lundi 3 novembre 2008

Au menu du 6 novembre, atelier de traduction collective

1- Il faut à présent que nous prenions à bras-le-corps ce problème de La reja (pas un mail, ou presque, d'apprenti traducteur sans quelques lignes de lamentation à propos de cette traduction impossible… et il est donc plus que temps de mettre un terme à ces affreuses souffrances). Mais comme cela ne va certainement pas être facile, nous allons distiller : ce sera un paragraphe ou deux par séance. Chacune (y compris la "traductrice officielle" de l'histoire ; je rappelle que la traduction publiée, même excellente, est un point de départ, pas un étalon à respecter religieusement) lira sa proposition et nous ferons le point ensemble.

2- Par ailleurs, je crois qu'il nous reste vaguement quelques petits chiens marquéziens à ramener à la niche. En particulier, il nous faut décider d'un titre. «Vidas de perros ». Alors quoi ? Tout au singulier ? Tout au pluriel ? Un petit morceau au singulier et l'autre au pluriel ?

3- Enfin, comme nous n'allons pas laisser ces 8 "devoirs de vacances" abandonnés au milieu du désert, nous les ferons également un par un ; le premier étant, je vous le rappelle, le texte d'Eduardo Mendoza. Prenez donc vos billets et accrochez vos ceintures, comme dirait le « comandante Flippo, que, por cierto, se reincorpora hoy al servicio tras su reciente operación de cataratas… »

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