mardi 2 juin 2015

Projet Caroline 2 – phrases 293-297

A través de la ventana abierta pudo oír el susurro de un viento lejano en la hojarasca. Miró afuera; todo rezumaba belleza bajo el Sol del atardecer, que ya acariciaba el horizonte, tiñendo de colores rosados todo el firmamento. Más abajo vio cómo continuaba en pie, tal como había hecho durante siglos, el hermoso ciprés blanco, proyectando su larga sombra sobre las aguas centelleantes del río Leto, el del olvido. Más allá, entre arbustos y matorrales, ya comenzaba a resultarle difícil distinguir parte del río Mnemósine, el de la memoria, de cuyas aguas —según creían los antiguos griegos— las almas de los muertos debían beber para no olvidar jamás.

FIN

Traduction temporaire :

Par la fenêtre ouverte, il entendit le susurrement d'une lointaine bourrasque dans les feuillages. Il regarda dehors. Tout resplendissait sous le Soleil couchant qui caressait déjà l'horizon, teintant de rose l'ensemble du firmament. Plus bas, il vit le beau cyprès blanc qui se dressait là depuis des siècles, projetant sa grande ombre sur les eaux scintillantes du Léthé, le fleuve de l'oubli. Au-delà, parmi les arbustes et les fourrés, il peinait déjà à distinguer une partie du Mnemosyne, le fleuve de la mémoire, dont, d'après les croyances des anciens Grecs, les âmes des morts devaient boire l'eau pour ne jamais oublier.

FIN

4 commentaires:

Caroline a dit…

Par la fenêtre ouverte, il entendait le murmure d'un vent lointain dans les feuillages. Il regarda dehors. Tout le paysage resplendissait sous le Soleil couchant qui caressait déjà l'horizon, teintant de rose l'ensemble du firmament. Plus bas, il vit le beau cyprès blanc qui se dressait en ce lieu depuis des siècles, projetant sa grande ombre sur les eaux scintillantes du Léthé, le fleuve de l'oubli. Plus loin, parmi les arbustes et les fourrés, il peinait déjà à distinguer une partie du Mnemosyne, le fleuve de la mémoire, dont les âmes des morts, d'après les croyances des anciens Grecs, devaient boire l'eau pour ne jamais oublier.

Tradabordo a dit…

Par la fenêtre ouverte, il entendait [temps] le murmure [« susurrement » ?] d'un vent lointain dans les feuillages [en français, on le dit plutôt avec « bourrasque » ; cf titre du roman de G. García Márquez La hojarasca = des feuilles dans la bourrasque. À vous de voir]. Il regarda dehors. [deux points ?] Tout le paysage [ajout nécessaire ?] resplendissait sous le Soleil couchant qui caressait déjà l'horizon, teintant de rose l'ensemble du firmament. Plus bas, il vit le beau cyprès blanc qui se dressait en ce lieu [« là » ?] depuis des siècles, projetant sa grande ombre sur les eaux scintillantes du Léthé, le fleuve de l'oubli. Plus loin [« Au-delà » ?], parmi les arbustes et les fourrés, il peinait déjà à distinguer une partie du Mnemosyne, le fleuve de la mémoire, dont les âmes des morts, d'après les croyances des anciens Grecs [placé après « dont » ?], devaient boire l'eau pour ne jamais oublier.

Et le « FIN » ?

Caroline a dit…

Par la fenêtre ouverte, il entendit le susurrement d'une lointaine bourrasque dans les feuillages. Il regarda dehors. Tout resplendissait sous le Soleil couchant qui caressait déjà l'horizon, teintant de rose l'ensemble du firmament. Plus bas, il vit le beau cyprès blanc qui se dressait là depuis des siècles, projetant sa grande ombre sur les eaux scintillantes du Léthé, le fleuve de l'oubli. Au-delà, parmi les arbustes et les fourrés, il peinait déjà à distinguer une partie du Mnemosyne, le fleuve de la mémoire, dont, d'après les croyances des anciens Grecs, les âmes des morts devaient boire l'eau pour ne jamais oublier.

FIN

Tradabordo a dit…

Par la fenêtre ouverte, il entendit le susurrement d'une lointaine bourrasque dans les feuillages. Il regarda dehors. Tout resplendissait sous le Soleil couchant qui caressait déjà l'horizon, teintant de rose l'ensemble du firmament. Plus bas, il vit le beau cyprès blanc qui se dressait là depuis des siècles, projetant sa grande ombre sur les eaux scintillantes du Léthé, le fleuve de l'oubli. Au-delà, parmi les arbustes et les fourrés, il peinait déjà à distinguer une partie du Mnemosyne, le fleuve de la mémoire, dont, d'après les croyances des anciens Grecs, les âmes des morts devaient boire l'eau pour ne jamais oublier.

FIN

OK.

C'est fini ! ;-)

Alors, maintenant :

1) Vous allez chercher l'ensemble de votre traduction dans « Travaux en cours » // colonne de droite du blog.
2) Vous vous assurez bien qu'il ne manque pas de phrases ; car il arrive que l'enregistrement fonctionne mal.
3) Vous remettez la mise en page initiale – de la V.O.
4) Et vous relisez bien.

Envoyez quand c'est prêt pour publication.