mercredi 31 mai 2017

Projet Basta ! Nieves – texte 1

FLOR MILENA BAREÑO TORRES

Dice que me ama

Él dice que me ama, pero me golpea cada mañana con sus palabras, su trato, sus amenazas. No entiendo esa forma de amar, porque besos ya no me da. Todo cambió desde aquel día en que me golpeó; ese día sentí que el amor se desplomó y me sentí culpable. ¿Por qué no me habló? ¡Me gritó, me golpeó y no me escuchó! ¿Por qué me siento culpable si no he hecho nada? Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así... Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Traduction temporaire :

FLOR MILENA BAREÑO TORRES

Il dit qu’il m’aime

Il dit qu’il m’aime, mais il me frappe tous les matins avec ses mots, sa manière de me traiter, ses menaces. Je ne comprends pas cette manière d’aimer, parce que des baisers, il ne m’en fait plus.  Tout a changé à partir du jour où il m’a tapée ; ce jour-là, j’ai senti l’amour s’écrouler et je me suis sentie coupable. Pourquoi il ne m’a pas parlé ? Il m’a crié dessus ! il m’a cognée et il ne m’a pas écoutée ! Pourquoi je me sens coupable si je n’ai rien fait ? Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses injures. J’ai passé tellement d’années ainsi… Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très émaciée ; mon corps sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je suis emprisonnée. S’il avait dit un jour qu’il m’aimait, je ne le crois plus, parce qu’aimer, ça n'est pas faire taire quelqu’un avec une gifle.

29 commentaires:

Unknown a dit…

Il dit qu’il m’aime.

Il dit qu’il m’aime, mais il me brutalise de ses mots, de son contact, de ses menaces, tous les matins. Je ne comprends pas cette manière d’aimer car, des baiser, il ne m’en fait plus. Tout a changé à partir de ce jour où il m’a tapée; ce jour-là j’ai senti que l’amour s’est écroulé et je me suis sentie coupable.

Tradabordo a dit…

Nieves, je suppose que c'est toi, mais signe tes commentaires, pour que je sois certaine qu'ils sont bien de toi.

***

Nom de l'auteure à ajouter

Il dit qu’il m’aime. [pas de point après un titre]

Il dit qu’il m’aime, mais il me brutalise [plus fort en V.O. / trad littérale de « golpear » ?] de [littéral] ses mots, de [nécessaire ?] son contact [FS ? Sans le traduire, explique-moi ce que l'auteure a voulu dire, selon toi], de [nécessaire ?] ses menaces, tous les matins [mal placé dans la phrase / avance-le].

Faisons déjà cela.

Je ne comprends pas cette manière d’aimer car, des baiser, il ne m’en fait plus. Tout a changé à partir de ce jour où il m’a tapée; ce jour-là j’ai senti que l’amour s’est écroulé et je me suis sentie coupable.

Nieves a dit…

FLOR MILENA BAREÑO TORRES

Il dit qu’il m’aime

Il dit qu’il m’aime mais il me frappe tous les matins avec ses mots, sa manière de me traiter, ses menaces.

Tradabordo a dit…

FLOR MILENA BAREÑO TORRES

Il dit qu’il m’aime

Il dit qu’il m’aime [virgule devant « mais » quand c'est dans la phrase] mais il me frappe tous les matins avec ses mots, sa manière de me traiter, ses menaces.

Nieves a dit…


FLOR MILENA BAREÑO TORRES

Il dit qu’il m’aime

Il dit qu’il m’aime, mais il me frappe tous les matins avec ses mots, sa manière de me traiter, ses menaces.

Nieves a dit…

Je ne comprends pas cette manière d’aimer, parce que des baisers, il ne m’en fait plus.

Tradabordo a dit…

Il faut me mettre l'espagnol de la section concernée – pour que je puisse facilement comparer.

Je ne comprends pas cette manière d’aimer, parce que des baisers, il ne m’en fait plus.

OK.

Tu peux continuer.

Nieves a dit…

Todo cambió desde aquel día en que me golpeó; ese día sentí que el amor se desplomó y me sentí culpable.

Tout a changé à partir de ce jour où il m’a tapée; ce jour-là j’ai senti que l’amour s’est écroulé et je me suis sentie coupable.

Tradabordo a dit…

Todo cambió desde aquel día en que me golpeó; ese día sentí que el amor se desplomó y me sentí culpable.

Tout a changé à partir de ce [maladie espagnole des démonstratifs ;-)] jour où il m’a tapée[espace avant les signes de ponctuation forts = ; / : / ? / ! / « / »]; ce jour-là [quand tu ne commence pas par le sujet, mais par un complément, etc., une virgule] j’ai senti que l’amour s’est écroulé [avec un infinitif] et je me suis sentie coupable.

Nieves a dit…

Todo cambió desde aquel día en que me golpeó; ese día sentí́ que el amor se desplomó y me sentí culpable.

Tout a changé à partir du jour où il m’a tapée ; ce jour-là, j’ai senti l’amour s’écrouler et je me suis sentie coupable.

Tradabordo a dit…

Todo cambió desde aquel día en que me golpeó; ese día sentí́ que el amor se desplomó y me sentí culpable.

Tout a changé à partir du jour où il m’a tapée ; ce jour-là, j’ai senti l’amour s’écrouler et je me suis sentie coupable.

OK.

Nieves a dit…

¿Por qué no me habló? ¡Me gritó, me golpeó y no me escuchó! ¿Por qué me siento culpable si no he hecho nada?

Pourquoi il ne m’a pas parlé ? Il m’a crié dessus, il m’a tapée et il ne m’a pas écouté ! Pourquoi je me sens coupable si je n’ai rien fait ?

Tradabordo a dit…

¿Por qué no me habló? ¡Me gritó, me golpeó y no me escuchó! ¿Por qué me siento culpable si no he hecho nada?

Pourquoi il ne m’a pas parlé ? Il m’a crié dessus, [mets un point d'exclamation ici] il m’a tapée [« cognée » / histoire de ne pas répéter] et il ne m’a pas écouté [grammaire] ! Pourquoi je me sens coupable si je n’ai rien fait ?

Nieves a dit…

¿Por qué no me habló? ¡Me gritó, me golpeó y no me escuchó! ¿Por qué me siento culpable si no he hecho nada?

Pourquoi il ne m’a pas parlé ? Il m’a crié dessus ! il m’a cognée et il ne m’a pas écoutée ! Pourquoi je me sens coupable si je n’ai rien fait ?

Tradabordo a dit…

¿Por qué no me habló? ¡Me gritó, me golpeó y no me escuchó! ¿Por qué me siento culpable si no he hecho nada?

Pourquoi il ne m’a pas parlé ? Il m’a crié dessus ! il m’a cognée et il ne m’a pas écoutée ! Pourquoi je me sens coupable si je n’ai rien fait ?

OK.

Nieves a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses vilains mots. C’est ainsi depuis tellement d’années…

Tradabordo a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses vilains mots [pas naturel en français]. C’est [correct, mais autant éviter la construction en « c'est » – assez pauvre ;-)] ainsi depuis tellement d’années…

Nieves a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses mauvais mots. J’ai passé tellement d’années ainsi…

Tradabordo a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses mauvais mots [décidément pas naturel en français / est-ce qu'on va vers « mots durs » ou même « injures » ?]. J’ai passé tellement d’années ainsi…

Nieves a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses injures. J’ai passé tellement d’années ainsi…

Tradabordo a dit…

Desde que estoy con él me convertí en su esclava... Esclava de sus golpes y de sus malas palabras. Llevo tantos años así...

Depuis que je suis avec lui, je suis devenue son esclave… Esclave de ses coups et de ses injures. J’ai passé tellement d’années ainsi…

OK.

Tradabordo a dit…

Tu peux terminer et dans l'intervalle, je te mets un deuxième texte de Basta ! Colombie.

Nieves a dit…

Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très amaigrie ; mon corps ressent qu’il est temps de sortir de cette cage où je me trouve emprisonnée. Si un jour il a dit qu’il m’aimait, je ne le crois plus, car aimer n’est pas museler quelqu’un d’une gifle.

Tradabordo a dit…

Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très amaigrie [ça va, mais je me demande si ça n'est pas plus fort en espagnol… Qu'en penses-tu ?] ; mon corps res[pas besoin]sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je me trouve [pas plus simple avec un simple verbe « être » ?] emprisonnée. Si un jour [virgule / comme tu ne commences pas par le sujet, virgule…] il a dit [« affirmé » ?] qu’il m’aimait, je ne le crois plus, car [pour le discours oral (dont il faut rendre le naturel), il vaut mieux « parce que », avec une virgule devant] aimer n’est pas museler [« faire taire » ?] quelqu’un d’une gifle.

Nieves a dit…

Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très décharnée/ émaciée [ça va, mais je me demande si ça n'est pas plus fort en espagnol… Qu'en penses-tu ? Oui, je le pensais aussi, mais je ne trouve pas le mot exact, j’avais pensé à « décharnée » mais je ne suis pas très convaincue car il ne parle que d’une perte importante de chair et pas de l’aspect, (par exemple les yeux cernés, qui vont avec « demacrada » dans ma représentation…)] ; mon corps sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je suis emprisonnée. S’il avait dit un jour qu’il m’aimait, je ne le crois plus, parce que aimer n’est pas faire taire quelqu’un d’une gifle.

Tradabordo a dit…



Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très émaciée ; mon corps sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je suis emprisonnée. S’il avait dit un jour qu’il m’aimait, je ne le crois plus, parce que aimer [« qu' »] n’est [ou « qu'aimer, ça n'est pas » ?] pas faire taire quelqu’un d’[ou : « avec une » ? J'hésite…]une gifle.

Nieves a dit…

Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très émaciée ; mon corps sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je suis emprisonnée. S’il avait dit un jour qu’il m’aimait, je ne le crois plus, parce qu’aimer, ça n'est pas faire taire quelqu’un avec une gifle.

Tradabordo a dit…

Me miro al espejo y veo una mujer muy demacrada; mi cuerpo siente que ya es hora de salir de esta jaula en la que me encuentro encarcelada. Si un día él dijo que me amaba ya no le creo, porque amar no es acallar con una bofetada.

Je me regarde dans le miroir et je vois une femme très émaciée ; mon corps sent qu’il est temps de sortir de cette cage où je suis emprisonnée. S’il avait dit un jour qu’il m’aimait, je ne le crois plus, parce qu’aimer, ça n'est pas faire taire quelqu’un avec une gifle.

OK.

Tradabordo a dit…

Tu peux donc enchaîner avec le suivant – que j'ai publié ce matin.