Puedo jurar que un rictus de malestar y de empatía se dibujó en su rostro. No era para menos, pasamos los días agitándonos por inquietudes y ocupaciones que nos distraen de aquello y de quienes deberían ocuparnos en verdad.
Traduction temporaire :
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.
9 commentaires:
Je pourrais presque jurer qu’un rictus exprimant un malaise et de l’empathie se dessina sur son visage. Je n’en attendais pas moins ; nous passons les jours à nous agiter pour des inquiétudes et des occupations qui nous distraient des choses et de ceux qui devraient dont on devrait s’occuper en réalité.
Je pourrais [pourquoi pas au présent, comme en V.O. ?] presque [il n'est pas en V.O.] jurer qu’un rictus exprimant un [pourquoi pas « de », comme en V.O. ?] malaise et de l’empathie se dessina [« afficher » sera mieux ici] sur son visage. Je n’en attendais pas moins [tu es sûre de ton interprétation ?] ; nous passons [temps] les jours [« les » ?] à nous agiter pour des inquiétudes [« s'agiter pour des inquiétude » ? Peu naturel] et des occupations qui nous distraient [temps] des choses et de ceux qui devraient [temps] dont on devrait s’occuper en réalité.
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. Difficile d efaire autrement ; nous passons notre temps à nous en faire à cause des soucis et des occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.
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Pour la fin de la phrase, je crois bien que c'et un présent de vérité générale. C'est pour cette raison que je conjugue les verbes au présent.
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. Difficile de faire autrement [ou carrément : « C'était bien le minimum » ? Je ne sais pas trop… alors je te laisse l'entière liberté de trancher ;-)] ; nous passons notre temps à nous en faire à cause des [DE] soucis et des [DE] occupations qui nous distraient des choses [ce sera mieux avec « ce que »] et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous en faire à cause de soucis et d'occupations, ce que nous distrait des choses et de ceux dont on devrait s’occuper en réalité.
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Avec une virgule après "occupations", du coup ?
Je te propose :
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.
OK ?
OK !
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.
Validation d'une autre Lituma, svp.
Je peux jurer qu’un rictus de malaise et d'empathie s'afficha sur son visage. C'était bien le minimum ; nous passons notre temps à nous miner à cause de soucis et d'occupations qui nous distraient des choses et de ceux dont on devrait se préoccuper en réalité.
OK
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