dimanche 4 novembre 2012

Projet Elena – phrase 2

En mis pensamientos, me veía explicándole que ya nada nos reunía, el silencio había terminado por imponerse entre ambos; por eso, lo mejor era que nos separásemos, que cada uno tomara su rumbo de espaldas al recuerdo, hasta ser olvido o, lo que es lo mismo, dejar de existir.

Traduction temporaire :
Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous, et que donc, le mieux était que nous nous séparions, que chacun suive son propre chemin, dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus qu'oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

9 commentaires:

Elena a dit…

Dans mes pensées, je me voyais en lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; voilà pourquoi, le mieux était que nous nous quittions, que chacun reprenne son chemin en tournant le dos aux souvenirs, jusqu’à ce qu’il devienne oubli ou, ce qui est pareil, s’arrête d’exister.

Littérale, littérale.

Tradabordo a dit…

Dans mes pensées [ou « dans la tête » ? Je te laisse trancher], je me voyais en [NON pas « en » ici] lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; voilà pourquoi [là, je pense que ce serait mieux avec « et que donc, »], le mieux était que nous nous quittions [un verbe plus adapté ici], que chacun reprenne [pourquoi « re » ?] son [cheville « propre » ?] chemin en tournant le dos [un adjectif à la place de « en tournant »] aux souvenirs, jusqu’à ce qu’il [qui « il » ?] devienne oubli ou, ce qui est pareil [passe par « revenir »], s’arrête [passe par un autre verbe… que je te laisse trouver] d’exister.

Elena a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; et que donc, le mieux était que nous nous quittions, que chacun prenne son propre chemin, le dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils deviennent oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

Elena a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; et que donc, le mieux était que nous nous éloignions, que chacun prenne son propre chemin, le dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils deviennent oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

Tradabordo a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; et que donc, le mieux était que nous nous quittions [cf mon commentaire précédent : « un verbe plus adapté ici »], que chacun prenne [en fait, ce sera mieux avec « suivre »] son propre chemin, le [pas besoin de « le »] dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils deviennent [« ne soient plus qu' »] oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

Elena a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous ; et que donc, le mieux était que nous nous éloignions, que chacun suive son propre chemin, dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus qu'oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

"que de l'oublie" ?

Tradabordo a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous, et que donc, le mieux était que nous nous éloignions [avec « séparer »], que chacun suive son propre chemin, dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus qu'oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

OK pour le reste.

Elena a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous, et que donc, le mieux était que nous nous séparions, que chacun suive son propre chemin, dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus qu'oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

Tradabordo a dit…

Dans mes pensées, je me voyais lui expliquant que plus rien ne nous unissait, que le silence avait fini par s’imposer entre nous, et que donc, le mieux était que nous nous séparions, que chacun suive son propre chemin, dos tourné aux souvenirs, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus qu'oubli ou, ce qui revient au même, qu'ils cessent d’exister.

OK.