mardi 13 novembre 2012

Projet Sonita 3 – phrase 12

La sonrisa se convirtió en risa y se desahogó así, riendo, de lo que había hecho: matar al hombre que la retuvo secuestrada dos años en su propia casa porque era un hombre celoso y posesivo, al hombre que la obligó a abortar porque no quería ser padre,  al hombre que psicológicamente la había destrozado.

Traduction temporaire :
Sourire et finalement rire – elle parvint à évacuer en riant du geste qu'elle venait de commettre : tuer l’homme qui l’avait séquestrée pendant deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

6 commentaires:

Sonita a dit…

Le sourire devint un rire et c’est comme ça qu’elle se défoula, en riant, de ce qu’elle avait fait : tuer l’homme qui l’avait retenue contre sa volonté, deux ans dans sa propre maison parce qu’il était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait psychologiquement anéantie.

Tradabordo a dit…

Le sourire devint un rire [ou, plus synthétique : « Sourire puis rire »] et c’est comme ça qu’elle se défoula [ « , grâce à quoi » + « défouler » n'est pas bien choisi], en riant, de ce qu’elle avait fait [avec « geste »] : tuer l’homme qui l’avait retenue contre sa volonté [plus fort en V.O.], [pas de virgule] deux ans dans sa propre maison parce qu’il était un homme [ce sera mieux avec « parce que c'était »] jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme [Là, oui… laisse] qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait psychologiquement [inverse l'adverbe et l'adjectif] anéantie.

Sonita a dit…

Sourire puis rire grâce à quoi elle se défoula, en riant, de son geste : tuer l’homme qui l’avait kidnappée deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

Tradabordo a dit…

Sourire puis rire grâce à quoi elle se défoula, en riant, de son geste : tuer l’homme qui l’avait kidnappée deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

Je te propose :

Sourire et finalement rire – elle parvint à évacuer en riant du geste qu'elle venait de commettre : tuer l’homme qui l’avait séquestrée pendant deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

OK ?

Tradabordo a dit…

Sourire puis rire grâce à quoi elle se défoula, en riant, de son geste : tuer l’homme qui l’avait kidnappée deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

Je te propose :

Sourire et finalement rire – elle parvint à évacuer en riant du geste qu'elle venait de commettre : tuer l’homme qui l’avait séquestrée pendant deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

OK ?

Sonita a dit…

Sourire et finalement rire – elle parvint à évacuer en riant du geste qu'elle venait de commettre : tuer l’homme qui l’avait séquestrée pendant deux ans dans sa propre maison parce que c'était un homme jaloux et possessif. Elle avait tué l’homme qui l’avait obligée à avorter parce qu’il ne voulait pas être père, l’homme qui l’avait anéantie psychologiquement.

OK.