dimanche 11 novembre 2012

Projet Nadia – phrase 25

¿El desgarramiento de los cuadros de Van Gogh existiría si él no hubiera sido esa conmovedora clase de cristo sin cruz, de agónico sin agonía (o con demasiad agonía), ese aburrimiento, ese cansancio que llega a ser el sufrimiento sin tregua? 

Traduction temporaire :
Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas appartenu au genre si émouvant des christs sans croix, des agonisants sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

11 commentaires:

Unknown a dit…

Le déchirement des tableaux de Van Gogh existerait-il si lui-même n'avait pas été ce genre émouvant de christ sans croix, d'agonisant sans agonie (ou avec un excès d'agonie), cet ennui, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Tradabordo a dit…

Le déchirement [ah non, tu ne peux pas l'employer dans ce sens] des tableaux de Van Gogh existerait-il si lui-même [pourquoi l'ajout de « lui-même » ?] n'avait pas été ce [démonstratif à supprimer] genre émouvant de christ sans croix [syntaxe à modifier], d'agonisant sans agonie (ou avec un excès d'agonie [pas très naturel ; une autre solution ?]), cet ennui [ou « lassitude » ?], cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Unknown a dit…

Je ne sais pas comment faire avec "con demasiada agonia" sans en perdre le sens.
Quant au remaniement de la syntaxe, je ne vois pas où il faut le faire.

L'affliction des tableaux de Van Gogh existerait-elle s'il n'avait pas été un genre, émouvant, de christ sans croix , d'agonisant sans agonie (ou en pleine agonie), cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Tradabordo a dit…

L'affliction [une question brusquement : faut-il comprendre le terme espagnol au sens figuré ou au sens propre ?] des tableaux de Van Gogh existerait-elle s'il n'avait pas été un genre, émouvant, de christ sans croix [passe par « appartenir » ; ce sera plus natuel], d'agonisant sans agonie (ou en pleine [avec « trop-plein »] agonie), cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Unknown a dit…

C'est vrai que l'auteur aurait pu choisir un autre mot que "desgarramiento",peut-être voulait-il faire un jeu de mot. En attendant, je n'ai vu nulle part que les tableaux de Van Gogh ait été déchirés au sens propre du terme. Que fait-on dans ces cas-là ? Je remets "déchirement" ?
Si j'utilise le verbe "appartenir", j'ai un problème pour l'enchaînement avec "cette lassitude, cette fatigue".

Le déchirement des tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas appartenu au genre, émouvant, de christ sans croix , d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Tradabordo a dit…

¿El desgarramiento de los cuadros de Van Gogh existiría si él no hubiera sido esa conmovedora clase de cristo sin cruz, de agónico sin agonía (o con demasiad agonía), ese aburrimiento, ese cansancio que llega a ser el sufrimiento sin tregua?

Le déchirement des [dans ce cas, que penses-tu de « dans les » ?] tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas appartenu au genre, émouvant, de christ sans croix [passe par « pas été du genre »], d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), [il faut répéter « si + pas »] cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Unknown a dit…

Je me suis senti obligée de rajouter un verbe pour le mettre au plus-que parfait "n'avait pas éprouvé", je ne ne sais pas s'il y a un autre moyen ?

Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas été du genre, émouvant, de christ sans croix, d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Tradabordo a dit…

Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas été du genre, émouvant [il faut vraiment que tu trouves une solution où tu pourrais ne pas séparer le substantif de l'adjectif… avec ces virgules], de christ sans croix, d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

OK pour le reste…

Unknown a dit…

Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas été du genre si émouvant de christ sans croix, d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Tradabordo a dit…

Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas été du genre si émouvant de christ sans croix, d'agonisant sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

Allez… je te propose :

Le déchirement dans les tableaux de Van Gogh existerait-il s'il n'avait pas appartenu au genre si émouvant des christs sans croix, des agonisants sans agonie (ou en trop-plein d'agonie), s'il n'avait pas éprouvé cette lassitude, cette fatigue que devient la souffrance sans trêve ?

OK ?

Unknown a dit…

ok