraient des photos, écriraient des cartes postales et joueraient à être parisiens – quel que soit le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lumières des lampadaires s'éteignent une à une.

10 commentaires:

Elodie a dit…

Je restai seul à cette heure et avec ce vent dans Paris. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant que les touristes ne les occupassent et qu'ils ne prissent des photos, écrivissent des cartes postales et qu'ils ne jouassent à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

Les verbes à l'imparfait du subjonctif me semblent bizarres dans cette phrase, ça fait "savant".

Tradabordo a dit…

Je restai [un verbe mieux] seul à cette heure et avec ce vent dans Paris [déplace « dans Paris » ; sans doute faudra-t-il ponctuer un peu… Regarde]. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant que les touristes ne les occupassent et qu'ils ne prissent des photos, écrivissent des cartes postales et qu'ils ne jouassent à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

En effet, ne fais pas la concordance des temps et mets un peu de naturel dans tout ça.

Sonita a dit…

Je me retrouvai seul dans Paris à cette heure et avec ce vent dans Paris. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant que les touristes ne les occupent et qu'ils ne prenennt des photos, écrivent des cartes postales et qu'ils ne joeunt à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

Elodie a dit…

Je demeurai seul dans Paris, à cette heure, et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant que les touristes les occupent et qu'ils prennent des photos, écrivent des cartes postales et qu'ils jouent à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression, à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

Tradabordo a dit…

Je me retrouvai seul dans Paris à cette heure et avec ce vent dans Paris.
Il faut ponctuer cette phrase – cf mon commentaire précédent.

Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant que les touristes ne les occupent [simplifier avec un substantif] et qu'ils ne prenennt [COQUILLE] des photos, écrivent des cartes postales et qu'ils ne joeunt [COQUILLE] à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

Toute la fin est à reprendre.

Essayez de fusionner vos solutions – c'est plus simple que de suivre deux chemins parallèles.

Sonita a dit…

Je me retrouvai, seul, dans Paris à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'occupation des touristes et qu'ils ne prennent des photos, écrivent des cartes postales et qu'ils ne jouent à être parisiens, peu importe le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lampadaires éteignent, une à une, leurs lumières.

Tradabordo a dit…

Je vous propose :

Je me retrouvai seul, dans Paris, à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'arrivée des touristes, qui prendraient des photos, écriraient des cartes postales et joueraient à être parisiens – quel que soit le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lumières des lampadaires s'éteignent une à une.

OK ?

Elodie a dit…

Je me retrouvai seul, dans Paris, à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'arrivée des touristes, qui prendraient des photos, écriraient des cartes postales et joueraient à être parisiens – quel que soit le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lumières des lampadaires s'éteignent une à une.

OK.

Sonita a dit…

OK.

Je me retrouvai seul, dans Paris, à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'arrivée des touristes, qui prendraient des photos, écriraient des cartes postales et joueraient à être parisiens – quel que soit le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lumières des lampadaires s'éteignent une à une.

Justine a dit…

Je me retrouvai seul, dans Paris, à cette heure et avec ce vent. Quelques employés municipaux balayaient déjà les rues avant l'arrivée des touristes, qui prendraient des photos, écriraient des cartes postales et joueraient à être parisiens – quel que soit le sens que l'on donne à cette expression à l'heure où les lumières des lampadaires s'éteignent une à une.

OK.