samedi 22 mars 2014

Projet Nadia / Élise – phrases 147-154

Ambos estábamos aguardando en la cola con otros siete u ocho muchachos.
La gente que nos veía, sentados en un murito, observando el mar, debía pensar que nos dedicábamos al zen o bien a otra forma de vida contemplativa.
Sí —dije.
Mario sonrió:
Yo lo que pienso es que te mueres de nervios.
Sí —confesé.
¿Es cierto? —se sorprendió Mario.
Sí.

Traduction temporaire :
Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. En nous voyant assis sur un muret, à observer la mer, les gens devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je.
Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort de trouille.
— Oui, avouai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.

— Oui.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. Les gens qui nous voyaient, assis sur un muret, à observer la mer, devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je. Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude.
— Oui, confessai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Tradabordo a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. Les gens qui nous voyaient [mets-le après ; ça simplifiera les choses], assis sur un muret, à observer la mer, devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je. Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude.
— Oui, confessai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Unknown a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. Assis sur un muret, à observer la mer, les gens qui nous voyaient devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je. Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude.
— Oui, confessai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Tradabordo a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. Assis sur un muret, à observer la mer, les gens qui nous voyaient [et si tu commençais la phrase avec « En nous voyant assis… » ?] devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je. Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude.
— Oui, confessai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Unknown a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. En nous voyant assis sur un muret, à observer la mer, les gens devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je. Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude.
— Oui, confessai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Unknown a dit…

OK ?

Tradabordo a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. En nous voyant assis sur un muret, à observer la mer, les gens devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je.
Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort d'inquiétude [naturel ?].
— Oui, confessai-je [ou avec « avouer » ?].
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Unknown a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. En nous voyant assis sur un muret, à observer la mer, les gens devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je.
Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort de trouille.
— Oui, avouai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

Unknown a dit…

Ok ? Nadia ?

Unknown a dit…

Et là... :)

Tradabordo a dit…

Nous étions tous les deux dans la file d'attente avec sept ou huit autres garçons. En nous voyant assis sur un muret, à observer la mer, les gens devaient penser que nous pratiquions le zen ou que nous nous essayions à une autre forme de vie contemplative.
— Oui, approuvai-je.
Mario sourit.
— Moi ce que je pense, c'est que tu es mort de trouille.
— Oui, avouai-je.
— C'est vrai ? s'étonna Mario.
— Oui.

OK.