samedi 7 avril 2018

Projet Basta ! Rachel – texte 12

BERLY DENISSE NÚÑEZ PITTY

La leche es mejor fría

Cada día a las cinco de la mañana, me levanto a calentar la leche. El ruido del cucharón de madera al arremeter contra la olla termina de despertarme. Desde hace tiempo un dolor punzante ocupa mi hombro derecho. El brazo ya no se eleva lo su ciente y el cucharón viejo ha tenido que convertirse en mi favorito, mien- tras el reluciente, el que mis hijas me obsequiaron en la última navidad, adorna los estantes más altos.  En la super cie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles. La espuma sobrepasa los bordes y se escurre la leche, llenando la estufa, ardiendo en mis manos.  ¿Otra vez derramaste la leche? Otra vez. Mis manos enrojecidas notan el roce del agua al meterse entre las arrugas, acarician- do las ampollas que están por salir. El viejo va a llegar tarde por mi culpa. Mis dedos torpes asen con fuerza la olla y vierto en una taza lo que queda del líquido. La mesa está servida.  El viejo no está. Recuerdo que el ruido sosegado de sus pasos se detuvo hace algunos años. Decenas de papelitos se acumulan en la puerta de la nevera: recordatorios de que madrugar ya no tiene sentido. Que la leche hervida nadie se la va a tomar. Camino hacia la libreta y la deshojo una vez más. Quizás mañana descubra el papel a tiempo. Pero ahora un pensamiento me divierte como a niña traviesa. Mis manos atrevidas buscan. El cartón se abre y nalmente, el líquido blanco y frío (casi helado) llena la luz de mi garganta, provocándome una sonrisa. 

Traduction temporaire :

Le lait est meilleur froid

Chaque jour, à cinq heures du matin, je me lève pour faire chauffer le lait. Le bruit de la louche en bois cognant contre la cocotte finit de me réveiller. Depuis un moment, j'ai une douleur lancinante à l'épaule droite. Mon bras ne se lève plus assez et la vieille louche est devenue ma préférée alors que la toute neuve, celle que mes filles m'ont offerte à Noël dernier, orne les étagères les plus hautes.  Les bulles grossissent et éclatent à la surface quand j'entends traîner les claquettes du vieux en train de sortir de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles. L'écume déborde et le lait qui s'échappe inonde la cuisinière, me brûle les mains. Tu as encore renversé le lait ? Encore ? Mes mains rougies sentent le frôlement de l'eau lorsqu'elle coule entre leurs rides et caresse les ampoules sur le point de se former. Le vieux va être en retard par ma faute. Mes doigts malhabiles saisissent avec force la casserole et je verse ce qu'il reste du liquide dans une tasse. Le petit déjeuner est servi. Le vieux n'est pas là. Je me souviens que le bruit feutré de ses pas s'est arrêté il y a de cela quelques années. Des dizaines de post-it s'accumulent sur la porte du réfrigérateur, me rappellent que se lever tôt n'a plus de sens. Que personne ne boira le lait bouilli. Je vais jusqu'au calepin et j'arrache la feuille une fois de plus. Peut-être que demain je trouverai le papier à temps. Mais pour le moment, une pensée me distrait comme elle distrairait une enfant espiègle. Mes mains intrépides cherchent. La brique en carton s'ouvre et finalement, le liquide blanc et froid (presque glacé) remplit la lumière de ma gorge, me faisant sourire.

35 commentaires:

Rachel a dit…

BERLY DENISSE NÚÑEZ PITTY

Le lait est meilleur froid

Cada día a las cinco de la mañana, me levanto a calentar la leche. El ruido del cucharón de madera al arremeter contra la olla termina de despertarme. Desde hace tiempo un dolor punzante ocupa mi hombro derecho.

Chaque jour à cinq heures du matin, je me lève pour faire chauffer le lait. Le bruit de la louche en bois cognant contre la cocotte finit de me réveiller. Depuis un moment, j'ai une douleur lancinante à l'épaule droite.

Tradabordo a dit…

BERLY DENISSE NÚÑEZ PITTY

Le lait est meilleur froid

Cada día a las cinco de la mañana, me levanto a calentar la leche. El ruido del cucharón de madera al arremeter contra la olla termina de despertarme. Desde hace tiempo un dolor punzante ocupa mi hombro derecho.

Chaque jour [virgule] à cinq heures du matin, je me lève pour faire chauffer le lait. Le bruit de la louche en bois cognant contre la cocotte finit de me réveiller. Depuis un moment, j'ai une douleur lancinante à l'épaule droite.

Rachel a dit…

BERLY DENISSE NÚÑEZ PITTY

Le lait est meilleur froid

Cada día a las cinco de la mañana, me levanto a calentar la leche. El ruido del cucharón de madera al arremeter contra la olla termina de despertarme. Desde hace tiempo un dolor punzante ocupa mi hombro derecho.

Chaque jour, à cinq heures du matin, je me lève pour faire chauffer le lait. Le bruit de la louche en bois cognant contre la cocotte finit de me réveiller. Depuis un moment, j'ai une douleur lancinante à l'épaule droite.

Tradabordo a dit…

BERLY DENISSE NÚÑEZ PITTY

Le lait est meilleur froid

Cada día a las cinco de la mañana, me levanto a calentar la leche. El ruido del cucharón de madera al arremeter contra la olla termina de despertarme. Desde hace tiempo un dolor punzante ocupa mi hombro derecho.

Chaque jour, à cinq heures du matin, je me lève pour faire chauffer le lait. Le bruit de la louche en bois cognant contre la cocotte finit de me réveiller. Depuis un moment, j'ai une douleur lancinante à l'épaule droite.

OK.

Rachel a dit…

El brazo ya no se eleva lo su ciente y el cucharón viejo ha tenido que convertirse en mi favorito, mien- tras el reluciente, el que mis hijas me obsequiaron en la última navidad, adorna los estantes más altos.

Mon bras ne se lève plus assez et la vieille louche est devenue ma préférée alors que la toute neuve, celle que mes filles m'ont offerte à Noël dernier, orne les étagères les plus hautes.

Rachel a dit…

El brazo ya no se eleva lo su ciente y el cucharón viejo ha tenido que convertirse en mi favorito, mien- tras el reluciente, el que mis hijas me obsequiaron en la última navidad, adorna los estantes más altos.

Mon bras ne se lève plus assez et la vieille louche est devenue ma préférée alors que la toute neuve, celle que mes filles m'ont offerte à Noël dernier, orne les étagères les plus hautes.

Tradabordo a dit…

El brazo ya no se eleva lo suficiente y el cucharón viejo ha tenido que convertirse en mi favorito, mien- tras el reluciente, el que mis hijas me obsequiaron en la última navidad, adorna los estantes más altos.

Mon bras ne se lève plus assez et la vieille louche est devenue ma préférée alors que la toute neuve, celle que mes filles m'ont offerte à Noël dernier, orne les étagères les plus hautes.

OK.

Rachel a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

À la surface, les bulles grossissent et éclatent alors que j'entends traîner les claquettes du vieux au moment où il sort de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

Tradabordo a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

À la surface [ou après « éclatent » ? J'hésite], les bulles grossissent et éclatent alors que [pourquoi pas « quand » ?] j'entends traîner les claquettes du vieux au moment [« alors que », ici ?] où il sort de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

Rachel a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

Les bulles grossissent et éclatent à la surface quand j'entends traîner les claquettes du vieux alors qu'il sort de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

Tradabordo a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

Les bulles grossissent et éclatent à la surface quand j'entends traîner les claquettes du vieux alors qu'il sort [ou « en train de sortir » ?] de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

Rachel a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

Les bulles grossissent et éclatent à la surface quand j'entends traîner les claquettes du vieux en train de sortir de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

Tradabordo a dit…

En la superficie las burbujas se hacen grandes y revientan cuando escucho las chancletas del viejo arrastrarse al salir de la habitación. Espera en la mesa impaciente, desaprobando mis pasos lentos, inútiles.

Les bulles grossissent et éclatent à la surface quand j'entends traîner les claquettes du vieux en train de sortir de la chambre. Il attend à table, impatient, désapprouvant mes pas lents, inutiles.

OK.

Rachel a dit…

La espuma sobrepasa los bordes y se escurre la leche, llenando la estufa, ardiendo en mis manos. ¿Otra vez derramaste la leche? Otra vez. Mis manos enrojecidas notan el roce del agua al meterse entre las arrugas, acariciando las ampollas que están por salir.

L'écume déborde et le lait se répand, remplissant la cuisinière, me brûlant les mains. Tu as encore renversé le lait ? Encore ? Mes mains rougies sentent le frôlement de l'eau lorsqu'elle passe entre leurs rides, caressant les ampoules sur le point de se former.

Tradabordo a dit…

La espuma sobrepasa los bordes y se escurre la leche, llenando la estufa, ardiendo en mis manos. ¿Otra vez derramaste la leche? Otra vez. Mis manos enrojecidas notan el roce del agua al meterse entre las arrugas, acariciando las ampollas que están por salir.

L'écume déborde et le lait se répand [« s'échappe » ?], remplissant [« inondant » ?] la cuisinière, me brûlant les mains. Tu as encore renversé [« fait échapper » ?] le lait ? Encore ? Mes mains rougies sentent le frôlement de l'eau lorsqu'elle passe [« coule » ?] entre leurs rides, caressant [une solution pour éviter tous ces gérondifs ?] les ampoules sur le point de se former.

Rachel a dit…

La espuma sobrepasa los bordes y se escurre la leche, llenando la estufa, ardiendo en mis manos. ¿Otra vez derramaste la leche? Otra vez. Mis manos enrojecidas notan el roce del agua al meterse entre las arrugas, acariciando las ampollas que están por salir.

L'écume déborde et le lait qui s'échappe inonde la cuisinière, me brûle les mains. Tu as encore renversé le lait ? Encore ? Mes mains rougies sentent le frôlement de l'eau lorsqu'elle coule entre leurs rides et caresse les ampoules sur le point de se former.

Tradabordo a dit…

La espuma sobrepasa los bordes y se escurre la leche, llenando la estufa, ardiendo en mis manos. ¿Otra vez derramaste la leche? Otra vez. Mis manos enrojecidas notan el roce del agua al meterse entre las arrugas, acariciando las ampollas que están por salir.

L'écume déborde et le lait qui s'échappe inonde la cuisinière, me brûle les mains. Tu as encore renversé le lait ? Encore ? Mes mains rougies sentent le frôlement de l'eau lorsqu'elle coule entre leurs rides et caresse les ampoules sur le point de se former.

OK.

(au fait, on va avoir des ateliers de traduction quelques mercredis du S2. Si tu es dispo [c'est le matin], est-ce que cela t'intéresse ?)

Rachel a dit…

Bonjour Caroline, ça fait plaisir de te retrouver! Bonne année!
Impossible pour moi le mercredi, j'ai cours toute la matinée. D'ailleurs à part le mercredi après-midi, je n'ai pas de demie journée libérée cette année, peut-être mi-juin, quand les cours seront terminés.

Rachel a dit…

El viejo va a llegar tarde por mi culpa. Mis dedos torpes asen con fuerza la olla y vierto en una taza lo que queda del líquido. La mesa está servida. El viejo no está.

Le vieux va être en retard par ma faute. Mes doigts malhabiles saisissent avec force la casserole et je verse dans une tasse ce qu'il reste du liquide. Le petit-déjeuner est servi. Le vieux n'est pas là.

Tradabordo a dit…

El viejo va a llegar tarde por mi culpa. Mis dedos torpes asen con fuerza la olla y vierto en una taza lo que queda del líquido. La mesa está servida. El viejo no está.

Le vieux va être en retard par ma faute. Mes doigts malhabiles saisissent avec force [« vigoureusement » ? Comme tu préfères] la casserole et je verse dans une tasse ce qu'il reste du liquide [pas mieux dans l'autre sens ?]. Le petit déjeuner est servi. Le vieux n'est pas là.

Rachel a dit…

Le vieux va être en retard par ma faute. Mes doigts malhabiles saisissent avec force la casserole et je verse ce qu'il reste du liquide dans une tasse. Le petit déjeuner est servi. Le vieux n'est pas là.

Tradabordo a dit…

Le vieux va être en retard par ma faute. Mes doigts malhabiles saisissent avec force la casserole et je verse ce qu'il reste du liquide dans une tasse. Le petit déjeuner est servi. Le vieux n'est pas là.

OK.

Rachel a dit…

Recuerdo que el ruido sosegado de sus pasos se detuvo hace algunos años. Decenas de papelitos se acumulan en la puerta de la nevera: recordatorios de que madrugar ya no tiene sentido.

Je me souviens que le bruit tranquille de ses pas s'est arrêté depuis quelques années. Des dizaines de pense-bêtes s'accumulent sur la porte du réfrigérateur et me rappellent que se lever tôt n'a plus de sens.

Tradabordo a dit…

Recuerdo que el ruido sosegado de sus pasos se detuvo hace algunos años. Decenas de papelitos se acumulan en la puerta de la nevera: recordatorios de que madrugar ya no tiene sentido.

Je me souviens que le bruit tranquille [inexact ?] de ses pas s'est arrêté depuis [« il y a » / « il y a de cela » ?] quelques années. Des dizaines de pense-bêtes [post-it ?] s'accumulent sur la porte du réfrigérateur et [juste une virgule ?] me rappellent que se lever tôt n'a plus de sens.

Rachel a dit…

Recuerdo que el ruido sosegado de sus pasos se detuvo hace algunos años. Decenas de papelitos se acumulan en la puerta de la nevera: recordatorios de que madrugar ya no tiene sentido.

Je me souviens que le bruit feutré de ses pas s'est arrêté il y a de cela quelques années. Des dizaines de post-it s'accumulent sur la porte du réfrigérateur, me rappellent que se lever tôt n'a plus de sens.

Tradabordo a dit…

Recuerdo que el ruido sosegado de sus pasos se detuvo hace algunos años. Decenas de papelitos se acumulan en la puerta de la nevera: recordatorios de que madrugar ya no tiene sentido.

Je me souviens que le bruit feutré de ses pas s'est arrêté il y a de cela quelques années. Des dizaines de post-it s'accumulent sur la porte du réfrigérateur, me rappellent que se lever tôt n'a plus de sens.

OK.

Rachel a dit…

Que la leche hervida nadie se la va a tomar. Camino hacia la libreta y la deshojo una vez más. Quizás mañana descubra el papel a tiempo. Pero ahora un pensamiento me divierte como a niña traviesa.

Que personne ne boira le lait bouilli. Je vais jusqu'au calepin et en arrache la feuille une fois de plus. Peut-être que demain je trouverai le papier à temps. Mais pour le moment, une pensée me distrait comme elle distrairait une enfant espiègle.

Tradabordo a dit…

Que la leche hervida nadie se la va a tomar. Camino hacia la libreta y la deshojo una vez más. Quizás mañana descubra el papel a tiempo. Pero ahora un pensamiento me divierte como a niña traviesa.

Que personne ne boira le lait bouilli. Je vais jusqu'au calepin et en arrache la [?] feuille une fois de plus. Peut-être que demain je trouverai le papier à temps. Mais pour le moment, une pensée me distrait comme elle distrairait une enfant espiègle.

Rachel a dit…

Que la leche hervida nadie se la va a tomar. Camino hacia la libreta y la deshojo una vez más. Quizás mañana descubra el papel a tiempo. Pero ahora un pensamiento me divierte como a niña traviesa.

Que personne ne boira le lait bouilli. Je vais jusqu'au calepin et j'arrache la feuille une fois de plus. Peut-être que demain je trouverai le papier à temps. Mais pour le moment, une pensée me distrait comme elle distrairait une enfant espiègle.

Tradabordo a dit…

Que la leche hervida nadie se la va a tomar. Camino hacia la libreta y la deshojo una vez más. Quizás mañana descubra el papel a tiempo. Pero ahora un pensamiento me divierte como a niña traviesa.

Que personne ne boira le lait bouilli. Je vais jusqu'au calepin et j'arrache la feuille une fois de plus. Peut-être que demain je trouverai le papier à temps. Mais pour le moment, une pensée me distrait comme elle distrairait une enfant espiègle.

OK.

Rachel a dit…

Mis manos atrevidas buscan. El cartón se abre y nalmente, el líquido blanco y frío (casi helado) llena la luz de mi garganta, provocándome una sonrisa.

Mes mains intrépides cherchent. La brique s'ouvre et finalement, le liquide blanc et froid (presque glacé) remplit la lumière de ma gorge, me faisant sourire.

Tradabordo a dit…

Mis manos atrevidas buscan. El cartón se abre y nalmente, el líquido blanco y frío (casi helado) llena la luz de mi garganta, provocándome una sonrisa.

Mes mains intrépides cherchent. La brique [en carton ?] s'ouvre [virgule ?] et finalement, le liquide blanc et froid (presque glacé) remplit la lumière de ma gorge, me faisant sourire.

Rachel a dit…

Mis manos atrevidas buscan. El cartón se abre y nalmente, el líquido blanco y frío (casi helado) llena la luz de mi garganta, provocándome una sonrisa.

Mes mains intrépides cherchent. La brique en carton s'ouvre et finalement, le liquide blanc et froid (presque glacé) remplit la lumière de ma gorge, me faisant sourire.

Tradabordo a dit…

Mis manos atrevidas buscan. El cartón se abre y nalmente, el líquido blanco y frío (casi helado) llena la luz de mi garganta, provocándome una sonrisa.

Mes mains intrépides cherchent. La brique en carton s'ouvre et finalement, le liquide blanc et froid (presque glacé) remplit la lumière de ma gorge, me faisant sourire.

OK.

Tradabordo a dit…

Je t'ai mis un nouveau texte en ligne / le 13e.