lundi 12 novembre 2012

Les Lituma – phrase 224

Pero también eran los seres, esas sombras que se deslizaban sin dejar huella, almas en pena de la noche, que reconocían en mi a un extranjero; por eso, se ponían en guardia, me miraban con ese recelo que se tiene hacia lo desconocido, hacia aquel cuya sola presencia transgrede un orden.

Traduction temporaire :
Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient également des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on manifeste vis-à-vis de l'inconnu, de celui dont la seule présence transgresse un certain ordre.

7 commentaires:

Elodie a dit…

Mais c'était aussi des êtres, ces ombres qui glissent sans laisser de trace, des âmes en peine de la nuit, qui me reconnaissaient comme un étranger ; c'est pourquoi, elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on a envers l'inconnu, envers celui dont seule la présence transgresse un ordre.

Tradabordo a dit…

Mais c'était aussi des êtres, ces ombres qui glissent [TEMPS !] sans laisser de trace [je crois qu'on devrait inverser la syntaxe et commencer par ça : « Mais ces ombres… »], des âmes en peine de la nuit, qui me reconnaissaient comme un étranger ; c'est pourquoi [« raison pour laquelle »], elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on a envers [ou « vis-à-vis » ?] l'inconnu, envers celui dont seule la présence transgresse un ordre.

Justine a dit…

Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient aussi des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on a vis-à-vis de l'inconnu, celui dont la seule présence transgresse un ordre.

Tradabordo a dit…

Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient aussi [« également » pour être plus claires ?] des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on a [ou « manifeste » ?] vis-à-vis de l'inconnu, [« de» ] celui dont la seule présence transgresse un [cheville « certain » ?] ordre.

Sonita a dit…

Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient également des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on manifeste vis-à-vis de l'inconnu, de celui dont la seule présence transgresse un certain ordre.

Tradabordo a dit…

Pero también eran los seres, esas sombras que se deslizaban sin dejar huella, almas en pena de la noche, que reconocían en mi a un extranjero; por eso, se ponían en guardia, me miraban con ese recelo que se tiene hacia lo desconocido, hacia aquel cuya sola presencia transgrede un orden.

Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient également des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on manifeste vis-à-vis de l'inconnu, de celui dont la seule présence transgresse un certain ordre.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

Mais ces ombres qui glissaient sans laisser de trace étaient également des êtres, des âmes en peine de la nuit, qui reconnaissaient en moi un étranger ; raison pour laquelle elles se mettaient en garde, me regardaient avec cette méfiance que l'on manifeste vis-à-vis de l'inconnu, de celui dont la seule présence transgresse un certain ordre.


OK.