vendredi 12 mars 2010

Les apprenties traductrices s'essaient à la rédaction d'une quatrième de couverture, Laëtitia Sw.

OJOS DE AGUA
Domingo Villar
Genre : roman policier.

Quatrième de couverture :

Vigo, en Galice. L’odeur de la mer et des pins. Luis Reigosa, un jeune saxophoniste, au regard incroyablement clair, est retrouvé cruellement assassiné dans son appartement résidentiel en bord de plage. La violence de la scène laisse présager un crime passionnel. Et pourtant : pas d’effraction, pas de désordre, pas d’indices probants. Mystère. L’affaire est confiée à Leo Caldas, un inspecteur de police qui partage son temps entre le commissariat et une émission de radio locale où il officie comme chroniqueur. Solitaire et taciturne, un brin désenchanté, habité par les fantômes du passé, l’homme navigue entre nostalgie et mélancolie. À ses côtés : l’agent Rafael Estévez, un impétueux aragonais, au coup de poing facile. Sa devise : les choses sont ou ne sont pas... Pas si sûr dans cette Galice insaisissable, aussi ironique qu’ambiguë. De tavernes en clubs de jazz, de bars gays en intérieurs bourgeois, en passant par des laboratoires pharmaceutiques, le tandem poursuivra inlassablement son enquête, dans une atmosphère électrique. Parviendra-t-il à démystifier les apparences, décidément trompeuses, et à faire triompher la vérité qui n’est jamais aussi simple que l’on croit ?

La quatrième de couverture originale :
(Ediciones Siruela, Madrid, 2006)

Entre el aroma del mar y de los pinos gallegos, en una torre residencial junto a la playa, un joven saxofonista de ojos claros, Luis Reigosa, ha aparecido asesinado con una crueldad que apunta a un crimen pasional. Sin embargo, el músico muerto no mantiene una relación estable y la casa, limpia de huellas, no muestra más que partituras ordenadas en los estantes y saxofones colgados en las paredes.
Leo Caldas, un solitario y melancólico inspector de policía que compagina su trabajo en comisaría con un consultorio radiofónico, se hará cargo de una investigación que le llevará de la bruma del anochecer al humo de las tabernas y los clubes de jazz. A su lado está el ayudante Rafael Estévez, un aragonés demasiado impetuoso para una Galicia irónica y ambigua, e incluso demasiado impetuoso para el propio Leo, que busca entre sorbos de vino los fantasmas ocultos en los demás mientras intenta sobrevivir a los suyos.
Gracias a la labor de este singular tándem Caldas-Estévez la verdad termina por aflojar, llevándonos a desentrañar el secreto que esconden los Ojos de agua.

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