vendredi 9 novembre 2012

Les Lituma – phrases 214-215

Apenas entramos en el metro, lo primero que me llamó la atención fue el olor. Era una pestilencia que, conforme nos introducíamos en las galerías clausuradas a los usuarios, se hacia cada vez más concreto y denso, por lo tanto más insoportable.

Traduction temporaire :
Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. À mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers, cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable.

10 commentaires:

Elodie a dit…

C'est l'odeur qui, à peine entrés dans le métro, attira mon attention. C'était une pestilence qui, à mesure que nous nous introduisions dans les galeries fermées aux usagers, se faisait de plus en plus concrète et dense, par conséquent, de plus en plus insupportable.

Tradabordo a dit…

C'est l'odeur qui, à peine entrés dans le métro, attira mon attention. C'était une pestilence qui, à mesure que nous nous introduisions dans les galeries fermées aux usagers, se faisait de plus en plus concrète et dense, par conséquent, de plus en plus insupportable.

Pour le premier jet, je demande qu'on s'en tienne à une traduction littérale ; c'est après seulement, et après en avoir constaté ensemble la nécessité, qu'on change… éventuellement.

Reviens à la V.O.

Elodie a dit…

À peine sommes-nous entrés dans le métro, ce qui attira en premier mon attention, c'est l'odeur. C'était une pestilence qui, à mesure que nous nous introduisions dans les galeries fermées aux usagers, se faisait de plus en plus concrète et dense, par conséquent, de plus en plus insupportable.

Tradabordo a dit…

À peine sommes-nous entrés [le verbe est-il nécessaire ?] dans le métro, [Ok ici une modif de syntaxe : commence ce morceau par « odeur » ; on verra après si d'autres aménagements sont bons] ce qui attira en premier mon attention, c'est l'odeur. C'était [pas besoin + encore une construction en « c'est » ; attention à ce tic, courant en traduction et qui est une facilité] une pestilence qui, à mesure que nous nous introduisions [avec le synonyme, ce sera certainement mieux] dans les galeries fermées [ou « interdites » – je crois qu'on a déjà « fermé » dans la phrase d'avant, mais je ne suis pas certaine] aux usagers, se faisait [un verbe plus intéressant que « se faire » ?] de plus en plus concrète et dense, par conséquent, de plus en plus insupportable.

Elodie a dit…

Odeur qui, à peine dans le métro, attira mon attention. Cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable à mesure que nous entrions dans les galeries interdites aux usagers.

Tradabordo a dit…

Odeur qui, à peine dans le métro, attira mon attention [ou « Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro » ?]. Cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable [virgule] à mesure que nous entrions [avec « pénétrer »] dans les galeries [ou « couloirs » ? Je te laisse trancher] interdites aux usagers.

Sonita a dit…

Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. Cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable, à mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers.

Tradabordo a dit…

Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. Cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable, à mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers.

Je vous propose :

Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. À mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers, cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable.

OK ?

Elodie a dit…

Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. À mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers, cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable.


OK.

Sonita a dit…

OK.

Une odeur qui me saisit dès que j'entrai dans le métro. À mesure que nous pénétrions dans les couloirs interdits aux usagers, cette pestilence devenait de plus en plus dense et concrète, par conséquent, de plus en plus insupportable.