dimanche 4 novembre 2012

Les Pachacamac – phrase 233

Ellos sin saber habían convivido con un pueblo de ahogados y, mucho más adelante se darían cuenta que los “Otros” tenían algo de semejanza con su madre.

Traduction temporaire :
Sans le savoir, ils avaient cohabité avec un peuple de noyés et, bien plus tard, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

7 commentaires:

Justine a dit…

Sans le savoir, ils avaient vécu avec un peuple de noyés et, bien après, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

Tradabordo a dit…

Sans le savoir, ils avaient vécu [pas tout à fait le sens] avec un peuple [ou « village » ? Est-ce que ça n'est pas le titre de la nouvelle ? Regarde ce qu'on a mis] de noyés et, bien après [dans quel sens : temps ou espace ?], ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

Justine a dit…

Le titre de la nouvelle est « La ciudad de los ahogados »

Sans le savoir, ils avaient cohabité avec un peuple de noyés et, plus tard, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

Tradabordo a dit…

Merci pour la vérification.

Sans le savoir, ils avaient cohabité avec un peuple de noyés et, [« mucho »] plus tard, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

Justine a dit…

Sans le savoir, ils avaient cohabité avec un peuple de noyés et, bien plus tard, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

Tradabordo a dit…

Sans le savoir, ils avaient cohabité avec un peuple de noyés et, bien plus tard, ils se rendraient compte que les « Autres » avaient une certaine ressemblance avec leur mère.

OK.

Perrine ?

perrine a dit…

OK.