mardi 6 novembre 2012

Projet Céline – phrase 25

Entonces dejó de sonreír, entonces se quedó serio escuchándola hablar, escuchando hablar con curiosidad y oculta alegría a la empleada de servicio, escuchando a los pasajeros que venían retrasados por el pasillo, pues ya el altoparlante estaba anunciando la salida del tren, es decir de un tren, la voz de su mujer, la voz suave, agradable, ligeramente melancólica de su mujer, la voz agria, agriada, curiosa y un tanto insolente de la empleada, las voces de los pasajeros que estaban colocando sus maletas a su espalda, una vieja, dos viejas, una cantidad de viejas, un gato, hasta un gato, todo eso le había hecho perder el hilo de su pensamiento, que en realidad, lo comprendía perfectamente, era el hilo de su tranquilidad, mas bien dicho del asombro de su tranquilidad.

Traduction temporaire :
Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un brin insolente de l’employée, les voix des passagers qui chargeaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat ; tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité,  il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Alors il arrêta de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant parler avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir en retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un rien insolente de l’employée, les voix des passagers qui mettaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat, tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

Tradabordo a dit…

Alors il arrêta [ou « cessa de » ?] de sourire,

alors il devint sérieux en l’écoutant [ou par « tandis que » ?] parler,

en écoutant parler avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service [on inverse la syntaxe ?] + [« employée de service » ; je me demande si c'est clair…],

en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir en retard [ou « avec du retard » ?],

Faisons déjà ça.

Unknown a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un rien insolente de l’employée, les voix des passagers qui mettaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat, tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

J’ai peur que « tandis que » alourdisse la phrase étant donné que « escuchando » est répété à trois reprises.

Pour « employée de service », cela se dit en français, mais je suis d’accord sur le fait que cela ne soit pas très clair. Mais je ne sais pas par quoi on pourrait le remplacer…

Tradabordo a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un rien insolente de l’employée, les voix des passagers qui mettaient [avec « charger » ?] leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat, [point-virgule ?] tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

OK pour le reste… Tu te débrouilles très bien.

Unknown a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un rien insolente de l’employée, les voix des passagers qui chargeaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat ; tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

Tradabordo a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un rien [ou « un brin » ? Je te laisse trancher] insolente de l’employée, les voix des passagers qui chargeaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat ; tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

OK pour le reste…

Unknown a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un brin insolente de l’employée, les voix des passagers qui chargeaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat ; tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

Tradabordo a dit…

Alors il cessa de sourire, alors il devint sérieux en l’écoutant parler, en écoutant avec curiosité et avec une joie secrète l’employée de service parler, en écoutant les passagers qui arrivaient du couloir avec du retard, car le haut-parleur annonçait déjà le départ du train, c’est-à-dire d’un train ; la voix de sa femme, la voix douce, agréable, légèrement mélancolique de sa femme, la voix aigre, aigrie, curieuse et un brin insolente de l’employée, les voix des passagers qui chargeaient leurs bagages sur leur dos, une vieille, deux vieilles, plein de vieilles, un chat, même un chat ; tout cela lui avait fait perdre le fil de sa pensée, qui, en réalité, il le comprenait parfaitement, était le fil de sa tranquillité, ou plutôt de l’étonnement de sa tranquillité.

OK.