jeudi 17 décembre 2015

Projet Loïck 9 – phrases 79-84

Dos veces habia estado próximo, como aquella noche, a ser arro­jado a la via por los que despertaban sobresaltados con su presencia; y buscando en otra ocasión un departamento oscuro, tropezó con un viajero que, sin decir palabra, le asestó un garrotazo, echándole fuera del tren. Aquella noche si que creyó morir.
Y al decir esto, señalaba una cicatriz que cmzaba su frente.
Lo trataban mal, pero él no se quejaba. Aquellos señores tenian razón para asustarse y defenderse. Comprendia que era merecedor de aquello y algo más; pero ¡qué remedio, si no tenia dinero y deseaba ver a sus hijos!

Traduction temporaire :
Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut à cause de sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui barrait son front.
On le traitait mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Il comprenait qu'il était méritant de cela, et d'un peu plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

13 commentaires:

Loïck Ths a dit…

A deux reprise, comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie par ceux qui s'étaient réveillés en sa présence ; et en cherchant un compartiment obscure, il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, le boutant hors du train. Cette nuit-la, j'ai bien cru que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et peut être même plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Tradabordo a dit…

A [il faut accentuer les majuscules] deux reprise [grammaire], comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter

Pas sûre que ce soit une bonne idée de changer la syntaxe…

sur la voie par ceux qui s'étaient réveillés en sa présence ; et en cherchant un compartiment obscure, il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, le boutant hors du train. Cette nuit-la, j'ai bien cru que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et peut être même plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Loïck Ths a dit…

À deux reprises il avait été près, comme cette nuit-là, de se faire jeter sur la voie par ceux qui s'étaient réveillés en sa présence ; et en cherchant un compartiment obscure, il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, le boutant hors du train. Cette nuit-la, j'ai bien cru que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et peut être même plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Tradabordo a dit…

Dos veces habia estado próximo, como aquella noche, a ser arro­jado a la via por los que despertaban sobresaltados con su presencia; y buscando en otra ocasión un departamento oscuro, tropezó con un viajero que, sin decir palabra, le asestó un garrotazo, echándole fuera del tren. Aquella noche si que creyó morir. Y al decir esto, señalaba una cicatriz que cmzaba su frente.
Lo trataban mal, pero él no se quejaba. Aquellos señores tenian razón para asustarse y defenderse. Comprendia que era merecedor de aquello y algo más; pero ¡qué remedio, si no tenia dinero y deseaba ver a sus hijos!

À deux reprises il avait été près, comme cette nuit-là [après « À deux reprises » ?], de se faire jeter sur la voie par ceux [« les gens qui » ?] qui s'étaient réveillés [et l'adjectif de la V.O. ?] en [non] sa présence ; [il vous manque le début] et en cherchant un compartiment obscure [grammaire],



il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, le boutant hors du train. Cette nuit-la, j'ai bien cru que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et peut être même plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Loïck Ths a dit…

Comme cette nuit-là, à deux reprises, il avait été près de se faire jeter sur la voie par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut avec sa présence ; et une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant hors du train. Cette nuit-la, j'ai bien cru que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !



Tradabordo a dit…

Comme cette nuit-là, à deux reprises [je trouve que c'est bizarre de le placer là], il avait été près de se faire jeter sur la voie par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut avec [mal dit] sa présence ; et [nécessaire ?] une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans dire un mot, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant hors [nécessaire ?] du train. Cette nuit-la [un moyen de ne pas répéter ? Je sais que ça l'est en V.O., mais non…], j'ai bien cru [grammaire : « creyó »] que j'allais mourir. Et en disant cela, il montrait un [grammaire ? Fait trop vite… Du coup, relisez bien m'ensemble] cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Loïck Ths a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut en sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui marquait son front.
Ils le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je comprenais qu'il était méritant de quelque chose, et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Tradabordo a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut en [« à cause de » ?] sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui marquait [« barrait »] son front.
Ils [?] le traitaient mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Je [CS ?] comprenais qu'il était méritant de quelque chose [CS], et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Loïck Ths a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut à cause de sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui marquait barrait son front.
On le traitait mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Il comprenait qu'il était méritait cela, et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Tradabordo a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut à cause de sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui marquait barrait [relisez-vous] son front.
On le traitait mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Il comprenait qu'il était méritait cela, et d'autre chose ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Loïck Ths a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Loïck Ths a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut à cause de sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui barrait son front.
On le traitait mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Il comprenait qu'il était méritant de cela, et d'un peu plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

Tradabordo a dit…

Comme cette nuit-là, il avait été près de se faire jeter sur la voie à deux reprises par les gens qui s'étaient réveillés en sursaut à cause de sa présence ; une autre fois, en cherchant un compartiment obscur, il tomba sur un passager qui, sans mot dire, lui asséna un coup de gourdin, l'éjectant du train. Cette fois-la, il crut bien mourir. Et en disant cela, il montrait une cicatrice qui barrait son front.
On le traitait mal, mais il ne se plaignait pas. Ces messieurs avaient raison d'avoir peur et de se défendre. Il comprenait qu'il était méritant de cela, et d'un peu plus ; il n'avait pas le choix dans la mesure où il n'avait pas d'argent et qu'il voulait voir ses enfants !

OK.