samedi 19 décembre 2015

Projet Justine 4 – phrases 126-130

Traté de justificar a la pobre mujer ante mi esposa, seguramente que su inodoro está repleto de caca, como el nuestro, y qué más da hacerlo allí si en los baños tampoco hay agua. Pero ella tenía toda la razón, puedo aguantar falta de luz, de agua, de ascensores, pero esa churreta inmunda ya es demasiado; ya es hora de largarse, y si es antes de la próxima junta, mucho mejor, porque uno nunca sabe.
La última junta a la que asistí antes de deshacerme del departamento se desarrolló un día que la oficina había declarado libre por inventario, por lo que en la tarde tuve tiempo de sobra para tratar de relajarme leyendo un libro. Faltando cinco minutos para las cinco y treinta me acerqué a la ventana principal para fumar un cigarrillo mientras admiraba la vista. Los edificios de San Isidro se hacían silueta al fondo en espera del atardecer, los buses llenos de empleados regresaban de trabajar, y una pareja de gallinazos volaba en círculos a lo lejos, en la cúpula del cielo.

Traduction temporaire :
Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, en revanche, cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais. La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

14 commentaires:

Justine a dit…

J'essayai de justifier l'action de cette pauvre femme face à mon épouse : ses toilettes doivent être remplies de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, s'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Tradabordo a dit…

J'essayai de justifier l'action de cette pauvre femme face à mon épouse [manque de naturel] :

ses toilettes doivent être remplies de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, s'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.

Justine a dit…

J'essayai d'expliquer le comportement de cette pauvre femme à mon épouse : ses toilettes doivent être remplies de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, s'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Tradabordo a dit…

J'essayai d'expliquer [remets « justifier » ; c'était « action » qui n'allait pas] le comportement de cette pauvre femme à [du coup, change ça] mon épouse : ses toilettes doivent être remplies [« débordées » ?] de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, s'il [mal dit] n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ?


Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Face à mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent débordées de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Je corrige une coquille:

Face à mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Tradabordo a dit…

Face à [plutôt avec « Auprès de », non ?] mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'en [nécessaire ?] est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'eus [temps ? PS ou PQP ? Vérifie] le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'approchai de la fenêtre principale [?] pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais eu le temps d'essayer de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

CRIIA-MEDIA a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires non plus [nécessaire ?] ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais eu le temps d'essayer [bizarre « eu le temps d'essayer », non ?] de me détendre en lisant un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant [cf construction de la phrase d'avant « en lisant » + « en admirant » ; bof…] la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Tradabordo a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, mais [tu en as déjà un au début de la phrase] cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Justine a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, en revanche, cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

Tradabordo a dit…

Auprès de mon épouse, j'essayai de justifier le comportement de cette pauvre femme : ses toilettes doivent déborder de caca, comme les nôtres, et après tout, qu'est-ce que ça change de faire ses besoins là, puisqu'il n'y a pas d'eau dans les sanitaires ? Mais elle avait entièrement raison : Je peux supporter les coupures de courant, d'eau, les pannes d'ascenseur, en revanche, cette bouse immonde, c'est trop ! Il est grand temps qu'on mette les voiles, et le mieux serait avant la prochaine réunion, parce qu'on ne sait jamais.
La dernière réunion de copropriété à laquelle j'assistai avant de me débarrasser de l'appartement eut lieu un jour où je n'étais pas allé au bureau pour cause d'inventaire ; voilà pourquoi, l'après-midi en question, j'avais tenté de me détendre avec un livre. Cinq minutes avant dix-sept heures trente, je m'étais approché de la baie vitrée pour fumer une cigarette en admirant la vue. Au fond, les immeubles de San Isidro devenaient des silhouettes attendant la tombée de la nuit, les bus bondés d'employés rentraient du travail, et, au loin, un couple de vautours volait en cercles sur la voûte céleste.

OK.