lundi 5 novembre 2012

Projet Céline – phrases 23-24

Pero ahora había una pequeña diferencia. No se había peleado con su mujer, en realidad no había tenido necesidad de pelearse con ella, tampoco se habría atrevido a hacerlo, ella estaba muy enferma,  el médico Tritino decía que probablemente su enfermedad nerviosa se transformaría rápidamente en enfermedad cardíaca, no, no habían peleado,  incluso la había besado,  esta vez en el pelo y en la frente, antes de que él se fuera.

Traduction temporaire :
Sauf qu’à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme ; en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, d'ailleurs il n’aurait pas non plus osé le faire : elle était très malade, le docteur Tritino disait qu’il était fort possible que sa maladie nerveuse se transforme rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front,  avant de partir.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Mais à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme, en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, il n’aurait pas non plus osé le faire, elle était très malade, le docteur Tritino disait que, probablement, sa maladie nerveuse se transformerait rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant qu’il ne parte.

Tradabordo a dit…

Mais [ou « sauf que » ?] à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme, [point-virgule pour qu'on comprenne bien avec quel bloc va « en réalité » ?] en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, [cheville « d'ailleurs » ?] il n’aurait pas non plus osé le faire, [deux points ?] elle était très malade, le docteur Tritino disait que, probablement [à placer ailleurs ? – ne sera-it-ce que pour éviter la multiplication des virgules… ?], sa maladie nerveuse se transformerait rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant qu’il ne parte [est-ce que ce ne serait pas plus simple avec l'infinitif ?].

Unknown a dit…

Sauf qu’à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme ; en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, d'ailleurs il n’aurait pas non plus osé le faire : elle était très malade, le docteur Tritino disait que sa maladie nerveuse se transformerait probablement rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant de partir.

Tradabordo a dit…

Sauf qu’à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme ; en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, d'ailleurs il n’aurait pas non plus osé le faire : elle était très malade, le docteur Tritino disait que sa maladie nerveuse se transformerait probablement rapidement [deux adverbes en « -ment » à côté, pas terrible…] en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant de partir.

Unknown a dit…

Sauf qu’à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme ; en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, d'ailleurs il n’aurait pas non plus osé le faire : elle était très malade, le docteur Tritino disait qu’il était fort possible que sa maladie nerveuse se transforme rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant de partir.

Je ne peux pas dire « il était probable que », car on l’a déjà utilisé quelques lignes plus haut.

Tradabordo a dit…

Sauf qu’à présent, il y avait une petite différence. Il ne s’était pas disputé avec sa femme ; en réalité, il n’avait pas eu besoin de se disputer avec elle, d'ailleurs il n’aurait pas non plus osé le faire : elle était très malade, le docteur Tritino disait qu’il était fort possible que sa maladie nerveuse se transforme rapidement en maladie cardiaque ; non, ils ne s’étaient pas disputés, il l’avait même embrassée, cette fois-ci sur les cheveux et sur le front, avant de partir.

OK.