vendredi 23 novembre 2012

Projet Nadia – phrase 27


Usted, que ha tenido seguramente tan presente al pobre suicida, cuando armaba sus interiores holandeses, intensos, profundos, insomnes, testimonio lucido de ese eterno invierno transparente de los países fríos de Europa (¿o de un frio mas fatal e impostergable?), no, no puede olvidar al desolado ser humano común, que apenas toca la vida, resbalando por elle, esas lagrimas que le van sobrando, esa hambre que le va haciendo forados, y que, pobrecitos, pobrecitos todos ellos, nuestros hermanos anónimos, no conocen el artes que los rescata.

Traduction temporaire :
Vous, qui avez certainement eu bien présent à l'esprit ce pathétique suicidaire quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds,  insomniaques, en témoin lucide de l'éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou bien est-ce qu’il s’agit d'un froid mortel et inévitable ?),  non,  vous ne pouvez pas oublier la tristesse de l’être humain ordinaire,  qui passe à côté de la vie,  qui l'effleure à peine – ces larmes qu'il a en trop,  cette faim qui le tenaille,  et nos pauvres,  pauvres d'eux,  frères anonymes qui ne connaissent pas l'art,  lui qui est pourtant apte à les sauver.

7 commentaires:

Unknown a dit…

J'ai un problème avec "y que" puis le verbe "conocen" quel est le sujet? el ser humano comun ? nuestros hermanos anonimos ? et "los rescata", "los" = nuestros hermanos?

Vous, qui, certainement, avez souvent eu à l'esprit ce pauvre suicidaire, quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, témoin lucide de cet éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou d'un froid mortel et que l'on ne peut pas ajourner) non, vous ne pouvez pas oublier le triste commun des mortels, qui touche à peine la vie, qui glisse sur elle, ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et les pauvres, pauvres d'eux, nos frères anonymes, ils ne connaissent pas l'art qui les sauve.

Tradabordo a dit…

Vous, qui, certainement, avez souvent [change un peu la syntaxe pour éviter toutes ces virgules] eu à l'esprit [que fais-tu du « tan » ?] ce pauvre [ou « misérable » / « pathétique » ?] suicidaire, quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, [cheville : « en »] témoin lucide de cet [ou « l' » ?] éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou [cheville : « bien est-ce » ?] d'un froid mortel et que l'on ne peut pas [avec un adjectif ce sera plus simple] ajourner) non, vous ne pouvez pas oublier le triste commun des mortels [tu devrais revenir à la V.O.], qui touche à peine la vie [peu clair ; demande-toi ce qu'il faut comprendre et explicite… la trad littérale ne fonctionne pas bien], qui glisse sur elle, ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et les pauvres, pauvres d'eux, nos frères anonymes, ils [ou « qui » ?] ne connaissent pas l'art qui [« apte à » ?] les sauve.

Unknown a dit…

Pour "que apenas toca la vida", j'ai explicité mais du coup, j'ai transformé aussi la proposition suivante. Je ne sais pas si ça fait trop de changements.

Vous, qui avez certainement eu tellement à l'esprit ce malheureux suicidaire, quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, en témoin lucide de l'éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou bien est-ce d'un froid mortel et inévitable) non, vous ne pouvez pas oublier le triste être humain ordinaire, qui passe à côté de la vie, qui l'effleure à peine, ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et les pauvres, pauvres d'eux, nos frères anonymes qui ne connaissent pas l'art apte à les sauver.

Tradabordo a dit…

Vous, qui avez certainement eu tellement [« bien présent »] à l'esprit ce malheureux [« pathétique » ?] suicidaire, quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, en témoin lucide de l'éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou bien est-ce d'un froid mortel et inévitable [si tu construis comme ça, il te faut une cheville derrière, genre « qu'il s'agit »]) non, vous ne pouvez pas oublier le triste être humain ordinaire [comme c'est un peu bizarre : « la tristesse de l'être humain ordinaire » ? Je te laisse voir], qui passe à côté de la vie, qui l'effleure à peine, [tiret ?] ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et les [« nos » ici ?] pauvres, pauvres d'eux, nos frères anonymes qui ne connaissent pas l'art [cheville : « , lui qui est » ?] apte à les sauver.

Unknown a dit…

Vous, qui avez certainement eu bien présent à l'esprit ce pathétique suicidaire, quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, en témoin lucide de l'éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou bien est-ce qu’il s’agit d'un froid mortel et inévitable non, vous ne pouvez pas oublier la tristesse de l’être humain ordinaire, qui passe à côté de la vie, qui l'effleure à peine, — ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et nos pauvres, pauvres d'eux, nos frères anonymes qui ne connaissent pas l'art, lui qui est apte à les sauver.

Tradabordo a dit…

J'ai fait quelques petites modifs :

Vous, qui avez certainement eu bien présent à l'esprit ce pathétique suicidaire quand vous réalisiez vos intérieurs hollandais, intenses, profonds, insomniaques, en témoin lucide de l'éternel hiver transparent des pays froids d'Europe (ou bien est-ce qu’il s’agit d'un froid mortel et inévitable ?), non, vous ne pouvez pas oublier la tristesse de l’être humain ordinaire, qui passe à côté de la vie, qui l'effleure à peine — ces larmes qu'il a en trop, cette faim qui le tenaille, et nos pauvres, pauvres d'eux, frères anonymes qui ne connaissent pas l'art, lui qui est pourtant apte à les sauver.

OK ?

Unknown a dit…

ok