—¡Katia! – dijo una anciana desde la ventana por la que veía pasar el día – Hija mía, cuántos años.
—Hola mamá. Deseaba verte.
—¿Cómo estás cariño?
—Mejor que nunca.
—¿Y Dima?
—Dima está muerto mamá.
Traduction temporaire :
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquellelle elle regardait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquellelle elle regardait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
7 commentaires:
— Katia ! dit une vieille femme depuis la fenêtre par laquelle elle voyait défiler les jours. « Ma fille, ça fait tellement d’années », ajouta-t-elle.
— Bonjour maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Je n’ai jamais été mieux.
— Et Dima ?
— Dima est mort, maman.
***
J'ai un peu modifié la structure du dialogue à la phrase "– Hija mía, cuántos años.", car un autre tiret me semblait bizarre du fait que c'est tjrs la mère qui parle.
Oui, ça, il est possible que ce soit moi qui me sois trompée dans la composition.
— Katia ! dit [ou « appela » ?] une vieille femme depuis la fenêtre par laquelle elle voyait défiler [on vient de le mettre pour la rue, non ? Vérifie. Sinon, c'est bon] les jours [e, V.O., c'est au singulier]. « Ma fille, ça fait tellement d’années [points de suspension ?] », ajouta-t-elle [pas besoin].
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Je n’ai jamais été mieux [« mieux que jamais »].
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
— Katia ! appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquelle elle voyait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquelle elle voyait [« regardait » ?] passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquellelle elle regardait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
Ouille, ma coquille...!
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquelle elle regardait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
— Katia ! – appela une vieille femme depuis la fenêtre par laquellelle elle regardait passer la journée. « Ma fille, ça fait tellement d’années…
— Bonjour, Maman. J’avais envie de te voir.
— Comment vas-tu, mon coeur ?
— Mieux que jamais.
— Et Dima ?
— Dima est mort, Maman.
OK.
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