A esa hora, la ciudad es una agitación constante de peatones, es sencillo encaminar sus pasos a ninguna parte.
Traduction temporaire :
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; il est facile de diriger ses pas vers nulle part.
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; il est facile de diriger ses pas vers nulle part.
7 commentaires:
À cette heure-là, la ville est en effervescence continuelle de piétons, c’est (plutôt) simple d’acheminer ses pas vers nulle part.
À cette heure-là, la ville est en effervescence continuelle de piétons [tu ne traduis pas ce que dis la V.O. ; cf le « una »], c’est (plutôt) TRANCHE – dorénavant, interdit de mettre des alternative, dans le texte ou en note – [fais sans « c'est »… Attention, ça devient un tic] simple [ou « facile » ?] d’acheminer ses pas vers nulle part.
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons, acheminer ses pas vers nulle part est plutôt facile.
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons, acheminer ses pas vers nulle part est plutôt facile.
Je ne crois pas que le « plutôt » apporte quoi que ce soit…
Point-virgule après « piétons » ?
« acheminer » ne va pas ; ça n'est pas ainsi qu'on dit pour les pas.
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; diriger ses pas vers nulle part est facile.
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; diriger ses pas vers nulle part est facile.
Ou – je te laisse trancher :
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; il est facile de diriger ses pas vers nulle part.
J'avais pensé aux deux. Celle-ci reste plus près de la V.O. :
À cette heure-là, la ville est une effervescence continuelle de piétons ; il est facile de diriger ses pas vers nulle part.
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