mardi 2 juin 2015

Projet Nathalie 4 – phrases 37-41

Avanza jadeando por 5 de mayo. Sus exhalaciones son visibles, volutas blancas de miedo que se disuelven en la madrugada fría. Se despoja de la otra bota para correr mejor. En la esquina de Bolívar se vuelve a mirar a sus perseguidores. El Chibuto se ha rezagado pero el Moreno, ya sin gritar, se aproxima.

Traduction temporaire :
Haletant, il avance dans la 5 de mayo. Des exhalations sont visibles, volutes blanches de peur qui se dissolvent dans le froid du petit jour. Il ôte son autre botte pour mieux courir. Au coin de Bolívar, il se retourne pour regarder ses poursuivants. Barbu a pris du retard, mais le Basané, se rapproche, à présent sans crier.

5 commentaires:

Unknown a dit…

Il avance dans la 5 de mayo, haletant. Ses exhalations sont visibles, volutes blanches de peur qui se dissolvent dans le froid du petit jour. Il ôte son autre botte pour mieux courir. Au coin de Bolívar, il se retourne pour regarder ses poursuivants. Barbu a pris du retard, mais le Basané, se rapproche à présent sans crier.

Tradabordo a dit…

Il avance dans la 5 de mayo, haletant [ou en le mettant au début de la phrase ? Essayez et voyez ce qui est mieux…]. Ses exhalations sont visibles, [« des » ?] volutes blanches de peur qui se dissolvent dans le froid du petit jour. Il ôte son autre botte pour mieux courir. Au coin de Bolívar, il se retourne pour regarder ses poursuivants. Barbu a pris du retard, mais le Basané, se rapproche [virgule] à présent sans crier.

Unknown a dit…

J' y avais pensé au début maie j'ai entendu votre voix dans ma tête:" Arrêtez de tout changer! Pour quoi changer l'ordre????"

Unknown a dit…

Haletant, il avance dans la 5 de mayo. Des exhalations sont visibles, volutes blanches de peur qui se dissolvent dans le froid du petit jour. Il ôte son autre botte pour mieux courir. Au coin de Bolívar, il se retourne pour regarder ses poursuivants. Barbu a pris du retard, mais le Basané, se rapproche, à présent sans crier.

Tradabordo a dit…

Haletant, il avance dans la 5 de mayo. Des exhalations sont visibles, volutes blanches de peur qui se dissolvent dans le froid du petit jour. Il ôte son autre botte pour mieux courir. Au coin de Bolívar, il se retourne pour regarder ses poursuivants. Barbu a pris du retard, mais le Basané, se rapproche, à présent sans crier.

OK.