jeudi 17 décembre 2015

Projet Sabrina 4 – phrases 22-27

El siseo de una libélula, bzzzz, lo escucho con ni tidez. Pareciera que la pérdida de la visión me estuviera afinando el oído. Bzzzz. Aunque ya no pueda ver, puedo imaginar que una mujer vaporosa, de cabellos tan brillantes como las aguas de este lago a mediodía, se aproxima y sonríe, y sin tener que empinarse sobre sus pies avista una legión de buenas noticias. Yo aprendí a bucear desde muy joven; por algo nací en una ciudad anclada a las orillas de un océano. La primera vez que vine aquí, me sumergí avituallado como un exper to: no me faltaban la máscara de silicona y doble cristal, ni el buzo isotérmico, ni las aletas, ni la bolsa de muestreo; tampoco el tanque de aire ni la linterna.

Traduction temporaire :
Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon ouïe. Zzzz. À défaut de voir, j'ai le loisir d'imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, puis, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger tout jeune ; je ne suis pas né dans une ville amarrée au bord d'un océan pour rien. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

8 commentaires:

Sabrina a dit…

Le sifflement d'une libellule, zzz, je l'entends nettement. C'est comme si perdre la vue était en train d'affiner mon oreille. Même si je ne peux plus voir, je peux imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, et sans avoir à se mettre sur la pointe des pieds, elle aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis tout jeune ; ce n'est pas pour rien que je suis né dans une ville ancrée au bord de l'océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : il ne me manquait ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Tradabordo a dit…

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. C'est comme si perdre la vue était en train [bof ; la construction n'est pas géniale… N'hésite pas à reformuler tout ça] d'affiner mon oreille [il y a mieux]. Même si je ne peux plus voir, je peux imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, et [virgule ?] sans avoir à se mettre [« hisser » ? Comme tu veux] sur la pointe des pieds, elle [nécessaire ? Vérifie…] aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis tout jeune ; ce n'est [tu as « c'est » avant ; attention à ce vilain tic] pas pour rien que je suis né dans une ville ancrée [« amarrée » ? Comme tu préfères…] au bord de l'[« de un », en V.O.]océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : il ne me manquait [naturel ?] ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Sabrina a dit…

Je préfère "se hisser", bien plus joli, merci :).
Idem pour "amarrée" :)

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon oreille. Même si je ne peux plus voir, je peux imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, et, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis tout jeune ; il y a bien une raison à être né dans une ville amarrée au bord d'un océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Tradabordo a dit…

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon oreille [« ouïe »]. Même si je ne peux plus [ou en passant par « à défaut de » ? Essaie et vois ce qui est mieux…] voir, je peux [« j'ai le loisir de » ?] imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, et [« puis » ?], sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis tout jeune ; il y a bien une raison à être [« cela n'est pas en vain de je suis » ?] né dans une ville amarrée au bord d'un océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Sabrina a dit…

Oui pour tout, merci :).
En revanche, "cela n'est pas en vain que je suis" me fait bizarre. C'est sans doute car c'est une expression que je n'ai pas l'habitude d'employer. On remet "pour rien" :p ?

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon ouïe. À défaut de pouvoir voir, j'ai le loisir d'imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, puis, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis tout jeune ; cela n'est pas pour rien je suis né dans une ville amarrée au bord d'un océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Tradabordo a dit…

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon ouïe. À défaut de pouvoir [nécessaire ?] voir, j'ai le loisir d'imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, puis, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger depuis [nécessaire ?] tout jeune ; cela n'est pas pour rien [ou juste avec « pour rien » placé à la fin ? Essaie] je suis né dans une ville amarrée au bord d'un océan. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Sabrina a dit…

Pour "pouvoir" et "depuis", je m'étais aussi posé la question mais je n'ose jamais enlever des mots de la V.O. ;)
Parfait avec "pour rien" à la fin ! Merci :)
Je rajoute un "zzzz" que j'avais oublié.

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon ouïe. Zzzz. À défaut de voir, j'ai le loisir d'imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, puis, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger tout jeune ; je ne suis pas né dans une ville amarrée au bord d'un océan pour rien. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

Tradabordo a dit…

Le sifflement d'une libellule, zzzz, je l'entends nettement. On aurait dit que perdre la vue avait aiguisé mon ouïe. Zzzz. À défaut de voir, j'ai le loisir d'imaginer qu'une femme vaporeuse, aux cheveux aussi brillants que les eaux de ce lac à la mi-journée, s'approche et sourit, puis, sans avoir à se hisser sur la pointe des pieds, aperçoit un flot de bonnes nouvelles. J'ai appris à plonger tout jeune ; je ne suis pas né dans une ville amarrée au bord d'un océan pour rien. La première fois que je suis venu ici, je me suis immergé, équipé comme un professionnel : je n'avais oublié ni le masque en silicone double foyer, ni la combinaison isothermique, ni les nageoires, ni l'épuisette ; ni non plus la réserve d'air, ni la lampe torche.

OK.