vendredi 28 mars 2014

Projet Émeline 3 – phrases 5-6

El director se puso aquella mañana su sonrisa de compromiso, la de no es culpa mía sino de los vaivenes de la economía mundial, para comunicarle que sin el aumento que habría conllevado el ascenso, se veía en la penosa obligación de ordenar el embargo del chalet, es una lástima –esto sólo lo pensó- pero a los pelagatos que pican alto siempre les pasa lo mismo. Gonzalo salió del despacho ignorando al tipo atrabiliario que iba sacando una pistola de su gabardina, y con su libro bajo el brazo se fue a tomar un café.

Traduction temporaire :
Ce matin-là, le directeur a affiché son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon ; c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Le directeur a arboré ce matin-là son sourire engagé, celui qui signifie que ce n’est de ma faute, mais de celle des va-et-vient de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie du pavillon, c’est lamentable – cela il n’a fait que le penser – mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui retirait un pistolet de son imperméable, Gonzalo est sorti du bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Tradabordo a dit…

Le directeur a arboré [ou « affiché » ?] ce matin-là son sourire engagé [naturel ?], celui qui signifie que ce n’est de ma faute, mais de celle des va-et-vient [naturel ?] de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie du pavillon, c’est lamentable [FS ?] – cela il n’a fait que le penser – [virgule] mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui retirait [naturel ?] un pistolet de son imperméable, Gonzalo est sorti du bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Unknown a dit…

Le directeur a affiché ce matin-là son sourire forcé, celui qui signifie que ce n’est de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie du pavillon, c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Tradabordo a dit…

Le directeur a affiché ce matin-là son sourire forcé, celui qui signifie que [supprime] ce n’est de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie du [possessif ?] pavillon, c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Unknown a dit…

Le directeur a affiché ce matin-là son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon, c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Tradabordo a dit…

Le directeur a affiché ce matin-là [au début ?] son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait [ou « se serait vu » ?] dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon, c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Unknown a dit…

Ce matin-là, le directeur a affiché son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon, c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Tradabordo a dit…

Ce matin-là, le directeur a affiché son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon, [point-virgule ? J'hésite beaucoup…] c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Unknown a dit…

Ce matin-là, le directeur a affiché son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon ; c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

Tradabordo a dit…

Ce matin-là, le directeur a affiché son sourire forcé, celui du ce n’est pas de ma faute, mais de celle des hauts et des bas de l’économie mondiale, pour lui annoncer que sans l’augmentation qu’aurait entraînée sa promotion, il se voyait dans l’obligation pénible d’ordonner la saisie de son pavillon ; c’est dommage – cela il n’a fait que le penser –, mais il arrive toujours la même chose aux pauvres diables qui vivent au-dessus de leurs moyens. Ignorant l’homme atrabilaire qui sortait un pistolet de son imperméable, Gonzalo a quitté le bureau et, son livre sous le bras, il est allé prendre un café.

OK.