Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
jeudi 15 novembre 2012
Projet Carole – phrases 2-7
Mi balcón da al contrafrente de un edificio abandonado, ocupado por las palomas. Entran. Salen. Se quedan en las ventanas. Miran. Todavía me queda algo de plata.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le bord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
C'est le premier jet, littéral. Je te propose déjà ces changements : "Ils entrent puis sortent" (pour éviter la répétition des "ils") et si on veut encore enlever un "il" on pourrait opter dans la dernière phrase pour "j'ai encore un peu de fric".
Ah non… Je préfère que tu partes sur un premier jet littéral et qu'on regarde ensemble ce qu'on peut faire – d'autant que là, ça m'oblige à faire une lecture comparée ; long et pas très folichon ;-)
Du coup, je regarde ta version 1 – tu aménageras avec ta version 2 :
Mon balcon donne sur la façade [ou « est en façade »] d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le bord [ou « rebord » ?] des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
Je préfère "donne sur la façade" plutôt que "est en façade". "Rebord" est plus précis pour la fenêtre que "bord". Tu trouves pas qu'il y a beaucoup de "il"?
Mea culpa, je recommence alors : Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
OK… Ça me semble bien. Pour le lissage, on verra au moment des relectures – pour l'heure, soyons contentes d'avoir un bon premier jet.
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
OK… Ça me semble bien. Pour le lissage, on verra au moment des relectures – pour l'heure, soyons contentes d'avoir un bon premier jet.
7 commentaires:
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le bord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
C'est le premier jet, littéral. Je te propose déjà ces changements :
"Ils entrent puis sortent" (pour éviter la répétition des "ils") et si on veut encore enlever un "il" on pourrait opter dans la dernière phrase pour "j'ai encore un peu de fric".
Ah non… Je préfère que tu partes sur un premier jet littéral et qu'on regarde ensemble ce qu'on peut faire – d'autant que là, ça m'oblige à faire une lecture comparée ; long et pas très folichon ;-)
Du coup, je regarde ta version 1 – tu aménageras avec ta version 2 :
Mon balcon donne sur la façade [ou « est en façade »] d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le bord [ou « rebord » ?] des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
Je préfère "donne sur la façade" plutôt que "est en façade". "Rebord" est plus précis pour la fenêtre que "bord". Tu trouves pas qu'il y a beaucoup de "il"?
Il faut que tu remettes l'ensemble de la phrase avec les solutions que tu proposes… – sinon, je ne peux pas me rendre compte si ça fonctionne ou pas.
Mea culpa, je recommence alors :
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
OK… Ça me semble bien. Pour le lissage, on verra au moment des relectures – pour l'heure, soyons contentes d'avoir un bon premier jet.
Je te mets la suite.
Mon balcon donne sur la façade d'un immeuble abandonné, occupé par les pigeons. Ils entrent. Ils sortent. Ils se posent sur le rebord des fenêtres. Il me reste encore un peu de fric.
OK… Ça me semble bien. Pour le lissage, on verra au moment des relectures – pour l'heure, soyons contentes d'avoir un bon premier jet.
Je te mets la suite.
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