vendredi 7 juin 2013

Projet Nancy 2 – phrases 30-31

Las venas del cuello casi cobraron vida propia en el azul del cielo. Las venas de las manos cocineras, alegres y  desenfadadas, se agitaron más que nunca, y la rabia roja no desapareció, ni siquiera después de haber terminado la comida.

Traduction temporaire :
Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Celles de ses mains de cuisinière, joyeuses et détendues, s’agitèrent plus que jamais. La rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

15 commentaires:

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent faire leur propre vie dans le bleu du ciel. Les veines de ses mains cuisinières, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge ne disparût pas, même après avoir terminé de cuisiner.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent faire [pas le sens] leur propre vie dans le bleu du ciel. Les veines de ses mains cuisinières [ou « de cuisinière » ?], joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge [cheville : « , elle » ?] ne disparût [GRAMMAIRE] pas, même après avoir terminé de cuisiner [reviens plus près de la V.O.].

Nancy a dit…

Les veines de son cou parurent prendre vie sur le bleu du ciel[?]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même après avoir terminé le repas.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou parurent prendre [pourquoi pas littéralement ?] vie sur le bleu du ciel. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même après avoir [on croit que c'est le rage qui a terminé le repas, non ?] terminé le repas.

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent reprendre vie sur le bleu du ciel [?]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt[?].

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent reprendre [pourquoi «re-» ?] vie sur le bleu du ciel [? Je ne comprends pas ton point d'interrogation]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt[? idem].

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre vie sur le bleu du ciel [? Je ne comprends pas ton point d'interrogation./C'est quand je ne suis pas convaincue par ma proposition… mais ça ne sert à rien, je vais arrêter d'en mettre :)]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre vie [pourquoi pas littérale ?] sur le bleu du ciel [? Je ne comprends pas ton point d'interrogation./C'est quand je ne suis pas convaincue par ma proposition… mais ça ne sert à rien, je vais arrêter d'en mettre :) / c'est-à-dire que là, la trad littérale me semble la meilleure]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur propre vie dans le bleu du ciel [là, c'est littéral mais c'est bizarre, non ?]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur propre [pas besoin] vie dans le bleu du ciel [là, c'est littéral mais c'est bizarre, non ? Non… c'est bien + référence intertextuelle ; si tu veux « sur le bleu… » / comme tu veux]. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Les veines de ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Les veines [on répète ou « celles » ?] de [« sur » ?] ses mains de cuisinière, joyeuses et apaisées, s’agitèrent plus que jamais ; [point ?] la rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Nancy a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Celles de ses mains de cuisinière, [ou "Les veines sur" j'hésite], joyeuses et apaisées [c'est plus dans le sens de "détendues", non ?], s’agitèrent plus que jamais. La rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

Tradabordo a dit…

Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Celles de ses mains de cuisinière, joyeuses et détendues, s’agitèrent plus que jamais. La rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.

OK comme ça, alors ?

Nancy a dit…

Oui.

Les veines de son cou faillirent prendre leur vie sur le bleu du ciel. Celles de ses mains de cuisinière, joyeuses et détendues, s’agitèrent plus que jamais. La rage rouge, elle, ne disparut pas, même une fois le repas prêt.