mercredi 17 juin 2015

Projet Émilie 8 – phrases 190-196

No quedaba un solo resto combustible y aquello se parecía mucho a un escorial volcánico. A trechos, en los parajes que la ceniza no cubría, brillaba con un bermejor de fuego, el metal llovido. Hacia el lado del desierto, resplandecía hasta perderse de vista un arenal de cobre. En las montañas, a la otra margen del lago, las aguas evaporadas de éste condensábanse en una tormenta. Eran ellas las que habían mantenido respirable el aire durante el cataclismo. El sol brillaba inmenso, y aquella soledad empezaba a agobiarme con una honda desolación cuando hacia el lado del puerto percibí un bulto que vagaba entre las ruinas. Era un hombre, y habíame percibido ciertamente, pues se dirigía a mí.

Traduction temporaire :
Il ne restait plus rien de combustible : on aurait dit un amas de scories volcaniques. Par intervalles, dans les zones non recouvertes de cendre, le métal tombé en pluie étincelait d’un vermeille de feu. Du côté du désert, une étendue de sable de cuivre resplendissait à perte de vue. Dans les montagnes, sur l’autre rive du fleuve, les eaux qui s’étaient évaporées se condensaient en orage. Grâce à elles, l’air était demeuré respirable pendant le cataclysme. Le soleil immense brillait et cette solitude commençait à me plonger dans une profonde désolation. À ce moment-là, vers le port, j’aperçus une silhouette errant parmi les ruines. Il s’agissait d’un homme, qui m’avait sûrement vu, car il se dirigeait vers moi.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Il ne restait plus rien de combustible : on aurait dit un amas de scories volcaniques. Par intervalles, dans les zones non recouvertes de cendre, le métal tombé en pluie étincelait d’un vermeille de feu. Du côté du désert, une étendue de sable de cuivre resplendissait à perte de vue. Dans les montagnes, sur l’autre rive du fleuve, les eaux qui s’en étaient évaporées se condensaient en orage. C’était elles qui avaient maintenu l’air respirable pendant le cataclysme. Le soleil immense brillait et cette solitude commençait à m’accabler d’une profonde désolation, lorsque j’aperçus, vers le port, une silhouette qui errait parmi les ruines. Il s’agissait d’un homme, qui m’avait sûrement vu, car il se dirigeait vers moi.

Tradabordo a dit…

Il ne restait plus rien de combustible : on aurait dit un amas de scories volcaniques. Par intervalles, dans les zones non recouvertes de cendre, le métal tombé en pluie étincelait d’un vermeille de feu. Du côté du désert, une étendue de sable de cuivre resplendissait à perte de vue. Dans les montagnes, sur l’autre rive du fleuve, les eaux qui s’en [bof] étaient évaporées se condensaient en orage. C’était elles qui avaient maintenu l’air respirable [la construction n'est guère naturelle] pendant le cataclysme. Le soleil immense brillait et cette solitude commençait à m’accabler d’[bof]une profonde désolation, lorsque j’aperçus, vers le port, une silhouette qui errait parmi les ruines [je me demande si la syntaxe est bien fluide]. Il s’agissait d’un homme, qui m’avait sûrement vu, car il se dirigeait vers moi.

Emilie a dit…

Il ne restait plus rien de combustible : on aurait dit un amas de scories volcaniques. Par intervalles, dans les zones non recouvertes de cendre, le métal tombé en pluie étincelait d’un vermeille de feu. Du côté du désert, une étendue de sable de cuivre resplendissait à perte de vue. Dans les montagnes, sur l’autre rive du fleuve, les eaux qui s’étaient évaporées se condensaient en orage. Grâce à elles, l’air était demeuré respirable pendant le cataclysme. Le soleil immense brillait et cette solitude commençait à me plonger dans une profonde désolation. À ce moment-là, vers le port, j’aperçus une silhouette errant parmi les ruines. Il s’agissait d’un homme, qui m’avait sûrement vu, car il se dirigeait vers moi.

Tradabordo a dit…

Il ne restait plus rien de combustible : on aurait dit un amas de scories volcaniques. Par intervalles, dans les zones non recouvertes de cendre, le métal tombé en pluie étincelait d’un vermeille de feu. Du côté du désert, une étendue de sable de cuivre resplendissait à perte de vue. Dans les montagnes, sur l’autre rive du fleuve, les eaux qui s’étaient évaporées se condensaient en orage. Grâce à elles, l’air était demeuré respirable pendant le cataclysme. Le soleil immense brillait et cette solitude commençait à me plonger dans une profonde désolation. À ce moment-là, vers le port, j’aperçus une silhouette errant parmi les ruines. Il s’agissait d’un homme, qui m’avait sûrement vu, car il se dirigeait vers moi.

OK.