lundi 18 juillet 2016

Projet Elena13 – phrases 56-63

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee. Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris. Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador. Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Traduction temporaire :
Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis l'enfance, à Anerjee.
Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris. Un tremblement doux et saccadé, pas comme celui de Laurence. Chacun a une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur prétend qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris. On l'a effacé, dis-je, en jetant dessus une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur. Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état, je n'ai pas commencé cette guerre.

26 commentaires:

Elena a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences volant ma tête en éclats, me produisant le même tremblement depuis mon enfance à Anerjee.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.
Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci [ki = aquí]. Peut-être qu'Anerjee était très près de là où [do = donde] la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.
On l'a effacé, dis-je, en lançant une pluie jaune depuis les bombardiers, tel qu'un siècle auparavant avec Iris au complet. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.
Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi plaisante que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état, je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences volant [incorrect] ma tête en éclats, me produisant [mal dit] le même tremblement depuis mon enfance [virgule ?] à Anerjee.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était très [« tout » / sans doute plus naturel] près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lançant [ambigu ; j'ai dû regarder la V.O. pour comprendre que ça n'allait pas avec « dis-je »] une pluie jaune depuis les bombardiers, tel qu'un siècle auparavant avec Iris au complet [section mal dite]. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi plaisante [j'hésite] que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ?], je n'ai pas commencé cette guerre.

Elena a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui volaient ma tête en éclats et me produisaient le même tremblement depuis mon enfance, à Anerjee.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Brigitte LE ROY a dit…

J’ose une tentative …

Des fréquences, des fréquences qui me faisaient voler la tête en éclats, qui me provoquaient un tremblement depuis les premiers jours à Anerjee. Un tremblement doux et bref, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version différente du tremblement, ici. Peut-être qu’Anerjee se trouvait tout près de l’endroit où était tombée la pluie jaune. Mais l’interrogateur dit qu’Anerjee n’existe pas sur la carte d’Iris.
Ils l’ont rayé de la carte, je te dis, ils ont balancé une pluie jaune des bombardiers, comme il y a un siècle sur Iris toute entière.

Non, pas ça, dit l’interrogateur.

Et moi, je veux encore une piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, le non-être aussi sacré que l’être. La santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus, ce n’est pas de ma faute si je suis dans cet état-là, ce n’est pas moi qui ai commencé la guerre.

Tradabordo a dit…

Bonjour Brigitte,

Je comprends ton impatience à commencer, mais que je sache, nous ne nous sommes pas encore mises d'accord sur les modalités de ton intégration, a fortiori sur le fait que tu prendrais en marche le projet d'Elena. Ça n'est pas comme cela que nous fonctionnons… Attends que je te contacte.

Elena a dit…

Je pense que c'était juste un test pour voir si elle avait bien intégré les modalités techniques du fonctionnement.

Tradabordo a dit…

Elena, du coup, remets-moi la trad que tu veux que j'évalue.

Elena a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui volaient ma tête en éclats et me produisaient le même tremblement depuis mon enfance, à Anerjee.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui volaient ma [incorrect / ça ne se dit pas comme ça] tête en éclats et me [mal dit] produisaient le même tremblement depuis mon enfance, à Anerjee.

Faisons bloc par bloc.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Elena a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui éclataient ma tête en morceaux et qui me produisaient le même tremblement depuis mon enfance, à Anerjee.

Faisons bloc par bloc.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui éclataient [non plus…] ma tête en morceaux et qui me [non] produisaient le même tremblement depuis mon [pas besoin du possessif] enfance, à Anerjee.

Elena a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui faisaient éclater ma tête en morceaux et qui me [Chat 🐱] produisaient le même tremblement depuis mon l'enfance, à Anerjee.

Tradabordo a dit…

Frecuencias, frecuencias que me volaban la cabeza, que me producían el tembleque desde los días niños en Anerjee.
Des fréquences, des fréquences qui faisaient éclater [ou « exploser » ?] ma tête en morceaux et qui me [Chat 🐱] produisaient [« produisaient en moi »] le même tremblement depuis mon l'enfance, à Anerjee.

Elena a dit…

Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis mon l'enfance, à Anerjee.

Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.

Un tremblement doux et court, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Tradabordo a dit…

Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis mon l'[coquille]enfance, à Anerjee.
Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.
Un tremblement doux et court [il y a mieux], pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur affirme [« prétend » ?] qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Elena a dit…

Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis l'enfance, à Anerjee.
Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.
Un tremblement doux et saccadé, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur prétend qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Tradabordo a dit…

Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis l'enfance, à Anerjee.
Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris.
Un tremblement doux et saccadé, pas comme celui de Laurence. Nous avons tous [passe par « chacun », car tu as « tout » dans la phrase d'après] une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur prétend qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.

Et tu peux ajouter un peu de la suite.

Elena a dit…


Des fréquences, des fréquences qui faisaient exploser ma tête en morceaux et qui produisaient en moi le même tremblement depuis l'enfance, à Anerjee.
Un tembleque suave y corto, no como el de Laurence. Todos tenemos una versión del tembleque ki. Quizás Anerjee estaba muy cerca de do cayó la lluvia amarilla. Mas el interrogador dice que Anerjee no existe nel mapa de Iris. Un tremblement doux et saccadé, pas comme celui de Laurence. Chacun a une version du tremblement 'ci. Peut-être qu'Anerjee était tout près de là où la pluie était tombée. Sauf que l'interrogateur prétend qu'Anerjee n'existe pas sur la carte d'Iris.
Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

J'ai collé le début… comme ça, on est débarrassées.

Tradabordo a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en lui [on croit que ça porte sur le « je » et donc qu'il est le sujet…………] jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Elena a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en y jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à [Pas sûre de la prép... "sur" ?] Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état...], je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en y [passe plutôt par « dessus »] jetant une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à [Pas sûre de la prép... "sur" ? / OK avec « à »] Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état... /// est-ce qu'il y a juste l'état ou les deux ?], je n'ai pas commencé cette guerre.

Elena a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé, dis-je, en jetant dessus une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état [littéral ? // J'ai hésité aussi, mais je crains qu'en traduisant pas "je suis comme je suis", on perde l'idée d'état... /// est-ce qu'il y a juste l'état ou les deux ? //// Juste l'état : il est minable, détruit, malade.], je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé [au fait, masculin ou féminin ?], dis-je, en jetant dessus une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état, je n'ai pas commencé cette guerre.

Elena a dit…

Lo borraron, digo, lanzaron una lluvia amarilla desde los bombarderos, como un siglo antes con todo Iris. No, eso no, dice el interrogador.

On l'a effacé [au fait, masculin ou féminin ? // Masculin : "lo", et j'ai vérifié, c'est "le village"], dis-je, en jetant dessus une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.

Y yo quiero una inyección más, la muerte es tan cómoda como la vida, el nostar tan sagrado como el estar, la salud es tan o más mortal que la enfermedad, no es mi culpa si estoy como estoy, yo no inicié esta guerra.

Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état, je n'ai pas commencé cette guerre.

Tradabordo a dit…

On l'a effacé, dis-je, en jetant dessus une pluie jaune depuis les bombardiers, comme à Iris, un siècle auparavant. Non, pas ça, réplique l'interrogateur.
Et moi, je veux une nouvelle piqûre, la mort est aussi confortable que la vie, ne pasêtrelà aussi sacré que d'y être, la santé est tout aussi mortelle que la maladie, voire plus. Ça n'est pas de ma faute si je suis dans cet état, je n'ai pas commencé cette guerre.

OK.