lundi 5 novembre 2012

Les Lituma – phrases 187-188

Puedo jurar que un rictus de malestar y de empatía se dibujó en su rostro. No era para menos,  pasamos los días agitándonos por inquietudes y ocupaciones que nos distraen de aquello y de quienes deberían ocuparnos en verdad.

Traduction temporaire :
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Je pourrais presque jurer qu’un rictus exprimant un malaise et de l’empathie se dessina sur son visage. Je n’en attendais pas moins ; nous passons les jours à nous agiter pour des inquiétudes et des occupations qui nous distraient des choses et de ceux qui devraient dont on devrait s’occuper en réalité.

Tradabordo a dit…

Je pourrais [pourquoi pas au présent, comme en V.O. ?] presque [il n'est pas en V.O.] jurer qu’un rictus exprimant un [pourquoi pas « de », comme en V.O. ?] malaise et de l’empathie se dessina [« afficher » sera mieux ici] sur son visage. Je n’en attendais pas moins [tu es sûre de ton interprétation ?] ; nous passons [temps] les jours [« les » ?] à nous agiter pour des inquiétudes [« s'agiter pour des inquiétude » ? Peu naturel] et des occupations qui nous distraient [temps] des choses et de ceux qui devraient [temps] dont on devrait s’occuper en réalité.

Sonita a dit…

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. Difficile d efaire autrement ; nous passons notre temps à nous en faire à cause des soucis et des occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.

***
Pour la fin de la phrase, je crois bien que c'et un présent de vérité générale. C'est pour cette raison que je conjugue les verbes au présent.

Tradabordo a dit…

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. Difficile de faire autrement [ou carrément : « C'était bien le minimum » ? Je ne sais pas trop… alors je te laisse l'entière liberté de trancher ;-)] ; nous passons notre temps à nous en faire à cause des [DE] soucis et des [DE] occupations qui nous distraient des choses [ce sera mieux avec « ce que »] et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.

Sonita a dit…

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous en faire à cause de soucis et d'occupations, ce que nous distrait des choses et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.

***
Avec une virgule après "occupations", du coup ?

Tradabordo a dit…

Je te propose :

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.

OK ?

Sonita a dit…

OK !

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.

Tradabordo a dit…

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.


OK