samedi 7 avril 2018

Projet Sabrina / Barbara – titre et phrase 1-7

Natalia esperaba

El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes. La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado. Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa. Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Traduction temporaire :

Natalia attendait

Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants. La fillette reste debout, silencieuse et raisonnable, à côté d’une énorme porte en fer forgé. Elle regarde du coin de l'œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement. Mais elle ne bouge pas. Ses pieds sont cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

55 commentaires:

Sabrina a dit…

Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait
Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants.

Tradabordo a dit…

Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait

Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants.

OK.

Barbara ? Pas certaine qu'elle connaisse le système de la validation, Sabrina… Du coup, écris-lui pour lui expliquer.

Barbara Azevedo a dit…

Sabrina m'a écrit. Merci à toutes les deux!

Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait

Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants [je me demande si ce ne serait pas mieux d'apposer l'adjectif implacable en fin de phrase, qu'en pensez-vous?].

Tradabordo a dit…

Sabrina ?

Sabrina a dit…

Je ne suis pas trop pour car j'ai l'impression que mettre "implacable" à la fin non seulement casserait le rythme, la structure de la phrase en VO qui est bien articulée autour des 2 adj. mais éloignerait encore plus l'adj. du nom auquel il se rapporte (ici, le soleil) en donnant l'impression qu'il serait associer aux passants.

Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait
Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants.

Tradabordo a dit…

Barbara ?

Barbara Azevedo a dit…

Pardon, j'avais oublié d'activer les commentaires suivis pour la conversation!

Apposer "implacable" en fin de phrase ne peut donner l'impression qu'il est associé aux passants qu'à l'oral à la rigueur, mais si tu souhaites coller au rythme de la VO, c'est effectivement ta version qu'il faut garder. (Il faut mettre "ok" en fin de message quand on valide la traduction?)


Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait
Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants.


OK

Tradabordo a dit…

Natalia esperaba
El sol desciende perpendicular, atraviesa las nubes y golpea implacable a los transeúntes.

Natalia attendait
Le soleil descend, perpendiculaire, traverse les nuages et frappe, implacable, les passants.

OK.

Je colle ça et vous pouvez continuer ; pas besoin de remettre ce début, du coup.

Sabrina a dit…

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La petite fille reste debout, silencieuse et obéissante, à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Tradabordo a dit…

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La petite fille [ou : « la fillette » ? Comme vous préférez] reste debout, silencieuse et obéissante [j'hésite… Le cas échéant, demande son avis à Elena], à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Sabrina a dit…

TB "la fillette", merci :)
Pour "juiciosa", il me semble que ça a le sens de sensée, raisonnable car elle respecte ce que lui a dit son père, car elle ne bouge pas comme le lui a demandé son père. J'avais pensé à "sage" dans lequel il y a cette idée de "juicio" aussi, mais juste après, on a l'expression "que darse quietecita" et on emploiera sans doute l'expression "rester sage".

Je demande à Eléna en te mettant en copie, Barbara ;)

Barbara Azevedo a dit…

Merci pour le message! Pour "juiciosa", je pense que l'idée de sage convient très bien et est l'adjectif qui se rapproche le plus du sens espagnol... On pourrait, je pense, traduire ensuite "quietecita" par rester tranquille, comme lorsqu'on dit à un enfant "reste tranquille" pour lui faire comprendre qu'il ne doit pas trop bouger, rester calme et sage (sans la nuance de "raisonnable"). En portugais, quand mes parents me disaient de "ficar quieta", ça voulait bien dire de rester tranquille en tout cas. En attendant l'avis d'Elena...


La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La petite fille reste debout, silencieuse et obéissante [je choisirais "sage"], à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Tradabordo a dit…

On attend la réponse d'Elena.

Sabrina a dit…

Elena propose "judicieuse". Je n'avais pas osé la traduction littérale car j'ai plus l'habitude d'appliquer cet adjectif à un acte qu'à une personne. Mais en allant faire des recherches, je me suis aperçue que cela s'employait. Donc je serais pour suivre Elena et rester fidèle à la VO.

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La fillette reste debout, silencieuse et judicieuse, à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Tradabordo a dit…

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La fillette reste debout, silencieuse et judicieuse [ok pour le sens, mais qd même bizarre en français, ici], à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Sabrina a dit…

Ca me fait bizarre aussi, mais comme je le disais, je pensais que c'était parce que je n'ai pas l'habitude d'attribuer cet adj à une personne.
Je propose "raisonnable" ou "sage" comme l'avait aussi dit Barbara.

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La fillette reste debout, silencieuse et raisonnable, à côté d’une énorme porte en fer forgé.

Barbara Azevedo a dit…

La pequeña niña permanece de pie, callada y juiciosa, al lado de una enorme puerta de hierro forjado.

La fillette reste debout, silencieuse et raisonnable, à côté d’une énorme porte en fer forgé.


OK pour moi

Tradabordo a dit…

OK. J'enregistre et vous pouvez continuer.

Sabrina a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Du coin de l'oeil, elle regarde l’ombre que lui offre la branche d’un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme s’il l’appelait discrètement.

Barbara Azevedo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Du coin de l'oeil, elle regarde [je garderais plutôt l'ordre espagnol: Elle regarde du coin de l'oeil] l’ombre que lui offre [alléger la phrase en utilisant le pp?: l'ombre offerte par] la branche d’un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme s’il l’appelait discrètement [je pense que le sujet de llamar est la rama, donc je traduirais par: comme si elle l'appelait discrètement].

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuille, comme si elle l'appelait discrètement.

Sabrina a dit…

Je suis ok sur l'ordre en début de phrase et la branche comme sujet. Merci :)
En revanche, je trouve que la voix passive n'allège pas vraiment la phrase. De plus, conserver la voix active me semble aller dans le sens de la personnification de la branche en fin de phrase.

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre que lui offre la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

Vous me faites une synthèse de vos remarques en me proposant juste une version commune ?

Barbara Azevedo a dit…

Ok :)


Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre que lui offre la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Sabrina a dit…

Synthèse :

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre que lui offre la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre que lui offre la branche d'un arbre qui [pas un moyen d'éviter ce « que » + « qui » ?] évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Sabrina a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre éventant à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre éventant [ou qui se sert de ses feuilles comme d'un éventail ?] à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Sabrina a dit…

On retomberait dans une relative, ce qu'on cherche précisément à éviter. Et le "apenas" ? Je préfère la proposition précédente ;)
Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre éventant à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Barbara Azevedo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.


Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

On cherchait à éviter le que + qui, mais la relative avec qui me semble justifiée justement par la personnification de la branche dont tu parlais plus haut Sabrina. Je choisirais donc la relative avec qui plutôt que le participe présent.

Tradabordo a dit…

Laquelle des deux solutions préférez-vous, alors ?

Sabrina a dit…

Ok Barbara ;). Voici donc notre proposition :

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Pour être sûre, je demande quand même son avis à Elena.

Elena a dit…

Bonjour à toutes !
Je vous fais quelques propositions, à vous de voir :

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte ["procurée" ?] par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle [Je pense que c'est l'arbre, ou bien pour contourner : "comme en l'appelant / tel un appel furtif (on s'éloigne un peu, mais le sens y est)"] l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Barbara Azevedo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte [il me semble que l'on garde davantage l'idée d'une attraction exercée par l'ombre de l'arbre sur la fillette avec l'adjectif "offerte", cette ombre lui apparaissant comme un cadeau sous ce soleil implacable; "procurée" me semble un peu moins naturel dans ce contexte que "offerte" ou encore "dispensée"] par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement [je pense que c'est la branche, car "sigilosa" ne peut être accordé qu'avec "rama", mais je ne suis pas contre "comme en l'appelant discrètement"].

Tradabordo a dit…

Sabrina, que penses-tu de tout cela ?

Sabrina a dit…

Excusez-moi du retard tardif ; je voulais prendre le temps de tout reprendre.
Merci Elena et Barbara pour vos commentaires :)

On avait déjà débattu sur la question de l'arbre ou la branche et effectivement, on avait conclu qu'il s'agirait de la branche.
Je suis aussi pour coller au plus près de la VO et garder "offerte". La phrase précédente est centrée sur le soleil (qui est d'ailleurs sujet) et on souligne son caractère implacable, il s'abat sur les passants. Donc cette ombre est comme un cadeau du ciel.

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Tradabordo a dit…

On avait déjà débattu sur la question de l'arbre ou la branche et effectivement, on avait conclu qu'il s'agirait de la branche.
Je suis aussi pour coller au plus près de la VO et garder "offerte". La phrase précédente est centrée sur le soleil (qui est d'ailleurs sujet) et on souligne son caractère implacable, il s'abat sur les passants. Donc cette ombre est comme un cadeau du ciel.

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l’œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

OK pour ce début. Barbara ?

Barbara Azevedo a dit…

Mira de reojo la sombra que le ofrece la rama de un árbol que apenas abanica sus hojas, como llamándola sigilosa.

Elle regarde du coin de l'œil l'ombre offerte par la branche d'un arbre qui évente à peine ses feuilles, comme si elle l'appelait discrètement.

Ok!

Tradabordo a dit…

OK. Du coup, vous pouvez continuer.

Sabrina a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds demeurent ancrés au sol. Son père l’avait prise par la main, et avant de retourner à la voiture, il lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Tradabordo a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds demeurent [« sont » ?] ancrés [« cloués » ?] au sol [cette phrase manque de naturel]. Son père l’avait prise par la main, et avant de retourner à [« regagner » ?] la voiture, il lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Sabrina a dit…

Top "cloués" et "regagner" ! Merci :)

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Elle garde les pieds cloués au sol. Son père l’avait prise par la main, et avant de regagner la voiture, il lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Barbara Azevedo a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Elle garde les pieds cloués au sol [pourquoi ne pas garder l'ordre espagnol en traduisant par "ses pieds sont cloués au sol"?]. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, il [peut être que l'on peut retirer ici le pronom personnel "il"] lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Tradabordo a dit…

Sabrina, ton avis sur ce que dit Barbara ?

Sabrina a dit…

Ok pour ôter le "il" :). En revanche, je trouvais que le vb "garder" permettait de traduire l'idée de "permanecer" qu'on perd avec un simple verbe être.

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Elle garde les pieds cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Tradabordo a dit…

Barbara ?

Barbara Azevedo a dit…

Bonjour! Pardon pour l'attente, je n'avais pas vu le message de rappel dans mes mails. J'ai du mal, peut être injustement, avec la formule "garder les pieds cloués au sol"; no me suena. On pourrait utiliser le verbe rester, mais on l'a effectivement déjà employé plus tôt, pour traduire "permanecer". Sachant qu'il s'agit du verbe permanecer dans les deux cas en espagnol, pourquoi ne pas maintenir le verbe rester dans la traduction en français?

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Elle garde les pieds cloués au sol [Ses pieds restent / sont toujours cloués au sol ?]. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage [de se tenir bien tranquille? pour éviter une énième répétition de rester]. Ce qu’elle faisait.

Tradabordo a dit…

Sabrina, ton avis ? Sinon, je trancherai ;-)

Sabrina a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds sont cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Barbara Azevedo a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds sont cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Ok

Sabrina a dit…

On en est là, Caroline ;)

Voici la dernière phrase sur laquelle Barbara et moi s'étions mises d'accord. On peut poursuivre.

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds sont cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

Tradabordo a dit…

Pero no se mueve. Sus pies permanecen anclados al suelo. Su padre la llevó de la mano y, antes de retornar al auto, le indicó que se quedara quietecita. Y eso hacía.

Mais elle ne bouge pas. Ses pieds sont cloués au sol. Son père l’avait prise par la main et, avant de regagner la voiture, lui avait indiqué de rester bien sage. Ce qu’elle faisait.

OK.

Tradabordo a dit…

Du coup, rappelez-moi… C'était un texte autonome et il est terminé ?

Sabrina a dit…

Oui, c'est un texte autonome que tu avais donné à une tertulia tradabordienne.
On en est au début. Je peux te le renvoyer par mail si tu ne l'as plus.