lundi 25 janvier 2016

Projet Annelise 3 – phrases 16-18

Pero a mí llegó a obsesionarme. Me perseguía por todas partes la frase hilarante: ¡Un hombre muerto a puntapiés! Y todas las letras danzaban ante mis ojos tan alegremente que resolví al fin reconstruir la escena callejera o penetrar, por lo menos, en el misterio de por qué se mataba a un ciudadano de manera tan ridícula.

Traduction temporaire :
Mais moi, ça a fini par m'obséder. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait partout. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je me suis finalement résolu à reconstruire la scène de la rue ou, au moins, à pénétrer le mystère du pourquoi on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Mais moi, ça m’a obsédé. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait de toutes parts. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je suis finalement parvenu à reconstruire la scène de la rue ou à pénétrer, au moins, le mystère de la raison pour laquelle on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

Tradabordo a dit…

Mais moi, ça m’a [et tu ne rends pas du tout le « llegó a » ?] obsédé. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait de toutes parts [bof ; pas très naturel]. Et toutes [tu l'as déjà dans la phrase précédente] les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je suis finalement parvenu à reconstruire la scène de la rue ou à pénétrer, au moins, le mystère de la raison pour laquelle on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

Anonyme a dit…

Annelise L

Mais moi, ça a fini par m'obséder. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait partout. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je suis finalement parvenu à reconstruire la scène de la rue ou à pénétrer, au moins, le mystère de la raison pour laquelle on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

Tradabordo a dit…

Mais moi, ça a fini par m'obséder. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait partout. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je suis finalement parvenu à [FS] reconstruire la scène de la rue ou à pénétrer, au moins [en le plaçant avant ?], le mystère de la raison pour laquelle [« du pourquoi » ?] on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

Anonyme a dit…

Annelise L

Mais moi, ça a fini par m'obséder. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait partout. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je me suis finalement résolu à reconstruire la scène de la rue ou, au moins, à pénétrer le mystère du pourquoi on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

Tradabordo a dit…

Mais moi, ça a fini par m'obséder. La phrase hilarante « un homme mort à coups de pied ! » me poursuivait partout. Et toutes les lettres dansaient si allègrement devant mes yeux que je me suis finalement résolu à reconstruire la scène de la rue ou, au moins, à pénétrer le mystère du pourquoi on avait tué un citoyen de façon aussi ridicule.

OK.