lundi 5 novembre 2012

Projet Elena – phrase 8

Una paloma se acercó a pedirme de comer; después, una familia pasó llevando un ataúd, una mujer lloraba adelante; más tarde, apareció un sacerdote sudoroso y circunspecto, con una levita negra que se hinchaba al viento, el mismo viento que corría las hojas de su misal abierto.

Traduction temporaire :
Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; une famille transportant un cercueil passa ensuite – une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition – il portait une lévite gonflée à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

6 commentaires:

Elena a dit…

Une colombe s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille défila portant un cercueil, une femme pleurait devant ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait une lévite qui gonflait au vent, le même vent qui faisait tourner les pages de son missel ouvert.

Tradabordo a dit…

Une colombe [ou « pigeon » ?] s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille défila portant [ça ne va pas : « défila portant »] un cercueil, une femme pleurait devant [« en tête de cortège »] ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait une lévite qui gonflait au vent [mal dit], le même vent qui faisait [un moyen d'éviter « faire » ?] tourner les pages de son missel ouvert.

Elena a dit…

Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille marcha en portant un cercueil, une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait une lévite qui gonflait à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

Tradabordo a dit…

Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille marcha [pourquoi pas « passa », comme en V.O. ?] en portant un cercueil, une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait [aïe ; deux fois le verbe « porter » dans la même phrase] une lévite qui gonflait [pourquoi pas avec l'adjectif ?] à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

Elena a dit…

Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille passa en transportant un cercueil, une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait une lévite gonflée à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

"trimballer" me semblait trop fam.

Tradabordo a dit…

Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; ensuite, une famille passa en transportant un cercueil, une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition, il portait une lévite gonflée à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

Je te propose :

Un pigeon s’approcha de moi pour quémander de la nourriture ; une famille transportant un cercueil passa ensuite – une femme pleurait en tête de cortège ; plus tard, un prêtre suant et circonspect fit son apparition – il portait une lévite gonflée à cause du vent, le même vent qui tournait les pages de son missel ouvert.

OK ?