vendredi 9 novembre 2012

Les Lituma – phrases 216-217

Por lo demás, el poco aire que había, en lugar de aligerar la atmósfera, la cargaba aún más. Así, muy pronto me vi obligado a llevarme la mano a la boca, detenerme cerca de cualquier toma de aire e intentar respirar, buscarle una tregua a esa pestilencia para llenarme los pulmones.

Traduction temporaire :
Et sinon, le peu d'air qu'il y avait chargeait davantage l'atmosphère plus qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

11 commentaires:

Elodie a dit…

À part ça, le peu d'air qu'il y avait, au lieu d'alléger l'atmosphère, le chargeait encore plus. Ainsi, très vite, je me vis obligé de mettre ma main sur ma bouche, de m'arrêter près de n'importe quelle prise d'air et d'essayer de respirer, de chercher une trêve à cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Tradabordo a dit…

À part ça [ou : « En dehors de cela » ou « Outre cela » ou simplement « Sinon » ? À toi de voir], le peu d'air qu'il y avait, au lieu d'alléger l'atmosphère [là, oui, une changement de syntaxe s'impose… Vas-y !], le chargeait encore plus. Ainsi [ou « De sorte que » ?], très vite, je me vis obligé [ou « dans l'obligation » ? Je te laisse trancher] de mettre ma main sur ma bouche [ou avec « couvrir » ?], de m'arrêter près de n'importe quelle [non, simplifie !] prise d'air [mal dit] et [ou « pour » ?] d'essayer de respirer, de chercher une trêve [mal formulé… Peu naturel en français] à cette pestilence afin de remplir mes poumons [on verra la fin quand le nettoyage du reste aura été effectué].

Elodie a dit…

Sinon, le peu d'air qu'il y avait, chargeait encore plus l'atmosphère au lieu de l'alléger. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche de ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de chercher à interrompre cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Tradabordo a dit…

Sinon, le peu d'air qu'il y avait, chargeait encore plus [ou « davantage » ?] l'atmosphère au lieu de [ou « plutôt que » ?] l'alléger. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche de [ou « avec » ? Vérifie dans Le Robert, etc.] ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de chercher à interrompre [« interrompre » ne va pas] cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Elodie a dit…

Sinon, le peu d'air qu'il y avait, chargeait davantage l'atmosphère plutôt que de l'alléger. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Tradabordo a dit…

[cheville « Et » au début ?] Sinon, le peu d'air qu'il y avait, chargeait davantage l'atmosphère plutôt que de [non, ça ne va pas… il faut passer par « qu'il ne »] l'alléger. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Sonita a dit…

Et sinon, le peu d'air qu'il y avait, chargeait davantage l'atmosphère plutôt qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Tradabordo a dit…

Et sinon, le peu d'air qu'il y avait, [pas sûre pour cette virgule car on sépare le sujet du verbe…] chargeait davantage l'atmosphère plutôt [« PLUS »] qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, de [pas besoin, je crois…] chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Elodie a dit…

Et sinon, le peu d'air qu'il y avait chargeait davantage l'atmosphère plus qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

Tradabordo a dit…

Et sinon, le peu d'air qu'il y avait chargeait davantage l'atmosphère plus qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Sonita a dit…

OK.

Et sinon, le peu d'air qu'il y avait chargeait davantage l'atmosphère plus qu'il ne l'allégeait. De sorte que, très vite, je me vis dans l'obligation de couvrir ma bouche avec ma main, de m'arrêter près d'une grille d'aération pour essayer de respirer, chercher à réduire cette pestilence afin de remplir mes poumons.