mercredi 3 mai 2017

Projet Sonita 21

Eduardo Halfón (Guatemala)

EL AUSENTE

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”
Bajo un viejo y gastado sudadero gris, seguía uniformado en su traje celeste de médico.
“Revisamos a la niña y no tenía nada. Ningún golpe. Ninguna lesión interna. La presión arterial normal. Es decir, físicamente estaba bien. Pero en coma.”
El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.
“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”
Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.
“Para proteger a la niña le dicen que su mamá ha fallecido en un accidente de carro, y la niña entonces crece creyendo que su mamá está muerta.”
La camarera les sirvió dos tequilas a los jóvenes. Ellos brindaron con escándalo.
“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”
Fumó un par de veces con los ojos inflamados y las cejas arqueadas hasta que percibió que no había más tabaco en su cigarro y aplastó la colilla en un cenicero.
“Hoy murió.”
El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.
“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

Traduction temporaire :

Eduardo Halfón (Guatemala)

L'Absent

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand posa deux chopes froides sur le comptoir. Nous le remerciâmes et trinquâmes en silence. Nous bûmes la première gorgée, mousseuse et tiède.
Sous un vieux pull gris usé, il portait encore sa tenue bleue ciel de médecin. « Nous avons examiné la fillette, et elle n'avait rien. Aucune contusion. Aucune lésion interne. Sa pression artérielle était normale. Autant dire que physiquement, elle allait bien. N'empêche, elle était dans le coma.  »
L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, à une table au fond, un couple âgé, et peut-être adultère, était en train de se peloter. Je regardai fixement la collection inutile d'acétates.
« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette arrive à l'hôpital, et nous raconte l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se postèrent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »
L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado (1). Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou réglait le son, l'Allemand l'ignora.
« Afin de protéger la petite, on lui dit que sa maman est morte dans un accident de la route. Voilà comment la fillette grandit en la croyant morte. »
La serveuse servit deux tequilas aux jeunes gens. Ils trinquèrent bruyamment.« Et un jour, après toutes ces années, sa maman réapparaît soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille est sur-le-champ en état de choc. Voilà comment elle a atterri, ici, au Roosevelt. » Une vieille chanson douce des Pink Floyd retentit. « La petite est restée trois semaines dans le coma. » Il tira deux fois sur la cigarette, les yeux gonflés et les sourcils arqués, jusqu’à se rendre compte qu’il n’y avait plus de tabac ; il écrasa le mégot dans le cendrier.
« Elle est morte, aujourd’hui. »
L’Allemand avait éteint la musique. Furieux, il faisait sonner une cloche en bronze tandis qu'il criait aux deux jeunes gens de foutre immédiatement le camp de son bar.
« On dirait qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur, et, en allumant une autre cigarette, il me signala avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

(1) Il s'agit d'une tequila blanche que l'on a fait reposer moins d'un an dans des barriques de chêne.

86 commentaires:

Sonita a dit…

Eduardo Halfón (Guatemala)
« L'absent »

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand nous laissa deux chopes froides sur le comptoir. On le remercia et on trinqua en silence. On but la première gorgée, mousseuse et tiède.

Tradabordo a dit…

Eduardo Halfón (Guatemala)

L'Absent

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand nous laissa [? Je pense qu'il va falloir le formuler autrement] deux chopes froides sur le comptoir. On [continue avec le « nous »] le remercia et on trinqua en silence. On [idem] but la première gorgée, mousseuse et tiède.

Au fait, sûre pour le passé simple ? Je te laisse choisir.

Sonita a dit…

Eduardo Halfón (Guatemala)

L'Absent

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand posa deux chopes froides sur le comptoir. Nous le remerciâmes et trinquâmes en silence. Nous bûmes la première gorgée, mousseuse et tiède.

Tradabordo a dit…

Eduardo Halfón (Guatemala)

L'Absent

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand posa deux chopes froides sur le comptoir. Nous le remerciâmes et trinquâmes en silence. Nous bûmes la première gorgée, mousseuse et tiède.

OK.

Je colle et tu peux continuer.

Sonita a dit…

Pardon, il me manque la fin de cette première phrase :

Eduardo Halfón (Guatemala)

L'Absent

El alemán nos dejó dos tarros fríos sobre la barra. Le agradecimos y brindamos en silencio y tomamos el primer sorbo espumoso y tibio. Parecía eterno un solo de Frampton.

L'Allemand posa deux chopes froides sur le comptoir. Nous le remerciâmes et trinquâmes en silence. Nous bûmes la première gorgée, mousseuse et tiède. Un solo de Frampton semblait éternel.

*
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

« Elle est arrivée dans le coma », me dit-il levant sa cigarette à la bouche et ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait la tête.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Tradabordo a dit…

Un solo de Frampton semblait éternel.
[peu clair]

Sonita a dit…

Frampton jouait un solo qui semblait éternel.

Tradabordo a dit…

OK. Remets l'ensemble – juste de ce qui n'a pas déjà été collé dans le post ; le reste, pas besoin.

Sonita a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo qui semblait éternel.
« Elle est arrivée dans le coma », me dit-il levant sa cigarette à la bouche et ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait la tête.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Tradabordo a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo qui semblait éternel [ou « interminable », au fait ?].
« Elle est arrivée dans le coma », me dit-il [tu as mieux ?] [« en » ?] levant [mal dit] sa cigarette à la bouche et [« en »] ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait la tête [mal dit].
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Sonita a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant sa cigarette à la bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait le crâne.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Tradabordo a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant sa [« une »] cigarette à la [« sa »] bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait le crâne [non, ça ne va pas… On ne comprend pas].
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Sonita a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait le cerveau.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Tradabordo a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui enflait le cerveau [manque de naturel ; demande à Justine de t'aider / elle aura sans doute une idée].
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Sonita a dit…

J'ai demandé à Justine. Merci, Justine :-)
***
Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée déformait son visage.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Sonita a dit…

Justine pense aussi à "faire gongler" si tu trouves que "déformer" ne va pas ;-)

Tradabordo a dit…

Mets-le en contexte… J'ai du mal à juger comme ça, en l'air.

Sonita a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand ses yeux tandis qu’il inhalait, et moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui faisait gonfler son visage.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Tradabordo a dit…

Parecía eterno un solo de Frampton.
“Llegó en coma,” me dijo él y se llevó el cigarro a la boca y abrió muy grande los ojos mientras inhalaba y a mí me dio la impresión de que tanto humo le estaba hinchando la cabeza.
“¿Qué edad tenía?” le pregunté.
“Diez años. Doce, a lo sumo.”

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand ses [sans le possessif] yeux tandis qu’il inhalait, et [ou juste un point ?] moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui faisait gonfler son [« le »] visage.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

Sonita a dit…

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand les yeux tandis qu’il inhalait. Moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui faisait gonfler le visage.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

*
Bajo un viejo y gastado sudadero gris, seguía uniformado en su traje celeste de médico.
“Revisamos a la niña y no tenía nada. Ningún golpe. Ninguna lesión interna. La presión arterial normal. Es decir, físicamente estaba bien. Pero en coma.”

Sous un vieux pull usé gris, il portait encore son uniforme bleu ciel de médecin.
« Nous avons examiné la fillette, et elle n'avait rien. Aucune contusion. Aucune lésion interne. Sa pression artérielle était normale. C'est-à-dire, physiquement elle allait bien. Mais elle était dans le coma. »

Sonita a dit…

Et ici ? :-)

Tradabordo a dit…

Frampton jouait un solo interminable.
« Elle est arrivée dans le coma », me raconta-t-il en portant une cigarette à sa bouche et en ouvrant très grand les yeux tandis qu’il inhalait. Moi, j’eus l’impression que tant de fumée lui faisait gonfler le visage.
« Quel âge avait-elle ? », lui demandai-je.
« Dix ans. Douze, tout au plus. »

*
Bajo un viejo y gastado sudadero gris, seguía uniformado en su traje celeste de médico.
“Revisamos a la niña y no tenía nada. Ningún golpe. Ninguna lesión interna. La presión arterial normal. Es decir, físicamente estaba bien. Pero en coma.”

Sous un vieux pull usé gris [mets gris avant], il portait encore son uniforme [mal dit] bleu ciel de médecin.
« Nous avons examiné la fillette, et elle n'avait rien. Aucune contusion. Aucune lésion interne. Sa pression artérielle était normale. C'est-à-dire, [« Autant dire que »] physiquement [virgule] elle allait bien. Mais [« N'empêche, »] elle était dans le coma. »

Sonita a dit…

Bajo un viejo y gastado sudadero gris, seguía uniformado en su traje celeste de médico.
“Revisamos a la niña y no tenía nada. Ningún golpe. Ninguna lesión interna. La presión arterial normal. Es decir, físicamente estaba bien. Pero en coma.”

Sous un vieux pull gris usé, il portait encore sa tenue bleue ciel de médecin.
« Nous avons examiné la fillette, et elle n'avait rien. Aucune contusion. Aucune lésion interne. Sa pression artérielle était normale. Autant dire que physiquement, elle allait bien. N'empêche, elle était dans le coma. »

Tradabordo a dit…

Bajo un viejo y gastado sudadero gris, seguía uniformado en su traje celeste de médico.
“Revisamos a la niña y no tenía nada. Ningún golpe. Ninguna lesión interna. La presión arterial normal. Es decir, físicamente estaba bien. Pero en coma.”

Sous un vieux pull gris usé, il portait encore sa tenue bleue ciel de médecin.
« Nous avons examiné la fillette, et elle n'avait rien. Aucune contusion. Aucune lésion interne. Sa pression artérielle était normale. Autant dire que physiquement, elle allait bien. N'empêche, elle était dans le coma. »

OK.

Sonita a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, assis à une table au fond, un couple âgé, et peut-être interdit, se pelotait. Je fixai la collection inutile d'acétates.

Tradabordo a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, assis [ajout nécessaire ?] à une table au fond, un couple âgé, et peut-être interdit [sens ?], se pelotait [avec « était en train de » ?]. Je fixai [fixer tout seul = coller] la collection inutile d'acétates.

Sonita a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, à une table au fond, un couple âgé, et peut-être vivant un amour interdit, était en train de se peloter. Je regardai fixement la collection inutile d'acétates.

Tradabordo a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, à une table au fond, un couple âgé, et peut-être vivant un amour interdit [ou juste : adultère ?], était en train de se peloter. Je regardai fixement la collection inutile d'acétates.

Sonita a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, à une table au fond, un couple âgé, et peut-être adultère, était en train de se peloter. Je regardai fixement la collection inutile d'acétates.

Tradabordo a dit…

El alemán hablaba con la camarera. Atrás de nosotros, en una mesa del fondo, se manoseaba una pareja mayor y acaso prohibida. Me quedé viendo la colección inútil de acetatos.

L'Allemand bavardait avec la serveuse. Derrière nous, à une table au fond, un couple âgé, et peut-être adultère, était en train de se peloter. Je regardai fixement la collection inutile d'acétates.

OK.

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Finalement, le papa de la fillette est venu à l'hôpital et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes entrèrent et se mirent debout, au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Finalement [texte ?], le papa de la fillette est venu [il y a mieux + es-tu sûre que nous étions bien au passé composé ?] à l'hôpital et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes [déjà expliqué : pas « jeunes » tout seul… Ça fait pub pour téléphone portable ;-)] entrèrent et se mirent debout [mal traduit ici ; pas l'idée], au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée [temps ?] alors qu'elle était toute petite. »

Sonita a dit…

Dans les dialogues on a mis du PC et dans le récit du PS.

***
“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Quelques heures plus tard, le papa de la fillette est finalement arrivé à l'hôpital et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée [temps ? // Je pense que c'est correct ici, l'action d'abandonner est antérieure à celle de se retrouver à l'hôpital dans le coma] alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« [et le « Hasta » ? Ça changera la suite] Quelques heures plus tard, le papa de la fillette est finalement arrivé à l'hôpital et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée [temps ? // Je pense que c'est correct ici, l'action d'abandonner est antérieure à celle de se retrouver à l'hôpital dans le coma] alors qu'elle était toute petite. »

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Lorsque, quelques heures plus tard, le papa de la fillette est finalement arrivé à l'hôpital, il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

Pas ce que dit le texte.

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Finalement, quelques heures plus tard, le papa de la fillette est arrivé à l'hôpital, et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

« Jusqu'à ce que »

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette est arrivé à l'hôpital, et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette est arrivé [gram / ça va changer aussi la suite] à l'hôpital, et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette était arrivé à l'hôpital, et il nous a raconté l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette était arrivé [gram / temps] à l'hôpital, et il nous a raconté [idem] l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se mirent [texte] au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette arrive à l'hôpital, et il nous raconte l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se situèrent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette arrive à l'hôpital, et il [supprime] nous raconte l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se situèrent [« se postèrent »] au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Sonita a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette arrive à l'hôpital, et nous raconte l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se postèrent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

Tradabordo a dit…

“Hasta que unas horas después apareció en el hospital el papá de la niña y nos contó la historia.”
Entraron dos jóvenes y se ubicaron de pie en la barra, al lado de nosotros.
“A la niña, de muy niña, la abandona su mamá.”

« Jusqu'à ce que, quelques heures plus tard, le papa de la fillette arrive à l'hôpital, et nous raconte l'histoire. »
Deux jeunes gens entrèrent et se postèrent au comptoir, à côté de nous.
« Sa maman l'avait abandonnée alors qu'elle était toute petite. »

OK.

Sonita a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.


L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposée. Leur tournant le dos tandis qu'il classait ou ajustait la musique, L'Allemand l'ignora.

Tradabordo a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.


L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposée [??????]. Leur tournant le dos tandis qu'il classait [?] ou ajustait [?] la musique, L[maj ?]'Allemand l'ignora.

Sonita a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.


L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado. Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou ajustait le son, l'Allemand l'ignora.

Tradabordo a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.

L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado [c'est quoi ? Un lecteur francophone de base ne comprendra pas / soit tu traduis, soit tu mets une note]. Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou ajustait [bof] le son, l'Allemand l'ignora.

Sonita a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.

L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado(1). Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou réglait le son, l'Allemand l'ignora.

(1) C'est une tequila blanco que l'on a fait reposer moins d'un an dans des barriques de chêne.

Tradabordo a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.

L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado(1). Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou réglait le son, l'Allemand l'ignora.

(1) Il s'agit d'une tequila blanco [pas clair] que l'on a fait reposer moins d'un an dans des barriques de chêne.

Sonita a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.

L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado(1). Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou réglait le son, l'Allemand l'ignora.

(1) Il s'agit d'une tequila blanche que l'on a fait reposer moins d'un an dans des barriques de chêne.

Tradabordo a dit…

Uno de los jóvenes le gritó al alemán que querían tequila, que reposado. El alemán, de espaldas mientras ordenaba o ajustaba la música, lo ignoró.

L'un des jeunes cria à l'Allemand qu'ils voulaient de la tequila, de la tequila reposado (1). Leur tournant le dos tandis qu'il mettait de la musique ou réglait le son, l'Allemand l'ignora.

(1) Il s'agit d'une tequila blanche que l'on a fait reposer moins d'un an dans des barriques de chêne.

OK.

Sonita a dit…

“Para proteger a la niña le dicen que su mamá ha fallecido en un accidente de carro, y la niña entonces crece creyendo que su mamá está muerta.”
La camarera les sirvió dos tequilas a los jóvenes. Ellos brindaron con escándalo.

« Afin de protéger la petite, on lui dit que sa maman est décédée dans un accident de la route, alors la fillette grandit en croyant que sa maman est morte. »
La serveuse servit deux tequilas aux jeunes gens. Ils trinquèrent bruyamment.

Tradabordo a dit…

“Para proteger a la niña le dicen que su mamá ha fallecido en un accidente de carro, y la niña entonces crece creyendo que su mamá está muerta.”
La camarera les sirvió dos tequilas a los jóvenes. Ellos brindaron con escándalo.

« Afin de protéger la petite, on lui dit que sa maman est décédée [plus naturel avec « morte » ou alors : « a péri »] dans un accident de la route, alors [mets un point + « Ainsi » ou « Voilà comment »] la fillette grandit en croyant que sa maman [contourne la répétition] est morte. »
La serveuse servit deux tequilas aux jeunes gens. Ils trinquèrent bruyamment.

Sonita a dit…

“Para proteger a la niña le dicen que su mamá ha fallecido en un accidente de carro, y la niña entonces crece creyendo que su mamá está muerta.”
La camarera les sirvió dos tequilas a los jóvenes. Ellos brindaron con escándalo.

« Afin de protéger la petite, on lui dit que sa maman est morte dans un accident de la route. Voilà comment la fillette grandit en la croyant morte. »
La serveuse servit deux tequilas aux jeunes gens. Ils trinquèrent bruyamment.

Tradabordo a dit…

“Para proteger a la niña le dicen que su mamá ha fallecido en un accidente de carro, y la niña entonces crece creyendo que su mamá está muerta.”
La camarera les sirvió dos tequilas a los jóvenes. Ellos brindaron con escándalo.

« Afin de protéger la petite, on lui dit que sa maman est morte dans un accident de la route. Voilà comment la fillette grandit en la croyant morte. »
La serveuse servit deux tequilas aux jeunes gens. Ils trinquèrent bruyamment.

OK.

Sonita a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après maintes années, sa maman réapparait soudain et salue sa fille comme si rien n’était. La petite fille entre en choc sur place. Et c’est comme ça qu’on l’a reçue au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce de Pink Floyd sonna.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Tradabordo a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après maintes [mal dit ici] années, sa maman réapparait soudain et salue sa fille comme si [manque quelque chose ici] rien n’était. La petite fille entre en choc sur place [sens ? Attention à ton français / du coup, tu reliras l'ensemble]. Et c’est comme ça qu’on l’a reçue au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce de Pink Floyd sonna.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Sonita a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après bien des années, sa maman réapparait soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille entre immédiatement en état de choc. Et c’est comme ça qu’on l’a reçue au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce de Pink Floyd se fit entendre.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Tradabordo a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après bien des [« toutes ces »] années, sa maman réapparait [vérifie que ça existe] soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille entre [« tombe » ? Vérifie] immédiatement en état de choc. Et c’est comme ça qu’on l’a reçue au Roosevelt [« Voilà comment elle a atterri, ici, au… »]. »
Une vieille chanson douce de Pink Floyd se fit entendre [texte + bof].
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Sonita a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après toutes ces années, sa maman réapparaît soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille tombe immédiatement en état de choc. Voilà comment elle a atterri, ici, au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce de Pink Floyd sonna.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Tradabordo a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après toutes ces années, sa maman réapparaît soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille tombe [« est »] immédiatement [« sur-le-champ »] en état de choc. Voilà comment elle a atterri, ici, au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce de [« des »] Pink Floyd sonna [le verbe ne va pas].
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Sonita a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après toutes ces années, sa maman réapparaît soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille est sur-le-champ en état de choc. Voilà comment elle a atterri, ici, au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce des Pink Floyd retentit.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

Tradabordo a dit…

“Y un día, después de tantos años, la mamá de pronto se aparece y saluda a su hija como si nada. La niña allí mismo entra en estado de shock. Y así la recibimos nosotros en el Roosevelt.”
Empezó una vieja y suave canción de Pink Floyd.
“La niña estuvo en coma tres semanas.”

« Et un jour, après toutes ces années, sa maman réapparaît soudain et salue sa fille comme si de rien n’était. La petite fille est sur-le-champ en état de choc. Voilà comment elle a atterri, ici, au Roosevelt. »
Une vieille chanson douce des Pink Floyd retentit.
« La petite est restée trois semaines dans le coma. »

OK.

Sonita a dit…

Fumó un par de veces con los ojos inflamados y las cejas arqueadas hasta que percibió que no había más tabaco en su cigarro y aplastó la colilla en un cenicero.
“Hoy murió.”

Il aspira deux fois sur la cigarette, les yeux gonflés et les sourcils arqués jusqu’à se rendre compte qu’il n’y avait plus de tabac dans sa cigarette et il écrasa le mégot dans le cendrier.
« Elle est décédée, aujourd’hui. »

Tradabordo a dit…

Fumó un par de veces con los ojos inflamados y las cejas arqueadas hasta que percibió que no había más tabaco en su cigarro y aplastó la colilla en un cenicero.
“Hoy murió.”

Il aspira [« tira »] deux fois sur la cigarette, les yeux gonflés et les sourcils arqués [virgule] jusqu’à se rendre compte qu’il n’y avait plus de tabac dans sa cigarette [il faudrait éviter la répétition] et [un point-virgule à la place ?] il écrasa le mégot dans le cendrier.
« Elle est décédée [pas plus fort avec « morte » ?], aujourd’hui. »

Sonita a dit…

Fumó un par de veces con los ojos inflamados y las cejas arqueadas hasta que percibió que no había más tabaco en su cigarro y aplastó la colilla en un cenicero.
“Hoy murió.”

Il tira deux fois sur la cigarette, les yeux gonflés et les sourcils arqués, jusqu’à se rendre compte qu’il n’y avait plus de tabac ; il écrasa le mégot dans le cendrier.
« Elle est morte, aujourd’hui. »

Tradabordo a dit…

Fumó un par de veces con los ojos inflamados y las cejas arqueadas hasta que percibió que no había más tabaco en su cigarro y aplastó la colilla en un cenicero.
“Hoy murió.”

Il tira deux fois sur la cigarette, les yeux gonflés et les sourcils arqués, jusqu’à se rendre compte qu’il n’y avait plus de tabac ; il écrasa le mégot dans le cendrier.
« Elle est morte, aujourd’hui. »

OK.

Sonita a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Il faisait sonner une cloche, criant, furieux aux deux jeunes gens qu’ils foutent immédiatement le camp de son bar.



Tradabordo a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Il faisait sonner une cloche [« de bronce » ?], [« en » + supprime la virgule avant] criant, furieux aux deux jeunes gens qu’ils foutent immédiatement le camp de son bar [globalement, revois la syntaxe].

Sonita a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Furieux, il faisait sonner une cloche en bronze en criant aux deux jeunes gens qu’ils foutent immédiatement le camp de son bar.

Tradabordo a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Furieux, il faisait sonner une cloche en bronze en [pour éviter le « en » X2, essaie avec « tandis qu'il » ou je me demande si mettre « tout en » suffit / teste les deux et vois ce qui est mieux] criant aux deux jeunes gens qu’ils foutent immédiatement le camp de son bar.

Sonita a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Furieux, il faisait sonner une cloche en bronze tandis qu'il criait aux deux jeunes gens de foutre immédiatement le camp de son bar.

Tradabordo a dit…

El alemán había apagado la música. Estaba golpeando un cencerro de bronce y gritándole enfurecido a los dos jóvenes que se largaran inmediatamente de su bar.

L’Allemand avait éteint la musique. Furieux, il faisait sonner une cloche en bronze tandis qu'il criait aux deux jeunes gens de foutre immédiatement le camp de son bar.

OK.

Sonita a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On aurait dit qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette et signalant avec un grand sourire l’écriteau pendu au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Tradabordo a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On aurait dit qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette et [« en »] signalant avec un grand sourire l’écriteau pendu [supprime] au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Sonita a dit…


“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On aurait dit qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette en signalant avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Tradabordo a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On aurait dit [temps] qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette en signalant [trop de « en + ant »] avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Sonita a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On dirait qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette et il me signala avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Tradabordo a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On dirait qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur en allumant une autre cigarette [« le docteur, et, en allumant……………, il me…………… »] et il me signala avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Sonita a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On dirait qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur, et, en allumant une autre cigarette, il me signala avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

Tradabordo a dit…

“Como que no saben leer inglés,” me susurró el doctor, encendiendo otro cigarro y señalando con una enorme sonrisa el rótulo colgado sobre el equipo de sonido: “No Fucking Requests.”

« On dirait qu’ils ne savent pas lire l’anglais », me murmura le docteur, et, en allumant une autre cigarette, il me signala avec un grand sourire l’écriteau au-dessus de la chaîne hi-fi : « No Fucking Requests. »

OK.

Tradabordo a dit…

Maintenant, tu relis très attentivement, tu remets la mise en page de la V.O. et tu m'envoies ça dans un doc. Si je ne me trompe pas, c'était le seul de cet auteur que tu avais. Si c'est bien le cas, je peux te mettre un autre texte de Basta !, si tu veux.

Sonita a dit…

D'accord. Oui, je n'ai pas d'autre texte à proposer pour le moment ! Je prends un autre Basta !
Merci :D