lundi 1 juin 2015

Projet Annelise 2 – phrases 199-209

El grito me distrae. Salgo, en la sala no está Claudette. Corro al cuarto de Celine. La puerta está abierta. Celine cuelga de una cuerda, se mueve un poco por el viento que entra desde la ventana. La madre está a un lado, desnuda, observa todo, el grito ha transformado al rostro en algo que no puedo describir.
¡Ahí está! ¡Ahí está! —señala hacia una pared desnuda.
¡Claudette! ¿Qué está viendo? —la tomo de los hombros, me observa y sonríe.
Estamos ahí todos, Didier, todos…
El cuerpo se desvanece en mis brazos.

Traduction temporaire :
Le cri me distrait. Je sors. Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, se balance légèrement à cause du vent qui entre par la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! s'exclame-t-elle en montrant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ?
Je la prends par les épaules, elle me fixe des yeux puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…

Son corps s'évanouit dans mes bras.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Le cri m’interpelle. Je sors, Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, balance légèrement à cause du vent qui entre depuis la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! — s’écrie-t-elle en signalant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ? Je la prends par les épaules, elle me fixe puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Tradabordo a dit…

Le cri m’interpelle [FS ?]. Je sors, [point ?] Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, [« se » ?] balance légèrement à cause du vent qui entre depuis [« par » ?] la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! — [supprime] s’écrie-t-elle en signalant [mal dit] un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ? Je la prends par les épaules, elle me fixe [« des yeux » ou change] puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Tradabordo a dit…

Le cri m’interpelle [FS ?]. Je sors, [point ?] Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, [« se » ?] balance légèrement à cause du vent qui entre depuis [« par » ?] la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! — [supprime] s’écrie-t-elle en signalant [mal dit] un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ? Je la prends par les épaules, elle me fixe [« des yeux » ou change] puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Anonyme a dit…

Annelise L

Le cri me distrait. Je sors. Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, balance légèrement à cause du vent qui entre par la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! s’écrie-t-elle en montrant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ? Je la prends par les épaules, elle me fixe des yeux puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Tradabordo a dit…

Le cri me distrait. Je sors. Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, [je crois vraiment que tu devrais mettre le « se »] balance légèrement à cause du vent qui entre par la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! s’écrie[« s'exclame-t-elle » ; pour éviter la répétition]-t-elle en montrant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ?
Je la prends par les épaules, elle me fixe des yeux puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Anonyme a dit…

Annelise L

Le cri me distrait. Je sors. Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, se balance légèrement à cause du vent qui entre par la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! s'exclame-t-elle en montrant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ?
Je la prends par les épaules, elle me fixe des yeux puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

Tradabordo a dit…

Le cri me distrait. Je sors. Claudette n’est pas dans le salon. Je cours jusqu’à la chambre de Celine. La porte est ouverte. Celine est pendue à une corde, se balance légèrement à cause du vent qui entre par la fenêtre. Sa mère se trouve d’un côté, dévêtue, observe tout. Le cri a transformé son visage en quelque chose que je ne peux pas décrire.
— Il est là ! Il est là ! s'exclame-t-elle en montrant un mur nu.
— Claudette ! Qu’est-ce que vous voyez ?
Je la prends par les épaules, elle me fixe des yeux puis sourit.
— Nous sommes tous là, Didier, tous…
Son corps s'évanouit dans mes bras.

OK.