— Lo sé. Y anoche murió la tía Antonia; y hace meses la tía Rogelia.
La mujer resopló.
— No me habías dicho nada, Rubén....lo siento. Pero ahora venga, levántate...
— ¿Para qué sirve la nieve si no puedes contársela a alguien?
La mujer tenía el rostro enrojecido y una gota colgaba de la punta de su nariz. Alguien desde un coche dijo que ya había llamado la ambulancia.
— Quizás si le explico a Manuela lo que ha pasado me regale otra hayaca.- susurró él con los ojos extraviados en la blancura del cielo.
— Tal vez, pero si no te levantas ahora, terminarás en el hospital.
Traduction temporaire :
— Je sais. Et cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Son épouse soupira.
— Tu ne m’en avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et la goutte au nez. Depuis une voiture, quelqu’un les informa qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu te retrouveras à l’hôpital.
Son épouse soupira.
— Tu ne m’en avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et la goutte au nez. Depuis une voiture, quelqu’un les informa qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu te retrouveras à l’hôpital.
5 commentaires:
— Je sais. Cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Sa femme soupira.
— Tu ne m’avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et une goutte pendait au bout de son nez. Depuis une voiture, quelqu’un dit qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu finiras à l’hôpital.
— Je sais. [tu devrais laisser les « et »] Cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Sa femme soupira.
— Tu ne m’avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme [tu l'as plus haut ; essaie de changer l'un des deux] avait le visage rougi et une goutte pendait au bout de son nez [« elle avait la goutte au nez »]. Depuis une voiture, quelqu’un dit [un verbe plus intéressant ici ?] qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu finiras à l’hôpital.
— Je sais. Et cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Son épouse soupira.
— Tu ne m’avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et elle avait la goutte au nez. Depuis une voiture, quelqu’un informa qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu finiras à l’hôpital.
J'ai fait quelques modifs… Dis-moi si tu es OK.
— Je sais. Et cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Son épouse soupira.
— Tu ne m’en avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et elle la goutte au nez. Depuis une voiture, quelqu’un les informa qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu te retrouveras à l’hôpital.
— Je sais. Et cette nuit, ma tante Antonia est morte, et il y a quelques mois, la tante Rogelia.
Son épouse soupira.
— Tu ne m’en avais rien dit, Rubén… je suis navrée. Mais viens, maintenant, lève-toi…
— À quoi sert la neige si tu ne peux pas la raconter à quelqu’un ?
La femme avait le visage rougi et la goutte au nez. Depuis une voiture, quelqu’un les informa qu’il avait déjà appelé les secours.
— Si j’explique à Manuela ce qui s’est passé, elle m’offrira peut-être une autre hayaca, murmura-t-il, les yeux perdus dans la blancheur du ciel.
— Peut-être, mais si tu ne te lèves pas maintenant, tu te retrouveras à l’hôpital.
Ok pour moi !
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