vendredi 29 janvier 2016

Projet Danny – phrases 23-27

Desaparecen los dos de mi vista y yo me quedo toda nostálgica bajo la lluvia, intentando guardar nerviosamente mi cámara en mi rotoso maletín. Y es a los pocos minutos, cuando empiezo a caminar sola bajo la lluvia nocturna, que recuerdo a Manolo y a Jimmy. Y luego, esto sí que es extraño, me encuentro de pronto caminando sola en la Av. Larco, bajo un cielo gris nocturno y sin lluvia de invierno limeño. Camino hacia el Parque Kennedy, que es por donde pasan las combis que van a la avenida La Marina. Me estoy viendo realmente; es como si me estuviera viendo.

Traduction temporaire :
Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste là, triste, sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Au bout de quelques minutes, lorsque j'avance seule sous la pluie nocturne, je me souviens de Manolo et de Jimmy. Ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée, à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets le cap vers le Parc Kennedy, où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Les deux quittent mon champ de vision et moi, je reste toute nostalgique sous la pluie, essayant de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche déguenillée. Et après quelques minutes, lorsque je commence à marcher seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenue de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, ça c'est vraiment bizarre, je me retrouve tout un coup à marcher toute seule sur la Av. Larco, sous un ciel gris-noir, mais sans la pluie hivernale de Lima. Je fais route vers le Parc Kennedy, là où passent les fourgonnettes allant à l'avenue La Marina. Je me découvre vraiment ; c'est comme si j'étais en train de me découvrir.

Tradabordo a dit…

Les deux [mal dit] quittent [littéral ; attention à la maladie du changement inutile = réécriture et non traduction] mon champ de vision et moi, je reste toute nostalgique [mal dit ; reprenez] sous la pluie,

Faisons déjà cela.

essayant de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche déguenillée. Et après quelques minutes, lorsque je commence à marcher seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenue de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, ça c'est vraiment bizarre, je me retrouve tout un coup à marcher toute seule sur la Av. Larco, sous un ciel gris-noir, mais sans la pluie hivernale de Lima. Je fais route vers le Parc Kennedy, là où passent les fourgonnettes allant à l'avenue La Marina. Je me découvre vraiment ; c'est comme si j'étais en train de me découvrir.

Unknown a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, sous la pluie, je reste toute triste, essayant de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche déguenillée. Et après quelques minutes, lorsque je commence à marcher seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenue de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, ça c'est vraiment bizarre, je me retrouve tout un coup à marcher toute seule sur la Av. Larco, sous un ciel gris-noir, mais sans la pluie hivernale de Lima. Je fais route vers le Parc Kennedy, là où passent les fourgonnettes allant à l'avenue La Marina. Je me découvre vraiment ; c'est comme si j'étais en train de me découvrir.

Tradabordo a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, sous la pluie [mettez-le après], je reste toute [vous avez déjà « tous » au début ; il faut en supprimer un…] triste, essayant [un autre mode] de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche déguenillée [FS]. Et après [« au bout de » ?] quelques minutes, lorsque je commence à marcher [on simplifie ?] seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenue [grammaire] de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, ça [« et le « sí » ?] c'est vraiment [pas ce que dit la V.O.] bizarre, je me retrouve tout un coup [il y a plus simple et ça évitera un 3e « tout »] à marcher toute [encore !!!!!!!!] seule [essayez de voir s'il y a un moyen de contourner la répétition] sur la Av. Larco, sous un ciel gris-noir [pas ce que dit la V.O.], mais [pas ce que dit la V.O.] sans la pluie hivernale de Lima. Je fais route [bof… ça introduit « faire », qui est pauvre] vers le Parc Kennedy, là où passent les fourgonnettes allant à l'avenue [« Avenida » ; avec la majuscule, vous pouvez laisser en V.O.] La Marina. Je me découvre [je me demande si vous ne devriez pas rester littéral] vraiment ; c'est comme si j'étais en train de me découvrir.

Unknown a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste triste sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Et au bout de quelques minutes, lorsque je marche seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenu de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris-nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets cap vers le Parc Kennedy, là où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.

Tradabordo a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste triste [mal dit ; je vous aide : « je reste là, triste, »] sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Et [nécessaire ? En tout cas, vous verrez que vous avez également commencé la phrase d'après avec un « et » ; attention à ce tic… même quand il vient de l'auteur ; c'est votre boulot de traducteur de discrètement faire le boulot de nettoyage des scories] au bout de quelques minutes, lorsque je marche [« j'avance »] seule [virgule] sous la pluie nocturne, je me suis souvenu de Manolo et de Jimmy. Et ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée [avec « solitaire » ?] à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris-nocturne [pour le tiret, j'hésite beaucoup] et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets [« le »] cap vers le Parc Kennedy, là [nécessaire ?] où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.

Unknown a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste là, triste, sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Au bout de quelques minutes, lorsque j'avance seule, sous la pluie nocturne, je me suis souvenu de Manolo et de Jimmy. Ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets le cap vers le Parc Kennedy, où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.


J’ai vérifié le cas du trait d’union et en effet, il n’y en a pas, car il ne relie pas deux couleurs, mais un adjectif et dans ce cas, il n’est pas permis de mettre un tiret.

Tradabordo a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste là, triste, sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Au bout de quelques minutes, lorsque j'avance seule sous la pluie nocturne, je me suis souvenu [temps, au fait] de Manolo et de Jimmy. Ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée, à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets le cap vers le Parc Kennedy, où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.

Unknown a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste là, triste, sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Au bout de quelques minutes, lorsque j'avance seule sous la pluie nocturne, je me souviens de Manolo et de Jimmy. Ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée, à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets le cap vers le Parc Kennedy, où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais

Tradabordo a dit…

Tout deux disparaissent de ma vue et moi, je reste là, triste, sous la pluie, à essayer de ranger nerveusement mon appareil photo dans ma sacoche abîmée. Au bout de quelques minutes, lorsque j'avance seule sous la pluie nocturne, je me souviens de Manolo et de Jimmy. Ensuite, oh ça oui, c'est bizarre, je me retrouve soudainement esseulée, à marcher sur la Av. Larco, sous un ciel gris nocturne et sans la pluie hivernale de Lima. Je mets le cap vers le Parc Kennedy, où passent les fourgonnettes allant à la Avenida La Marina. Je me vois vraiment ; c'est comme si je me découvrais.

OK.