dimanche 4 novembre 2012

Projet Elena – phrase 3

Pero apenas llegaba a la puerta del edificio, algo me obligaba a dar media vuelta una vez más, como si el contemplar la separación (o su perspectiva) me permitiese entrever, no sólo lo engorroso de la situación sino también la incertidumbre y el vacío frente a una nueva vida.

Traduction temporaire :
Cependant,  à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligea à faire demi-tour une fois de plus, comme si l'imminence de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

7 commentaires:

Elena a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligeait à faire demi-tour une fois de plus, comme si la contemplation de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir, non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

- J'avais pensé à : "rebrousser chemin", mais on a "chemin" juste avant.
- pas sûre pour "contemplation".

Tradabordo a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligeait à faire demi-tour une fois de plus, comme si la contemplation de la séparation (ou sa perspective) [UNE SEULE SOLUTION… J'ATTENDS QUE TU AIES TRANCHÉ] me laissait entrevoir, non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

Tradabordo a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligeait à faire demi-tour une fois de plus, comme si la contemplation [en français, on ne peut vraiment pas l'employer dans ce sens ; il faut trouver une autre solution] de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir, [pas besoin de la virgule] non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

Elena a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligeait à faire demi-tour une fois de plus, comme si la vision de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

Tradabordo a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligeait [j'ai quand même un pb avec cet imparfait… car comme il fait référence à un jour précis, on devrait mettre du passé simple… Qu'en penses-tu ?] à faire demi-tour une fois de plus, comme si la vision [« imminence » ? je change un peu, mais n'est-ce pas plus convaincant ? Dis-moi ce que tu en penses ?] de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

Elena a dit…

Je tente :

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligea à faire demi-tour une fois de plus, comme si l'imminence de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

Tradabordo a dit…

Cependant, à peine arrivé devant la porte de l’immeuble, quelque chose m’obligea à faire demi-tour une fois de plus, comme si l'imminence de la séparation (ou sa perspective) me laissait entrevoir non seulement la difficulté de l’entreprise, mais aussi l’incertitude et le vide face à une nouvelle vie.

OK… ça me semble bien.