lundi 25 janvier 2016

Projet Fanny – phrases 226-233

El miró la foto por última vez, la rompió en dos y la dejó caer al suelo. Se echó hacia atrás reclinándose en el sofá. Y empezó a hablar.

Nos conocimos en la Universidad. Nunca había sentido nada por nadie como lo que sentí por ti. Eras huérfana, como yo. Habías conseguido salir adelante con el poco dinero que tus padres habían dejado y que recibiste cuando cumpliste los dieciocho años, y habías empleado lo poco que te quedaba para pagar tu matrícula. Mis padres habían muerto hacía un año, y tú fuiste quien consiguió que dejase de sentirme solo por fin.

Traduction temporaire :

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il s'affala dans le canapé et commença à parler :
«Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient légué et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à me faire enfin oublier que j'étais abandonné.

10 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se jeta en arrière dans le canapé et commença à parler.
"Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti quelque chose comme ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à aller de l'avant avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents étaient morts depuis un an, et toi, tu as été la personne qui a réussi à faire en sorte que je ne me sente plus seul, enfin.

Tradabordo a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se jeta [ou juste : « laissa aller » ?] en arrière dans le canapé et commença à parler. [deux points ?]
"Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti [« por nadie » ?] quelque chose comme ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à aller de l'avant [« t'en sortir » / « t'en tirer » / « te débrouiller » ?] avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents [« , eux, »] étaient morts depuis un an, et toi [nécessaire ?], tu as été la personne qui a réussi à faire en sorte que [pas un peu lourd ?] je ne me sente plus seul, enfin.

Fanny JAY a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se laissa aller en arrière dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose comme ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la personne qui a réussi à faire que je ne me sente plus seul, enfin.

Tradabordo a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se laissa aller en arrière dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose comme [« de semblable », car il y a « comme » juste après ?] ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la personne [il est déjà un peu plus haut + cette phrase est encore bien raide] qui a réussi à faire que je ne me sente plus seul, enfin.

Fanny JAY a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se laissa aller en arrière dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à me faire oublier que j'étais délaissé, enfin.

Tradabordo a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il se laissa [ah, je remarque que vous l'avez dans la phrase juste avant…] aller en arrière dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient laissé [X3] et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à me faire oublier que j'étais délaissé, enfin [bof].

Fanny JAY a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il s'affala dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient légué et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à enfin me faire oublier que j'étais délaissé.

Tradabordo a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il s'affala dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient légué et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à enfin [après « faire »] me faire oublier que j'étais délaissé [bof ; l'adjectif n'est pas génial].

Fanny JAY a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il s'affala dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient légué et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à me faire enfin oublier que j'étais abandonné.

Tradabordo a dit…

Il regarda la photo une dernière fois, la déchira en deux et la laissa tomber par terre. Il s'affala dans le canapé et commença à parler :
— Nous nous sommes connus à l'Université. Je n'avais jamais ressenti pour personne quelque chose de semblable à ce que j'ai ressenti pour toi. Tu étais orpheline, comme moi. Tu avais réussi à t'en sortir avec le peu d'argent que tes parents t'avaient légué et que tu avais reçu à tes dix-huit ans. Tu avais utilisé le peu qu'il te restait pour payer ton inscription. Mes parents, eux, étaient morts depuis un an, et tu as été la seule à réussir à me faire enfin oublier que j'étais abandonné.

OK.