mercredi 4 avril 2018

Projet Justine / Elena – texte 206

Ñucu-jú nos sirve

La camarera que levanta el pedido fue vecina nuestra, actuamos como si no la hubiésemos reconocido y ella hace lo propio. De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella. Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra. —Che, la mina se operó la cadera. —¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos. —¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia. —Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

Traduction temporaire :

Ñucu-jú, la serveuse

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine. On fait comme si nous ne l'avions pas reconnue. Elle aussi. De vrais gamins. Pouffant de rire volontairement, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle. Gamins, nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú » en pouffant de rire exprès. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle. C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre. — Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !
— Mais nous, qu'est-ce qu'on en a à faire ?
— En marchant comme si elle avait toujours été valide, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.
— Qui lui irait lui faire la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.
— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, elle en a pas des masses, y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

77 commentaires:

Elena a dit…

Ñucu-jú nos sirve

Ñucu-jú, la serveuse

***Je change un peu...

Tradabordo a dit…

Ñucu-jú nos sirve

Ñucu-jú, la serveuse

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Ñucu-jú nos sirve

Ñucu-jú, la serveuse

La camarera que levanta el pedido fue vecina nuestra, actuamos como si no la hubiésemos reconocido y ella hace lo propio.

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine, on fait comme si nous ne l'avions pas reconnue, elle aussi.

Tradabordo a dit…

Ñucu-jú, la serveuse

La camarera que levanta el pedido fue vecina nuestra, actuamos como si no la hubiésemos reconocido y ella hace lo propio.

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine, [point ?] on fait comme si nous ne l'avions pas reconnue, [point ?] elle aussi.

Justine a dit…

Ñucu-jú, la serveuse

La camarera que levanta el pedido fue vecina nuestra, actuamos como si no la hubiésemos reconocido y ella hace lo propio.

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine. On fait comme si nous ne l'avions pas reconnue. Elle aussi.

Tradabordo a dit…

Ñucu-jú, la serveuse

La camarera que levanta el pedido fue vecina nuestra, actuamos como si no la hubiésemos reconocido y ella hace lo propio.

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine. On fait comme si nous ne l'avions pas reconnue. Elle aussi.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Ñucu-jú, la serveuse

La serveuse qui prend notre commande a été notre voisine. On fait comme si nous ne l'avions pas reconnue. Elle aussi.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Comme des gamins, au milieu d'éclats de rire mal contenus à son sujet, nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú », tout en défilant devant elle au rythme de cette expression en traînant la jambe.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Comme des gamins, au milieu d'éclats de rire mal contenus à son sujet [naturel et fluide ?], nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú », tout en défilant devant elle au rythme de cette expression en traînant la jambe [phrase complètement à reprendre].

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Au milieu d'éclats de rire à peine contenus à son encontre, comme des gamins, nous répétions « Ñucu-jú », le mot inventé, alors que nous passions devant elle en traînant la jambe, au rythme de cette expression.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Au milieu d'éclats de rire à peine contenus à son encontre [naturel ?], comme des gamins, nous répétions « Ñucu-jú », le mot inventé, alors que nous passions devant elle en traînant la jambe, au rythme de cette expression [pb de syntaxe].

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Au milieu d'éclats de rire à peine contenus à ses dépens, comme des gamins, nous répétions « Ñucu-jú », le mot inventé, alors qu'au rythme de cette expression, nous passions devant elle en traînant la jambe.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Au milieu d'éclats de rire à peine contenus à ses dépens [bof…], comme des gamins, nous répétions « Ñucu-jú », le mot inventé, alors qu'au rythme de cette expression [encore un pb de naturel… cette phrase n'est pas facile / ne te laisse pas embêter par la V.O. à présent que tu as le sens], nous passions devant elle en traînant la jambe.

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins, alors qu'on riait ouvertement à ses dépens, nous répétions Ñucu-jú », un mot inventé. Nous scandions cette expression en passant devant elle, la jambe traînante.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins, [point ?] alors qu'on riait [« Ricanant » ?] ouvertement à ses dépens [Elena ?], nous répétions Ñucu-jú », un [« le » ?] mot inventé. Nous scandions [naturel dans ce texte ?] cette expression en passant devant elle, la jambe traînante.

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins. Ricanant ouvertement à ses dépens [Elena ?], nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en passant devant elle, la jambe traînante.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins. Ricanant ouvertement à ses dépens [Elena ?], nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en passant devant elle, la jambe traînante [Elena ?].

Elena a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression, traînant une jambe devant elle.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression, traînant une jambe devant elle [je visualise pas trop… pourquoi ils font ça ? Elena ?].

Elena a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression, traînant une jambe devant elle [je visualise pas trop… pourquoi ils font ça ? Elena ? // Pour se moquer d'elle, c'est une brimade].

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression, traînant une jambe devant elle [je visualise pas trop… pourquoi ils font ça ? Elena ? / Parce qu'elle boite, on l'apprend après].

Tradabordo a dit…

Justine, tu fais la synthèse, stp ?

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins. Pouffant de rire volontairement, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

De vrais gamins. Pouffant de rire volontairement, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

OK.

VPC.

Justine a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions l'invention plus tard) qui, quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre, est devenu son surnom usuel.

Elena a dit…

***Je reprends, petit CS : "de pibes" : lorsque nous étions gamins

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú », le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Étant [nécessaire ?] gamins, en pouffant de rire exprès, nous répétions Ñucu-jú » [j'hésite sur la syntaxe… je trouve que ça manque de fluidité], le mot inventé. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Gamins, nous répétions Ñucu-jú » , le mot inventé en pouffant de rire exprès. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

Elena a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Gamins, nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú » en pouffant de rire exprès. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

Tradabordo a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Gamins, nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú » en pouffant de rire exprès. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

De pibes, en medio de unas risotadas mal contenidas a propósito, repetíamos la palabra inventada “Ñucu-jú”, mientras marchábamos al ritmo de esa expresión arrastrando una pierna frente a ella.

Gamins, nous répétions le mot inventé « Ñucu-jú » en pouffant de rire exprès. Nous battions la mesure avec cette expression en traînant une jambe devant elle.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions l'invention plus tard) qui, quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre, est devenu son surnom usuel.

Tradabordo a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions l'invention [ou : « la paternité » ? j'hésite] plus tard) qui, quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre, est devenu son surnom usuel [j'hésite sur la syntaxe].

Justine a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom usuel quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre.

Tradabordo a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom usuel [je crois qu'on peut supprimer l'adjectif] quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre.

Justine a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre.

Tradabordo a dit…

Era nuestra forma de burlarnos de su renguera. Palabra grotesca (después nos disputaríamos su invención) que pasó a ser su apodo habitual cuando descubrimos que la hería más que ninguna otra.

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

C'était notre façon de nous moquer de sa boiterie. Un mot grotesque (dont nous nous disputerions la paternité plus tard), qui est devenu son surnom quand nous avons découvert qu'il la blessait plus qu'aucun autre.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

—Che, la mina se operó la cadera.

Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !

Tradabordo a dit…

—Che, la mina se operó la cadera.

[le tiret ?]Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !

Justine a dit…

—Che, la mina se operó la cadera.

— Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !

Tradabordo a dit…

—Che, la mina se operó la cadera.

— Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !

OK.

Elena ?

Elena a dit…

— Tiens, la nana s'est fait opérer de la hanche !

OK.

Justine a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Et ça change quoi pour nous ?
— Ben, en marchant comme si c'avait toujours été normal, avec sa tête de moustique mort, elle pourrait bien nous être utile pour quelques menus travaux.

Tradabordo a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Et ça change quoi pour nous [registre ? Elena ?] ?
— Ben, en marchant comme si c'avait toujours été normal [naturel ?], avec sa tête de moustique mort [FS], elle pourrait bien nous être utile pour quelques menus [FS ?] travaux.

Elena a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Et ça change quoi pour nous [registre ? Elena ? / "Mais nous, on s'en fiche !"] ?
— En marchant comme si elle avait toujours été saine, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

Tradabordo a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Et ça change quoi pour nous [registre ? Elena ? / "Mais nous, on s'en fiche !" OK] ?
— En marchant comme si elle avait toujours été saine [texte], avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

Justine a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Mais nous, on s'en fiche !
— En marchant comme si elle avait toujours été valide, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

Tradabordo a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Mais nous, on s'en fiche ! [ou, vu le ?, pas plutôt : qu'est-ce qu'on en a à faire ? Ça dépend de ce qu'il y avant, mais je ne me souviens pas du tout]
— En marchant comme si elle avait toujours été valide, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

Justine a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Mais nous, qu'est-ce qu'on en a à faire ?
— En marchant comme si elle avait toujours été valide, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

Tradabordo a dit…

—¿Y a nosotros qué? —Que caminando como si siempre hubiese sido normal, con esa cara de mosquita muerta que tiene, bien nos podría ser útil para algunos trabajos finos.

— Mais nous, qu'est-ce qu'on en a à faire ?
— En marchant comme si elle avait toujours été valide, avec sa tête de sainte-nitouche, elle pourrait bien nous être utile pour certains travaux délicats.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui va lui proposer ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Tradabordo a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui va lui proposer [plus près du texte ?] ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Justine a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui fait la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Tradabordo a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui fait [temps ? Mais ça dépend de ce qui précède… Vérifie] la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Elena a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui fairait la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Justine a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui ferait la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Tradabordo a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui fairait [?] la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Elena a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui ferait la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

*** Merci le correcteur 😤

Justine a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui ferait la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

OK.

Tradabordo a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui lui ferait [« irait lui faire » ?] la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Justine a dit…

—¿Quién le llevaría la propuesta? Seguro que todavía nos odia.

— Qui irait lui faire la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

Elena a dit…

— Qui lui irait lui faire la proposition ? Je suis sûr qu'elle nous hait toujours.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, c'est pas ce qui reste, il n'y a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

Tradabordo a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, c'est pas ce qui reste, il n'[nécessaire ?]y a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

Justine a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, c'est pas ce qui reste, y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

Tradabordo a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, c'est pas ce qui reste, y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, c'est pas ce qui reste["no es lo que le sobre" : "elle n'en a pas de masses" ?], y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

Tradabordo a dit…

Oui, tu as raison.

Elena a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, elle n'en a pas de masses, y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

OK.

Justine a dit…

—Vamos a ofrecerle guita, no casamiento. —Guita no es lo que le sobra, no hay más que ver donde trabaja. —Habría que pensarlo… Abonamos la factura sin dejar propina.

— On va lui offrir de la thune, pas le mariage.
— La thune, elle en a pas des masses, y' a qu'à voir où elle travaille.
— Faudrait y réfléchir…
On paye l'addition sans laisser de pourboire.

OK, merci, Elena !