mercredi 7 novembre 2012

Les Ollantay – phrases 70-71

En la radio suena esta canción:

«Llevo largo tiempo sintiendo embarazo,
por mis delirios, 
por la inconsciencia,
de hablar con los que se piensan sin lazo,
mientras frecuentan la demencia
¿Cuánto he pasado en las aulas,
para olvidar la vida aquella,
en refectorio,
deseando salvar las almas,
pero viviendo por ello en el oprobio?»

Traduction temporaire :
À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau,
à cause de mes délires,
à cause de l'inconscience,
qu'il y a à parler à ceux qui se croient sans entraves,
alors qu’ils fréquentent la démence
Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe,
pour oublier cette vie, 
au réfectoire,
à désirer sauver les âmes,
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

9 commentaires:

Emilie a dit…

Tout change, sauf le dernier vers...

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je ressens de l’embarras
à cause de mes délires, à cause de l’inconscience
de parler à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre à cause de cela dans l’opprobre ?

Tradabordo a dit…

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je ressens de l’embarras [crois-tu que cette formulation serait naturelle dans une chanson…, a fortiori pour ados ;-) ?]
à cause de mes délires, à cause de l’inconscience
de parler [ça veut dire quoi « l'inconscience de parler » ?] à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre à cause de cela dans l’opprobre [inversion syntaxique ?] ?

Emilie a dit…

Nouvel essai...

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal à l'aise
à cause de mes délires, car c'est par inconscience
que je parle à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

Emilie a dit…

Nouvel essai...

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal à l'aise
à cause de mes délires, car c'est par inconscience
que je parle à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

Tradabordo a dit…

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal à l'aise [est-ce que ce serait carrément tirer de passer par « mal dans ma peau » ?]
à cause de mes délires, car c'est [ah oui, tu crois qu'il y a ce lien logique entre les deux « por » ? Je ne dis pas que c'est faux… ] par inconscience
que je parle à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

OK pour le reste…

Emilie a dit…

Non, je ne suis pas sûre du lien logique, mais je ne trouve pas de bonne formulation...
2e raison à son malaise: parler à ceux..., qui équivaut à de l'inconscience.
Je ne suis pas sûre du sens tout court, en fait...

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau
à cause de mes délires, car c'est par inconscience
que je parle à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

Tradabordo a dit…

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau
à cause de mes délires, car c'est par inconscience
que je parle à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Et comme ça :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau
à cause de mes délires, à cause de l'inconscience
qu'il y a à parler à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

?


Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

Emilie a dit…

oui, en fait... Je crois que j'y ai pensé à un moment, avant de me compliquer la vie...

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau
à cause de mes délires, à cause de l'inconscience
qu'il y a à parler à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

Justine a dit…

À la radio, on entend cette chanson :

Il y a longtemps que je suis mal dans ma peau
à cause de mes délires, à cause de l'inconscience
qu'il y a à parler à ceux qui se croient sans entraves
alors qu’ils fréquentent la démence

Combien de temps ai-je passé dans les salles de classe
pour oublier cette vie, au réfectoire
à désirer sauver les âmes
mais à vivre dans l’opprobre à cause de cela ?

OK.