lundi 5 novembre 2012

Les Lituma – phrases 189-190

Cuando nos damos cuenta, ya es demasiado tarde,  todo ha terminado, es imposible darle nuevamente vida. Se hizo mi íntimo, nunca nadie me había escuchado con la entereza y la atención que me dedicó (incluso ahora cuando escribo me estremezco de pena y nostalgia al pensar en mi amigo perdido).

Traduction temporaire :
Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec l'intégrité et l’attention qu’il m'offrit (même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu).

7 commentaires:

Sonita a dit…

Quand enfin on se rend compte, il est déjà trop tard. Tout est fini, il est impossible de lui redonner vie. Juan devint mon ami intime, personne ne m’avait jamais écouté avec la fermeté et l’attention qu’il m’offrit – même maintenant, au moment où j’écris ceci je tressaillis de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu.

***
J'ai choisi de mettre le nom de Juan même si l'auteur ne le fait pas car je trouve que c'est plus clair pour que le lecteur ne perde pas le fil.

Tradabordo a dit…

Quand [virgule] enfin [virgule] on [ou « nous » ?] se [et le « en » ?] rend compte, il est déjà [a-t-on vraiment besoin de « déjà » ?] trop tard. Tout est fini, il est impossible de lui redonner vie [« ramener à la vie »]. Juan devint mon ami intime, [point-virgule] personne ne m’avait jamais écouté avec la fermeté [bof] et l’attention qu’il m’offrit – [pourquoi pas une parenthèse, comme en V.O. ?] même maintenant, au moment où [par « alors que »] j’écris ceci [« ces lignes »] [virgule] je tressaillis [corrige-toi] de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu.

Sonita a dit…

Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec le stoïcisme et l’attention qu’il m'offrit ( même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu ).

Tradabordo a dit…

Pas d'espace dans les parenthèses.

Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec le stoïcisme [« intégrité » ?] et l’attention qu’il m'offrit (même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu).

Sonita a dit…

Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec l'intégrité et l’attention qu’il m'offrit (même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu).

Tradabordo a dit…

Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec l'intégrité et l’attention qu’il m'offrit (même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu).

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

Quand, enfin, nous nous en rendons compte, il est trop tard. Tout est fini, il est impossible de le ramener à la vie. Juan devint mon ami intime ; personne ne m’avait jamais écouté avec l'intégrité et l’attention qu’il m'offrit (même maintenant, alors que j’écris ces lignes, je tressaille de honte et de nostalgie en pensant à mon ami disparu).

OK.