vendredi 16 novembre 2012

Projet Manon – phrase 20

Cuando te poner pálido es que estás excitado, no me engañas, le dijo ella, halagada, para picarlo, enrabiarlo – recordaba soñadora  que cuando estaba furioso, en otro tiempo, la poesía soberbia mente, como un verdadero macho – o ponerlo celoso, pues no olvidaba que antes de casarse había sido muy coqueta, tanto que ella misma tenía miedo de lo que podría pasarle, pues eran tantas bocas las que la habían besado, tantas manos las que la habían manoseado, se sentía sucia.

Traduction temporaire :
Quand tu blêmis, c’est que tu es excité,  ne me la fais pas, à moi, lui lâcha-t-elle, flattée, pour le vexer, le mettre en colère – elle se rappelait,  songeuse,  que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait fièrement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car elle n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’elle avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, qu'elle se sentait sale.

6 commentaires:

Unknown a dit…

1) Erreur de frappe de ma part : ce n'est pas "la poesía", mais "la poseía", ce qui change tout ! Et je me demande, du coup, si c'est "soberbiamente" en un seul mot. Il n'y a pas de tiret sur le manuscrit, mais "soberbia" est en fin de ligne... Qu'en penses-tu ?
2) "Menacer" est peut-être une surtraduction ?
3) Je ne suis pas sûre de mes traductions de "pues"
4) Je ne m'y retrouve pas trop non plus entre "il" et "elle"...

Quand tu pâlis, c’est que tu es excité, ne me prends pas pour une idiote, le menaça-t-elle, pour le provoquer, le faire enrager – elle se souvenait, rêveuse, que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait orgueilleusement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car il n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’il avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, elle se sentait sale.

Tradabordo a dit…

Quand tu pâlis [ou « blêmir » ? Je te laisse trancher], c’est que tu es excité, ne me prends pas pour une idiote [tu changes], le menaça [FS]-t-elle, OMISSION [« halagada » ?] pour le provoquer [FS], le faire enrager – elle se souvenait [Recordar = rappeler],

Fais déjà ça…

rêveuse, que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait orgueilleusement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car il n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’il avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, elle se sentait sale.

Unknown a dit…

Pour "no me engañas", il fallait changer parce qu'il y avait faux sens ou ce n'était juste pas la bonne manière de le dire ?
Je ne comprends pas trop ce "halagada"...

Quand tu blêmis, c’est que tu es excité, ne me la fais pas à moi, lui lâcha-t-elle, satisfaite, pour le vexer, le faire enrager – elle se rappelait, rêveuse, que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait orgueilleusement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car il n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’il avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, elle se sentait sale.

Tradabordo a dit…

Quand tu blêmis, c’est que tu es excité, ne me la fais pas [virgule] à moi, lui lâcha-t-elle, satisfaite [en théorie, c'est plutôt dans le sens de « flattée » ; fouille dans l'unilingue pour confirmer le sens que tu veux… sans hésitation ; le cas échéant, demande son avis à Joker Elena], pour le vexer, le faire [tu as déjà un « faire » quelques mots plus haut ; trouve une solution] enrager – elle se rappelait, rêveuse [ou « songeuse » ?], que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait orgueilleusement [ou « fièrement » ?], comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car il [ou « elle » ?] n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’il [« elle » ?] avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, [« qu' » ?] elle se sentait sale.

Unknown a dit…

En gros, l'unilingue définit plutôt "flattée" ou "enorgueillie", mais je ne vois pas ce que ça vient faire ici...? Je les mets ici de "halagar", et au pire je ferai appel à Elena ;)

1. tr. Dar a alguien muestras de afecto o rendimiento con palabras o acciones que puedan serle gratas.

2. tr. Dar motivo de satisfacción o envanecimiento.

3. tr. Adular o decir a alguien interesadamente cosas que le agraden.

4. tr. Agradar, deleitar.

Quand tu blêmis, c’est que tu es excité, ne me la fais pas, à moi, lui lâcha-t-elle, flattée, pour le vexer, le mettre en colère – elle se rappelait, songeuse, que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait fièrement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car elle n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’elle avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, qu'elle se sentait sale.

Tradabordo a dit…

Quand tu blêmis, c’est que tu es excité, ne me la fais pas, à moi, lui lâcha-t-elle, flattée, pour le vexer, le mettre en colère – elle se rappelait, songeuse, que lorsqu’il était furieux, autrefois, il la possédait fièrement, comme un véritable mâle – ou le rendre jaloux, car elle n’oubliait pas qu’avant de se marier, elle avait été très coquette, à tel point qu’elle avait peur de ce qui pourrait lui arriver, parce qu’il y avait tant de bouches qui l’avaient embrassée, tant de mains qui l’avaient tripotée, qu'elle se sentait sale.

OK.